« Quand tout va mal et que vous cherchez votre décision, regardez vers les sommets; il n’y a pas d’encombrement », confiait le Général De Gaulle à André Malraux, comme une devise…
Lucidité courage, grandeur. Voilà ce qui fait aujourd’hui défaut aux peuples d’Europe et à leurs dirigeants. Un nouvel attentat et pour seule riposte le bal des pleureuses.
Bien sûr, il est légitime qu’une famille soit bouleversée par la perte des siens et qu’un pays porte le deuil. Mais ce n’est pas avec des mouchoirs et des craies de couleur que l’on gagne les guerres. C’est en faisant face à l’ennemi, chez lui et chez nous.
Or cet ennemi, ce n’est pas le terrorisme – celui-ci n’est qu’un moyen dont les djihadistes n’ont hélas pas le monopole – mais l’Islam. Soit une religion qui, en plus d’être une imposture, ne connaît que la guerre et la conquête depuis que son fondateur mythique s’est exilé de La Mecque à Médine, c’est-à-dire depuis le début de l’ère musulmane en 622 après Jésus-Christ.
Un livre « saint » parsemé d’appels au meurtre, un « prophète » qui jouait du cimeterre, et 14 siècles d’invasion et de razzias devraient suffire à nous convaincre que la religion musulmane n’a que faire du « vivre ensemble », seule lui importe la « soumission », ce que signifie d’ailleurs le mot « islam ».
Le mal qui nous frappe aujourd’hui n’est pas nouveau. Jusqu’ici il était lointain – dans le temps ou dans l’espace – et nous pouvions donc nous permettre de l’ignorer. Mais, en raison d’une folle politique migratoire, l’Europe occidentale est à présent en voix de libanisation. Et l’actualité nous montre que les bouchers de Bagdad n’ont nullement l’intention de se faire agneau une fois leurs valises – pleines de bombes – posées à Paris ou à Bruxelles. Le martyr des peuples arabes est à présent le nôtre.
Il y a deux ans déjà l’archevêque de Mossoul en Irak nous avait prévenu : « Nos souffrances d’aujourd’hui constituent le prélude de celles que vous Européens et chrétiens occidentaux subirez aussi dans un proche avenir ».
Nous y sommes et invoquer la paix ne nous sera d’aucun secours. Pour conclure celle-ci, il faut en effet être deux à le vouloir, autrement cela s’appelle une capitulation.
“Le destin de la civilisation européenne, chrétienne et latine, et celui de l’Islam radical sont intimement liés. Si l’un recule, l’autre avance. Il n’existe pas de trêve durable et la plus longue qui a été vient de se terminer.”
Alors que faire ? Relever la tête et regarder vers les cimes lointaines de notre vieille civilisation. Pourquoi l’Europe n’est t-elle plus capable de tenir tête au monstre djihadiste, elle qui l’a repoussé à Poitiers en 732, à Vienne en 1529 et en 1683 et à Lépante en 1571 ? Elle qui a délivré Jérusalem en 1099 ?
Nos ancêtres n’avaient pas la supériorité technologique que nous avons actuellement sur les fous d’Allah. Mais ils avaient des Papes qui appelaient à prendre la croix alors que le nôtre se déchausse en entrant à la mosquée. Ils avaient des chefs qui prenaient la tête de leurs armées quand les nôtres prennent celle des commémorations. Ils avaient des hommes qui aspiraient à être des héros quand les nôtres se complaisent à être des victimes.
Ils savaient que la paix n’est pas un lâcher de colombes mais la tranquillité dans l’ordre, selon la formule de saint Augustin, et que faire la guerre est souvent le prix a payer pour l’obtenir.
Il est donc urgent de cesser le temps des numéros verts, des centres de dé-radicalisation, des palabres interreligieuses et des appels au « pas d’amalgame ». Doit lui succéder celui de la neutralisation de ceux qui se rendent complices d’actes de terrorisme, de la censure pour les livres – fussent-ils « sacrés » – qui appellent au meurtre, de la fermeture des lieux – fussent-ils de culte – où l’on prêche la sédition, de l’exil – fut-il massif – pour ceux qui vénèrent un égorgeur.
Le destin de la civilisation européenne, chrétienne et latine, et celui de l’Islam radical sont intimement liés. Si l’un recule, l’autre avance. Il n’existe pas de trêve durable et la plus longue qui a été vient de se terminer.
L’Europe doit cesser de geindre sur elle-même et assumer le défi que lui a assigné la providence en la faisant voisine du Dar-al-Islam. Oui, c’est maintenant ou jamais qu’il faut libérer une fois pour toute l’humanité de cette secte monstrueuse qui la maintient dans la terreur depuis le VIIème siècle. « Dieu le veult ! »
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