Ils seront prêts à tout pour continuer à tromper les gens sur le climat, étiquettes absurbes, diffamation, censure…
Après climato-septique, devenu dénialiste, voici les études scientifiques trompeuses, les revues prédatrices et bientôt les observations qui ne sont pas réelles. pic.twitter.com/z93FsmJt89
— Ξlpis (@Elpis_R) April 21, 2023
Non comptant de supprimer toutes variabilités naturelles de leur modèle, les scientifiques affiliés au GIEC appellent à supprimer des études scientifiques aux conclusions non-conformes au récit préétabli (en diffamant au passage les auteurs sur base d’accusations infondées). pic.twitter.com/Ydi3MPtFTB
— Ξlpis (@Elpis_R) April 21, 2023
Fait amusant, l’un des auteurs qu’ils critiquent dans l’article est le Prof. Dr Fritz Vahrenholt (????), un ancien relecteur du GIEC qui avait dénoncé les conclusions du GIEC car elles ne correspondaient pas aux données.https://t.co/RzlosaDX3u
— Ξlpis (@Elpis_R) April 21, 2023
On sait que ces pratiques non-scientifiques faîtes par le GIEC sont courantes et depuis toujours, supprimer des études en faisant pression sur les éditeurs ou la faire rejeter suite une review faite par l’un d’eux…
Ils ont été exposés via des e-mail :https://t.co/A6WZquLC6D
— Ξlpis (@Elpis_R) April 21, 2023
Pour finir et pour bien comprendre le niveau zéro des critiques, voici ce qu’utilisent ces scientifiques pour tenter de réfuter l’une des études.
Un argument d’autorité “les auteurs ignorent le rapport faisant autorité (GIEC)…” et une conjecture.
À mourir de rire. pic.twitter.com/IBeRBpbdw6
— Ξlpis (@Elpis_R) April 21, 2023
Ces étiquettes absurdes servent ensuite à des comptes douteux sans connaissance en science, incapables d’interpréter la substance d’une étude, pointer une erreur, réfuter ou faire là ≠ entre observation et modèle, de prétendre qu’une étude est fausse ou juste salir une personne. pic.twitter.com/P9hYmHuoiR
— Ξlpis (@Elpis_R) April 21, 2023