Le mentor du président Hollande enfin démasqué !

Il s’appelle Philip Roth et “sa grande tâche est de ne rien faire” écrit Le Monde.fr avec Reuters. De là, on pourrait penser que le président Solferino serait bien inspiré de tirer toutes les judicieuses conséquences des décisions si avisées de son mentor : “Le romancier américain Philip Roth confirme… qu’il se retire de la vie publique”. On serait soulagé d’entendre par la voix du président Solferino, en France, ce que Philip Roth a dit au présentateur de la télé : “C’est ma dernière apparition à la télévision, oui, vraiment la dernière.”

Quel bel exemple accompli en matière d’honnêteté intellectuelle devant ce constat de “l’inaction au sommet” : “Je me suis attelé à la grande tâche de ne rien faire. Ces trois ou quatre dernières années, j’ai pris du bon temps”. L’entretien nous apprend que “l’obsession du romancier, c’est la langue : trouver le mot qui vient après, celui qui convient… Ça vient ou ça ne vient pas… J’arrive ou pas à dire ce que je veux…” Mais de là à croire que le président Solferino serait un futur lauréat du prix Pulitzer, ça craint !

Une autre leçon de politique socialiste concerne ce qu’on a appelé “L’amendement anti-fessée” qui a été sorti de la loi “famille” ! On lit dans Le Monde.fr : “La fin des fessées, ce n’est pas encore pour cette fois”.

Le Monde.fr poursuit : “L’interdiction de tels châtiments… recommandée par le Conseil de l’Europe (est) prônée dans un rapport remis début avril au gouvernement par le juge des enfants Jean-Pierre Rosenczveig”, lequel s’est déjà si souvent illustré par ses prises de position en faveur de la politique socialiste et par sa défense obstinée du laxisme judiciaire. Si, on lit dans Le Point.fr : “L’interdiction de la fessée se prend une claque”, il semble bien que ce ne soit pas la seule “claque” qui se profile à l’horizon politique de la république socialiste. En effet, la presse nous présage, à propos des élections européennes, “une chronique d’un désastre annoncé”, tant “la lecture des sondages est proprement catastrophique”.

Pourtant, ce présage ne devrait pas affecter l’incompétence et l’amateurisme de l’État-PS, totalement submergé dans le royal bourbier de sa culture socialiste du déni de réalité. C’est pourquoi, on comprend que “l’interdiction de la fessée” ne s’applique pas en politique. Et c’est pourquoi, l’incompétence et l’amateurisme de l’État-PS seront bientôt punis ! Si le rapporteur Lambert-vert a pu indiquer : “La violence n’est jamais obligatoire pour assurer l’autorité parentale”, et ce pour essayer de justifier son activisme législatif, on aurait souhaité également percevoir une claire conscience que “l’abus de la violence législative et médiatique en matière politique par la république socialiste n’est jamais obligatoire pour assurer l’autorité de l’État-PS” !

Laurence Rossignol, la secrétaire d’État à la famille, a répondu au Lambert-vert : “Je préférerais que nous abordions cette question sous l’angle de la prévention de la maltraitance.” Et nous aussi, nous aurions assurément préféré que le président Solferino aborde la question de la politique conduite par le gouvernement de la France sous l’angle de la présidence de la République de “tous les Français”, alors que tant de lois iniques de l’État-PS ont maltraité les valeurs morales des familles et des citoyens, comme les valeurs libérales des entrepreneurs. Bien évidemment, le président Solferino n’a ni la largeur de vue, ni l’intelligence politique de Nelson Mandela, dans sa mission de paix et de réconciliation nationale et la création d’un État “non racial”.

La presse nous apprend que la “rapporteure” (ou rapporteuse) socialiste de la loi sur la famille, Marie- Anne Chapdelaine, a rappelé qu’une proposition de loi pourrait être déposée au Sénat sur la “protection de l’enfance”, où une telle disposition aurait mieux sa place. C’est dans ce texte que l’on voudrait voir l’intérêt de l’enfant consacré, contre la PMA-GPA et la propagande du genre à l’école du lobby LGBT, des dispositions amorales iniques encore suspendues aux tergiversations d’une clique de militants activistes au service de l’idéologie socialiste faussée du président Solferino.