Gollnisch soutient Mélenchon : “Il était en colère. Je n’appellerai pas ça une violence inouïe”

L’eurodéputé Bruno Gollnisch a apporté son soutien à Jean-Luc Mélenchon après les perquisitions mouvementées de la semaine passée. “Je n’appellerai pas ça une violence inouïe”, a-t-il estimé :

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2 Comments

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  • Daniel PIGNARD , 24 octobre 2018 @ 11 h 56 min

    Le droit à la résistance à l’oppression est naturel et imprescriptible (Art 2 des droits de l’homme de 1789), or l’Article 4 de la constitution a été bafoué :
    “Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie.
    Ils contribuent à la mise en œuvre du principe énoncé au second alinéa de l’article 1er dans les conditions déterminées par la loi.
    La loi garantit les expressions pluralistes des opinions et la participation équitable des partis et groupements politiques à la vie démocratique de la Nation.”

    Conclusion : Mélenchon est dans son plein droit vis à vis des droits de l’homme de 1789.

  • Melisenda , 24 octobre 2018 @ 18 h 55 min

    Marine Le Pen aurait pu aussi exprimer aussi bruyamment sa colère. Elle est restée digne, contrairement à Mélenchon qui, il n’y a guère, se réjouissait des “mésaventures” de Fillon et de Marine Le Pen et qui faisait tout un cirque pour être à son tour l’objet des perquisitions à son domicile et au siège de la FI, en s’autoproclamant à la fois représentant de la république et personne sacrée, ce qui est un oxymore quelque peu savoureux.

    Quand on perd à ce point son sang-froid, les Français sont en droit de s’interroger de ce qu’il serait capable s’il avait entre les mains les manettes du pouvoir avec les codes du nucléaire. Péterait-il ainsi facilement les plombs pour un éventuel incident diplomatique quelconque ?

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