Réchauffement climatique : l’innocence du carbone

Lundi matin sur RTL, François Gervais remet en cause l’une de nos grandes peurs contemporaines. Le CO2 a certes augmenté depuis le XIXe siècle, passant de 300 ppm à 400 ppm mais l’effet de serre dû au CO2 est maintenant saturé, explique-t-il. “Concrètement, l’effet de serre du CO2 est une réalité, mais une réalité tellement forte qu’à l’heure actuelle, il est presque saturé, c’est-à-dire qu’on peut en envoyer (dans l’atmosphère, ndlr) davantage mais ça n’aura pas d’incidence notable, mesurable sur la température de la planète. J’en veux pour preuve une observation que tout un chacun fait, y compris le GIEC, à savoir : au niveau du sol, depuis dix-sept ans, les températures n’ont pas augmenté alors que dans cette période-là, on a envoyé un tiers de tout le CO2 émis dans l’atmosphère depuis le début de l’ère industrielle au XIXe siècle.” François Gervais constate aussi que les partisans du réchauffement climatique d’origine anthropique ont pris une conséquence pour une cause : en effet, les fluctuations de température précèdent celles du CO2… Bref, cela fait trente ans que les élites mondialisées nous culpabilisent et nous racontent n’importe quoi sur un réchauffement climatique bel et bien naturel.

François Gervais est physicien, spécialiste de thermodynamique. Professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, médaillé du CNRS et primé par l’Académie des Sciences, il a récemment été choisi comme rapporteur critique par le GIEC.

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43 Comments

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  • Christian , 28 septembre 2013 @ 13 h 48 min

    Merci de confirmer ce que je pense!

  • Adock , 28 septembre 2013 @ 13 h 50 min

    Comment le citoyen peut-il construire son opinion et décider au regard des enjeux scientifiques du 21ème siècle (armes nucléaires, à plasma, à anti-matière, climatiques, sismiques, déstabilisations climatiques, OGM et cetera) ?

    Cet article et l’opinion de Monsieur Martin recouvrent cette question et nous péchons tous par nos emportements irrationnels.

    Lorsqu’on ne peut maitriser une science ou une spécialité, nous sommes contraints d’accorder notre confiance à un tiers qui maîtrise lui ce domaine de connaissance.

    L’individu a-scientifique et a-spécialiste, est contraint de choisir les arguments d’autorité auxquels il accordera du crédit, à défaut de pouvoir penser et vérifier par lui-même l’exactitude ou la fausseté de conclusions.

    Si le citoyen n’est pas apte à maitriser les sciences, peut-il encore avoir le droit au titre de citoyen ?

    Il n’est plus possible de maitriser tous les domaines des sciences, demain plus encore qu’aujourd’hui et il n’existe aucun organe scientifique légitimiste, en qui nous pourrions avoir confiance pour déterminer à quels experts nous pouvons accorder notre confiance profane.

    Pour cette raison, il faut mettre en place une modulation sévère de la population mondiale, dans chaque pays.

    Tous les individus inaptes à penser par eux-mêmes et inaptes à intégrer les métiers des sciences, doivent avoir l’interdiction de faire des enfants, lorsque les libre penseurs et individus aptes à intégrer les sciences, doivent avoir l’obligation de faire des enfants.

    Il faut bâtir des peuples entiers de scientifiques, sur une terre moins peuplée, la production étant à la charge des robots et des centrales solaires thermiques.

    Au terme du 21ème siècle un média comme ndf.fr n’existera donc plus, il mutera ou sera remplacé pour ne plus constituer que des plateformes scientifiques pour experts citoyens.

    Nos jeux eux-mêmes seront remplacés, le football et les échecs n’existeront plus, mais pour les foules, de nouveaux jeux développeront autant le corps que toutes les sections corticales du cerveau.
    On ne fera plus de la natation, mais on jouera à un mélange de scrabble et de jeux d’échecs, sous l’eau…
    On ne jouera plus au foot, mais à un mélange de balle au prisonnier, de concours de mémoire et d’écriture littéraire.

    A la télé, on ne regardera plus le championnat de foot, mais les tournois ludique à visées corticales transversales.

    Les individus a-scientifiques sont désormais une bombe entropique sur le point d’exploser pour le réseau social de la terre.
    Nous n’avons plus besoin de gens qui ne pouvant approcher les sciences ou ne sachant pas penser par eux-mêmes (et je ne fais pas exception à ces règles), sont contraints de choisir à quels arguments d’autorité ils accordent leur confiance; car à l’aune des sciences, de l’arme atomique, des armes climatiques (plus personne n’a le droit d’omettre les armes climatique lorsqu’on évoque la question climatique, sous peine de complicité), du nucléaire, de la faillite monétaire, il est dangereux que le citoyen ne soit pas exclusivement et désormais, un scientifique lui-même, libre-penseur et doté de fortes capacités cognitives transverses, dans tous les domaines du corps et de l’esprit.

    En prenant beaucoup de recul sur cet article, voilà peut-être ce que nous pouvons dire consécutivement aux erreurs et irresponsabilités qui y sont proposées, mais que nous commettons tous.

    Ici on évoque le GIEC ou le “réchauffement climatique”, on parle même de CO2 !

    Où est la science ?

    Pas ici !

    Je ne suis pas climatologue, je ne publie pas d’articles, mais je crois qu’un minimum de curiosité et d’honnêteté permettrait de comprendre les suivants points :

    – Le GIEC est un organe politique a-scientifique, qui ne réalise aucune étude scientifique en propre, mais qui indexe, synthétise et résume selon son interprétation ou les visées politiques de ses membres, supposément tous les travaux en climatologie réalisés partout dans le monde, par le secteur public ou privé.
    Les rapports du GIEC avant qu’ils soient publiés, doivent systématiquement être ratifiés par tous les pays membres, ce qui engendre autant d’exigences de déformation des contenus !

    Quiconque cite le GIEC pour argument d’autorité est donc mal honnête ou irresponsable et incompétent, que se soit pour défendre la thèse d’une déstabilisation climatique ou au contraire celle d’un impact nul sur le climat !

    – Le réchauffement climatique n’existe pas, car il n’a jamais été question de réchauffement climatique, mais de déstabilisation climatique, connexe à un accroissement des gaz à effet de serre, avec de surcroit des effets temporel différés et une possible diminution de la température (en Europe notamment) induite par l’augmentation moyenne des température.

    Des modèles érigés depuis plus de 10 ans, envisagent des diminutions locales de températures, à cause de l’augmentation des concentrations de gaz, du fait de l’arrêt du gulf-stream… qui, nous l’apprennent les carottes glacières, au cours de l’histoire de la terre, peut mettre moins de 10 ans pour s’arrêter lorsqu’il lui faut toujours au moins 300 ans pour se rétablir !

    A cause de ce que vous nommez à tord le “réchauffement climatique”, nous pourrions donc avoir le blizzard à Paris tous les hivers…

    Vous pourrez même constater que ceci est compilé et publié dans les rapports du GIEC depuis au moins 10 ans… si vous tenez encore à cet argument d’autorité malgré ma précédente démonstration, mais pour infirmer le fait qu’une baisse des températures induite par l’accroissement des concentrations de gaz, ne serait pas envisagée depuis toujours par la science et même par le GIEC !

    Le “réchauffement climatique” est un terme politique et journalistique, mais a-scientifique.

    Répondre scientifiquement pour réfuter le “réchauffement climatique” est donc une erreur ou une malhonnêteté.

    – Le CO2 n’est pas le pire gaz à effet de serre engendré par les activités humaines !

    Les réacteurs des avions par exemple, engendrent des gaz qui sont au moins 20 fois plus générateur d’effet de serre que le CO2.

    Des estimations apolitiques et aGIECtiques estiment que les seuls trainées des avions sont à l’origine de 1% de l’effet de serre sur terre… (ce qui peut aussi occulter les chemtrails et les armes climatiques ou ionosphériques).

    Choisir de focaliser sur le CO2 est donc une démarche a-scientifique, une erreur ou une malhonnêteté.

    Nous pouvons enfin ajouter qu’avec les trous dans la couche d’ozone et l’agrandissement d’un nouveau trou au dessus de la Norvège qui à ce rythme pourrait vite atteindre la France, l’Homme devrait pourtant avoir compris qu’on ne peut pas jouer ainsi avec des concentrations dont on méconnait les effets et qu’il y a décorrélation entre la faiblesse apparente de concentrations et leurs effets sur la biosphère terrestre.

    En Nouvelle Zélande ainsi qu’en Norvège désormais, vous devez en permanence et toute l’année porter de la crème solaire, dès que vous sortez dehors, à cause des trous dans la couche d’ozone ! – Soit dit en passant, les composés qui rendent une crème solaire active, sont toxique; en porter toute l’année engendre donc de graves maladies, qui sont simplement statistiquement moins dommageables que les maladies induites par le trou de la couche d’ozone si la crème n’était pas portée –

    Cela signifie à cette échelle pour des concentrations ridicules de gaz qui engendrent ces trous dans l’ozone, que la vie humaine perd déjà localement en pérennité, en autonomie, en néguentropie, puisqu’elle est désormais dépendante d’une technologie, en l’espèce la crème solaire, pour soutenir un niveau acceptable de cancers et sur un temps plus long (milliers d’années), un niveau imprévisible de mutations génétiques qu’implique une exposition plus soutenue aux rayonnements radioactifs du soleil !

    Et là encore n’étant pas climatologue, avec toute la réserve qui s’impose, je note simplement le manque de sagesse, l’irresponsabilité et la bêtise, de ceux qui prennent position pour ou contre le GIEC, pour ou contre le réchauffement climatique, pour ou contre le CO2, alors que ces veuleries demeurent a-scientifiques, pendant que notre présent est déjà menacé et que notre avenir est peut-être compromis.

    Sans oublier que le pire péril n’est pas encore le climat, mais l’arme atomique et Fukushima ou plus encore les armes à plasma / anti-matière que les fous qui nous gouvernent développent peut-être déjà.

  • Christian , 28 septembre 2013 @ 15 h 23 min

    Les conclusions du Giec prennent appui sur des modèles mathématiques triturés par des ordinateurs puissants. Il convient de rappeler à cet égard qu’à la suite d’un concours lancé par le Roi de suède à la fin du XIXème siècle, le grand mathématicien français Henri Poincaré, qui en fut le lauréat, apporta une réponse définitive au fameux problème des n corps à savoir: la connaissance des trajectoires de n corps en interaction gravitationnelle, à partir de celle de leurs positions et vitesses initiales est impossible sur le long terme dès que n est plus grand que 3 ( je suis tout à coup pris d’un doute c’est peut être 5 mais ça ne change rien à mon exposé) Il montrait ainsi pour la première fois ce qu’était le chaos en mathématiques: le système d’équations gouvernant le mouvement des n corps admet bien une solution unique, mais il montra aussi qu’une variation infinitésimale dans les conditions initiales de vitesse et de position pouvait génèrer une modification non infinitésimale des solutions des équations. Dans la réalité astronomique, où les positions et vitesses des astres ne sont définies qu’avec les incertitudes liées aux imperfections de nos instruments, il est ainsi impossible d’affirmer que nous sommes capables de prévoir ces trajectoires sur le long terme.
    Revenons maintenant à la prévision du climat et constatons d’abord que les équations qui pourraient représenter valablement le comportement du climat, sont infiniment plus complexes que celles qui modèlisent la gravitation. Les modèles du GIEC sont en outre à coup sûr très grossiers par rapport à la réalité. Constatons ensuite que les conditions initiales qui pourraient servir à caler les modèles sont elles mêmes plus qu’incertaines (faisant appel à l’histoire plus ou moins bien connue, avec des dispersions très grandes selon les zones géographiques) Constatons enfin que sur le court terme, et même si les modèles sont différents, la prévision est loin d’être sans défaut, et ce, avec les calculateurs les plus puissants.
    Je ne peux pour ma part qu’être effaré par la prétention et la morgue récemment affichées par les représentants du GIEC.

  • Auditeur Libre , 28 septembre 2013 @ 22 h 07 min

    Je vous ai sans prétention noté 4/5 pour votre référence historique au problème de MECANIQUE CLASSIQUE RATIONNELLE à 3 puis n corps.
    Toutefois si l’exemple vaut pour illustrer un casse-tête scientifique qui a dû renoncer à une voie déterministe classique en vertu même de sa complexité de fond, en revanche la rude controverse sur la tendance du géo-climat global s’en distingue par ceci : c’est alors l’extrême foisonnement des paramètres descriptifs qui introduit d’emblée la complexité. Tandis que dans le problème de n corps en INTERACTIONS GRAVITATIONNELLES, les scientifiques ne doutaient pas initialement de pouvoir REDUIRE en “exhumant” des formalismes cachés traitables par l’analyse déterministe classique.
    D’entrée de jeu la géo-climatologie ayant prétention sur le long terme
    ne pouvait qu’espérer des succès partiels sous formes d’ajustements des jeux d’observables empiriques à des modèles tentant patiemment de perfectionner a posteriori leurs pertinences à rendre du compte du Réel.
    Poincaré a œuvré dans le domaine du déterminisme “hard” dans la tradition newtonienne, mais sur la géo-climatologie il ne pouvait raisonnablement en être question.

  • Christian , 29 septembre 2013 @ 15 h 13 min

    Le ”distinguo” très pertinent que vous établissez entre l’œuvre de Poincaré et celle des géo climatologues à Long terme, outre qu’il ne réfute pas la possibilité d’existence d’une composante chaotique dans l’évolution du climat, insiste sur la nécessaire modestie des objectifs qui doit animer ces géo climatologues ( vous évoquez la patience à perfectionner les modèles et dites vous surtout À POSTÉRIORI!) Avec vous, je suis tout à fait d’accord avec l’esprit de cette démarche qui est celle de la plupart des géo climatologues sérieux. Le fait que les instances dirigeantes du GIEC n’hésitent pas à tirer des conclusions opérationnelles ( c’est à dire orientées vers le futur, en opposition avec l’attitude de prudence à postériori) à partir du seul modèle,largement contesté, impliquant l’homme et ses activités, est d’essence idéologique et par là totalitaire.

  • Auditeur Libre , 29 septembre 2013 @ 19 h 15 min

    Pour l’essentiel nous partageons beaucoup.

    Les hypothèses de type “chaotiques” sont très à la mode, toutefois ce n’est pas parce qu”un système réel procède d’une extrême complexité et surtout très partiellement “réduite” par insuffisamment de paramètres fécondant des modèles déterministes, qu’il y a “du chaos dans l’air”. Ainsi de la santé d’une personne humaine même en 2013 il y a de larges “continents déterministes” découverts mais les conclusions honnêtes doivent réserver des intervalles de confiance probabilistes car de nombreux liens de causalité ne sont pas “réduits” notamment dans les implications par le bagage génétique personnel. Vouloir supputer du “chaotique” dans les indicateurs de santé, ne serait-ce pas du défaitisme ?
    Du moins dans ce domaine la santé humaine bénéficie-t-elle de “modèles animaux” pour expérimenter en labo (notamment la pharmacopée) dans le cadre d’une éthique anthropocentrée. Il n’en va pas de même pour l’astrophysique et pour la géo-climatologie ! Hélas on ne peut pas “cloner” un échantillon de n Univers parallèles avec autant de Terres dans le même état initial et y forcer un panel de préparations de labo différentes (abandon des combustibles carbonés / plantations chlorophyllienne à outrance / assassinat arbitraire de la moitié de la population / inversement utilisation maximale du charbon/ etc…).

    A la fin vous assimilez forcément idéologie et totalitarisme, je ne vous suis pas là-dessus. Certes la biologie fallacieuse à la Lyssenko fut fille du stalinisme, d’autres exemples vont dans ce sens comme le racisme “scientifique” du nazisme, etc. Il y eut dans certaines parties d’Europe une sub-idéologie “naturaliste-hygiéniste” qui mena campagne contre le chemin de fer mais cette mentalité ne se concrétisa pas en pouvoir totalitaire d’Etat. L’idéologie rampante de l’hédonisme et de l’adolescence-sans-fin, développée d’abord sur les teen-agers aux USA dans les 50’s se cachait sous une séduction mercantile et ultra-libérale : or elle s’imposa sans totalitarisme.

    Je vous propose de relire ma conjecture déjà exprimée le :
    24 sept 2013 à 18:14

    A côté des hypothèses purement physicochimiques, où aucune n’a réussi à éliminer les autres, il faut aussi réfléchir en termes « psycho-politiques ».

    D’abord les activistes du GIEC (ou IPCC = International Panel on Climate Change) restent éminemment suspects de fabriquer des éléments grossis voire fallacieux en sorte à pérenniser leurs postes budgétaires. C’est le registre subreptice de toute Recherche : la recherche du Phynancement. Les Etats et leurs sub-structures sont à cet égard pris psychologiquement en otages devant leurs opinions publiques. Même si la gravité du danger n’est pas démontrée et surtout que l’ « auteur » (au sens policier : ici le CO2) principal ne mérite pas une imputabilité catégorique, la puissance publique ne peut faire politique de l’autruche dès lors que une sorte d’émotion millénariste a pris racine dans les opinions lambda.

    D’autre part il est fort possible qu’un groupe d’Etats pilote en sous-main l’activité carboniphobe du GIEC pour des raisons géo-économico-stratégiques.
    En effet depuis plus d’un siècle et demi le monde entier est sous drogues dures : charbon puis fratrie huile-gaz ont permis le développement fabuleux de la prospérité fille de l’industrie. La dé-fossilisation des gisements carbonés reste une épopée inégalée, on peut dire qu’il y a l’humanité d’avant avec des énergies parcimonieuses, et d’après celle où tous les actuels survivants et même leurs parents sont nés.
    Or fatalement nous allons vers des temps où la finitude des gisements multipliera les rivalités à couteaux tirés, moult événements géostratégiques du dernier demi-siècle abondent cette assertion. Aussi des cercles décisionnels pan-étatiques peuvent avoir expertisé qu’il faut préparer les opinions, et d’abord celles des pays les plus gourmands, à consentir du moins temporairement des sacrifices pour une mutation énergétique avec abaissement drastique de la part des fossiles carbonés notamment hydrocarbures.
    Or psychologiquement il est très difficile de faire admettre le rationnement car l’énergie est universellement pensée à présent comme un aliment vital. La pénurie d’énergie est socialement devenue aussi explosive que la pénurie de pain.
    C’est pourquoi un autre procédé psychologique détourné peut bien mieux faire l’affaire pour pousser à intérioriser l’exigence de frugalité carbonée. Cette arme de guerre psychologique, c’est la Reine sur l’échiquier des mentalités : la CULPABILISATION. Ces grands manipulateurs que sont toujours les dirigeants ne peuvent ignorer que le consommateur cédera plus facilement si on l’amène à un sentiment de HONTE non pas directement sur l’acte alimentaire mais en rétro-action par diabolisation du sous-produit déchet : le CO2.
    En somme l’équation psycho-politique à instiller serait :
    CO2 = CACA,
    … si tu consommes trop tu emm… la terre entière.

  • Christian , 30 septembre 2013 @ 16 h 15 min

    Pour conclure cette affaire de climat, je vous confierai que je crois très fort que Dieu s’est non seulement réservé le terrain de certaines réalités inatteignables par nos sens, mais aussi, dans la réalité à nous sensible, nombre de domaines inaccessibles à une connaissance pour nous ultime. Le climat fait probablement partie de ces derniers. Autrement dit, si nous voulons changer le climat ou prévenir une évolution supposée, il est pour moi plus efficace, en l’état actuel de notre connaissance, de demander à Dieu de le faire à notre place, comme le faisaient nos ancêtres. Au lieu de quoi, à la manière des apprentis sorciers, nous utilisons le peu que nous savons pour instrumentaliser certains effets ainsi qu’on a pu l’apprendre lors des reportages télé sur les championnats du monde d’athlétisme où il fut avancé que sur instruction des plus hautes autorités russes, l’armée de l’air avait oeuvré dans les environs pour obtenir un ciel clément. Ne doutons pas que des expériences beaucoup plus éprouvantes aient été tentées ailleurs, avec des intentions nettement moins pacifiques, ce qui nous éloigne considérablement de la recherche patiente et prudente de corrélations que vous préconisez, et qui ramène les instances mondialistes qui soutiennent le GIEC au rang de pompiers pyromanes.
    Évidemment, tout cela va aller de plus en plus mal, mais nous savons qu’au final, c’est Dieu qui aura le dernier mot!
    Bien à vous

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