Réchauffement climatique : l’innocence du carbone

Lundi matin sur RTL, François Gervais remet en cause l’une de nos grandes peurs contemporaines. Le CO2 a certes augmenté depuis le XIXe siècle, passant de 300 ppm à 400 ppm mais l’effet de serre dû au CO2 est maintenant saturé, explique-t-il. “Concrètement, l’effet de serre du CO2 est une réalité, mais une réalité tellement forte qu’à l’heure actuelle, il est presque saturé, c’est-à-dire qu’on peut en envoyer (dans l’atmosphère, ndlr) davantage mais ça n’aura pas d’incidence notable, mesurable sur la température de la planète. J’en veux pour preuve une observation que tout un chacun fait, y compris le GIEC, à savoir : au niveau du sol, depuis dix-sept ans, les températures n’ont pas augmenté alors que dans cette période-là, on a envoyé un tiers de tout le CO2 émis dans l’atmosphère depuis le début de l’ère industrielle au XIXe siècle.” François Gervais constate aussi que les partisans du réchauffement climatique d’origine anthropique ont pris une conséquence pour une cause : en effet, les fluctuations de température précèdent celles du CO2… Bref, cela fait trente ans que les élites mondialisées nous culpabilisent et nous racontent n’importe quoi sur un réchauffement climatique bel et bien naturel.

François Gervais est physicien, spécialiste de thermodynamique. Professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, médaillé du CNRS et primé par l’Académie des Sciences, il a récemment été choisi comme rapporteur critique par le GIEC.

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43 Comments

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  • Adock , 27 septembre 2013 @ 1 h 48 min

    Sur l

  • Adock , 27 septembre 2013 @ 1 h 52 min

    Le problème est conceptuel et logique.

    Le veulerie et l

  • Adock , 27 septembre 2013 @ 1 h 53 min

    La seule chose qu’il y

  • Adock , 27 septembre 2013 @ 2 h 52 min

    Vous citez les arguments que donnaient des commentateurs sur votre site, comme si vous ne veniez pas juste de découvrir ces derniers, vous offrez des arguments d’autorité invraisemblables, vous prétendez comprendre le climat et vous prétendez qu’on peut comprendre le climat, tout en politisant la question !

    Monsieur Martin, cet article ne démontre rien, il est suffisant, injurieux, irresponsable et stupide.

    Le questionnement n’est pas en cause, mais la conclusion.

    Nous ne possédons aucun modèle viable pour expliquer le fonctionnement du climat et nous ne sommes pas près d’en posséder un, à cause des limites de l’informatique à transistors de silicium (nos ordinateurs qui sont des milliards de fois trop fragiles).

    De fait les conclusions de cet individu sont inexactes, puisque nous ne pouvons pas conclure !

    De surcroit l’informatique n’est pas tout.

    Tenter de comprendre le climat requiert de maitriser de multiples domaines, liés à la physique nucléaire et à la cosmologie (compréhension des mécanismes du soleil et des atmosphères des autres planètes), à la biologie (compréhension des mécanismes qui absorbent le CO2 par le plancton et les plantes), à la géologie (les volcans sont à l’origine de la formation de l’atmosphère) et cetera.

    Dans ces conditions nous ne pouvons conclure et toute conclusion n’est qu’une escroquerie.

    La saturation est un faux problème, car nous méconnaissons les effets cumulatifs.

    Les océans stockent le CO2, les océans sont les principaux puits de carbone… nous ne comprenons pas ce mécanisme !

    Il y a donc des modèles qui peuvent considérer des effets différés dans le temps, des effets qui sont constatés à certaines échelles.

    Prétendre qu’il n’y a pas de déstabilisation climatique aujourd’hui (ce qui est d’ailleurs tout à fait incertain) ne suppose pas l’absence d’effet boomerang dans 30, 50, 300 ou 3000 ans.

    Du fait notamment que les océans stockent les gaz et à cause de l’accroissement de l’acidité des océans (à cause des gaz justement) les coraux meurent, les plantes sous marines meurent et les océans pourraient alors d’un seul coup rejeter tout le CO2 stocké pendant 2 siècles.

    Nous pouvons aussi regarder la planète Mars pour comprendre le climat.

    Son noyau s’effondre, l’activité volcanique cesse, puis l’atmosphère fini par foutre le camps dans l’espace, puis l’écosystème qui a peut-être existé sur Mars, disparait alors (on retrouvera peut-être des traces bactériennes ou fossiles sur Mars).

    Cela démontre que trop peu de gaz à effet de serre engendre la mort d’un astre froid comme Mars ou comme la terre.

    Mais malgré cela, la religion (laquelle ?) dicte que dans l’autre sens il n’y a pas de problème, que trop de gaz à effet de serre ne poserait pas de problème ?

    Alors regardons les autres planètes du système solaire, leurs atmosphères et climats… et étudions dans le passé de la terre l’état de l’écosystème (dinosaures) lorsqu’il y avait beaucoup plus de gaz à effet de serre qu’aujourd’hui dans l’atmosphère terrestre…

    Alors le soupçon est fondé et une série de soupçons constituent une preuve suffisante.

    Une preuve suffisante pour que nous changions nos modes de production et de consommation d’énergie, jusqu’à ce que l’humanité soit prête pour gérer en conscience la physique du 21ème siècle qui résoudra tous nos problèmes énergétiques et environnementaux.

    Mais cela, c’est une autre histoire.

    Monsieur Martin, vous échouez à nous faire croire que vous maitrisez, même juste un peu ces questions.

    Moi je ne prétend rien, je refuse les arguments d’autorité et je crois juste que des gens cherchent à défendre la thèse du dérèglement climatique pour justifier le nucléaire et collectivisme, lorsque d’autre comme vous, cherchent à nier les preuves constituées par un faisceau de recoupements, par religiosité pour un mode de vie fugace et irresponsable.

    La physique pourra certainement résoudre tous nos problèmes énergétiques au 21ème siècle (et certainement pas avec le CNRS, ITER, Megajoule et toutes ces vraisemblables conneries), mais avant cela nous devons gagner en sagesse en réduisant la population mondiale, en arrêtant immédiatement le nucléaire, en faisant massivement du solaire thermique, sans quoi, avec les même codes comportementaux, cette nouvelle physique nous annihilera encore plus certainement que le nucléaire aujourd’hui, qui pourtant risque déjà de nous envoyer en enfer, comme vous le DEMONTRE Jean Pierre Petit, un autre directeur de recherche du CNRS, pour finir sur un argument d’autorité, je le regrette, indispensable, pour les 95% d’individus qui doivent apprendre à penser par eux mêmes.

  • Adock , 27 septembre 2013 @ 3 h 18 min

    Les conclusions du GIEC sont ratifiées par tous les pays membres.

    Le GIEC ne fait aucune recherche mais compile les travaux de recherche partout dans le monde.

    Le GIEC sert à justifier le nucléaire.

    Le GIEC sert à occulter le déploiement des armes climatiques et atmosphériques.

    Citer le GIEC pour soutenir ou infirmer la thèse d’une destabilisation climatique, n’est donc qu’un acte politique.

    Et la science dans tout cela ?

    Cette question ne peut plus être politisée.

  • Citoyen , 27 septembre 2013 @ 8 h 38 min

    + Vincent courtillot. Les vrais scientifiques réfutent donc tous la cause anthropique?

  • scaletrans , 27 septembre 2013 @ 9 h 17 min

    J’ignore quelles sont vos qualités, mais ce que vous proférez là sont des incongruités que pas un physicien honnête n’admettra (mais je reconnais qu’il y en a de malhonnêtes, notamment au GIEC).
    Maintenant, si vous voulez vous affronter à des pointures dans le domaine de la climatologie et de la thermodynamique, venez donc discuter librement sur http://www.skyfall.fr/ vous serez le bienvenu… si vos arguments tiennent la route.

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