Pour survivre pendant le 2e confinement, cette esthéticienne travaille… dans un abattoir (REPORTAGE)

En Bretagne, les portes de l’institut de beauté d’une esthéticienne restent closes depuis fin octobre. Mais les charges fixes, 1 500 euros par mois, continuent de tomber. Incapable de survivre économiquement à ce deuxième confinement, Malvina Tréfine a décidé de se retrousser les manches. Trois jours après l’annonce du confinement épisode 2, elle accepte une mission d’intérim dans un des plus grands abattoirs de porcs de Bretagne. L’esthéticienne de 27 ans voulait trouver un travail vite pour payer les charges en cours et ne pas assécher la trésorerie de sa jeune entreprise :

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