Le jour de Colère intrigue. Pour certains, il dérange. Pour nous, c’est bon signe…
Les thèmes de protestation du Jour de Colère sont directement en rapport avec la chute de popularité de François Hollande et de son gouvernement dans les sondages. Mais les questions ne sont jamais posées aux français sous cet angle. Seul le Jour de Colère et son collectif de 50 organisations de la société civile ose faire la liste des mécontentements de nos concitoyens. Ce sont ces thèmes que le Jour de Colère mettra en avant ce dimanche 26 janvier.
La colère fiscale est le premier d’entre eux. Le mouvement des Bonnets Rouges a fait tache d’huile et n’appartient aujourd’hui à personne, tant l’urgence de la justice fiscale est partagée par l’opinion. A l’heure où les français exigent des économies, le coût d’une scène de ménage à l’Elysée se chiffre à plus de trois millions d’euros ! Le Jour de Colère ne paiera pas pour ça.
La faillite éducative est le deuxième thème de colère. La catastrophique réforme Peillon est un écran de fumée pour masquer l’échec de l’éducation nationale, la dictature des syndicats d’enseignants et le poids de l’idéologie dans les programmes scolaires. Partout dans le monde, la place de la France recule. Dans les classements sur l’éducation, elle s’effondre. Le Jour de Colère n’accepte pas cela.
La destruction de l’emploi, le chômage de masse, le carcan bureaucratique qui entrave les entreprises et les charges qui les écrasent sont un sujet de colère grandissant. Les faillites industrielles et les suppressions d’emplois menacent la survie économique de la France. Qu’ils soient chômeurs, artisans, commerçants, paysans, tous les membres actifs de la vie économique sont exaspérés et vont le dire dimanche. Le Jour de Colère lance la contre-offensive.
La politique idéologique du gouvernement à l’égard des familles est en décalage complet avec les préoccupations des français. Les priorités des familles n’ont rien à voir avec les lubies de Belkacem ou les fantaisies de Taubira. Alors que la famille est le premier lien social et le dernier rempart contre la précarité, le gouvernement mène une politique qui détruit cette solidarité. Le Jour de Colère ne laissera pas faire.
La souveraineté nationale a été bradée par François Hollande, qui se couche devant les technocrates de Bruxelles. L’identité nationale est bafouée par les « experts » de Jean-Marc Ayrault, qui réclament le remplacement de notre culture, de nos lois et nos mœurs. Les convictions des croyants sont insultées jusque dans leurs lieux de culte par des profanatrices Femen payées sur nos impôts. La liberté d’expression est traquée partout où elle subsiste. Le Jour de Colère va nettoyer tout ça.
Les sujets de colère sont si nombreux qu’on ne peut les citer tous, mais ils seront tous exprimés dans la rue le dimanche 26 janvier. Le peuple demande des sanctions et Hollande devra payer bientôt.
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