Comme vous tous, j’apprends les attentats de Bruxelles qui succèdent à ceux de Paris, et qui en précèdent bien d’autres encore. J’apprends du fin fond de la Birmanie où j’ai eu la chance d’être invité que les mesures de sécurité sont renforcées, que les Thalys font demi-tour, que les aéroports et les stations de métro sont fermées en Belgique, que M. Cazeneuve va mettre 1 600 policiers ou militaires supplémentaires dans la rue.
Mais M. Cazeneuve comme tous nos dirigeants européens vous êtes aveugles, vous vous moquez du monde. Contre le terrorisme, celui-là en particulier, ce terrorisme dit radical-islamiste, vous ne pouvez rien faire. LE vers est dans le fruit. Les djihadistes sont chez nous depuis belle lurette, et leur nombre s’est sérieusement élargi avec votre politique débile d’ouverture des frontières à tout va, et votre politique de surtout pas d’amalgame.
Au lieu d’abandonner Schengen, au lieu de retrouver le contrôle de nos frontières, au lieu de remettre en vigueur une politique de visa sans concession avec les pays dont on sait que les ressortissants peuvent être dangereux, vous ouvrez la porte de l’Europe à tout va. Le Parlement français a voté une loi scélérate sur l’immigration en catimini nocturne. L’ensemble des dirigeants européens a signé un accord imbécile avec la Turquie. On offre six milliards à cet état devenu fasciste par la grâce de son Président et de son Premier Ministre alors que l’on sait pertinemment qu’elle laissera les migrants pénétrer en Europe comme elle l’a toujours fait et qu’il est, cerise sur un gâteau pourri, le premier complice des terroristes de l’Etat islamique. Et le premier propagateur de la foi islamique. Mustapha Kemal est vraiment bien oublié, et Erdogan n’est plus son prophète.
“Nous réalisons, avec retard, que votre politique de lutte contre le terrorisme est du vent. Du vent venu des déserts d’Arabie où le pétrole vous tient comme une corde au pendu.”
Le peuple d’Europe gronde de ne pouvoir rien faire devant tant d’irresponsabilité gouvernementale. Nous grondons car nous réalisons, avec retard, que votre politique de lutte contre le terrorisme est du vent. Du vent venu des déserts d’Arabie où le pétrole vous tient comme une corde au pendu.
Oui, Monsieur Cazeneuve, vos paroles et vos actes sont de papier, car vous le savez fort bien, vous ne pourrez rien faire contre ces fous d’Allah prêts à se faire sauter au milieu de nos femmes, de nos enfants, de nos villes, pour gagner le paradis avec leurs promesses de conte de fées (plutôt d’ailleurs de conte de sorcières). Je ne mentionne même pas le Président Hollande dont on sait, et il l’a encore prouvé le 19 mars, qui sont ses protégés.
Il fallait agir avant. Il fallait oser appeler un chat un chat. Le terrorisme se combat dans les écoles, dans les lycées, avec des lois d’airain. Le Coran, comme il semble être enseigné, lu et interprété est une malédiction pour nos pays européens. Vous avez peur de le dénoncer, peur d’avoir, ce faisant, de nouveaux attentats. Mais ces attentats, vous les aurez de toutes façons. Alors, prenez le taureau par les cornes. Les terroristes savent que vous n’avez rien fait pour les combattre. Ils savent que vous préférez condamner ceux qui osent, comme ici, parler vrai. Arrêtez d’accueillir ces hommes seuls dont on ne sait pas ce qu’ils nous feront demain.
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