Frigide, tais-toi et mets-toi à genoux devant ce qui te dépasse !

“C’est un monsieur qui n’allait pas bien et qui était dans une idéologie mortifère”, voilà ce que Frigide Barjot trouve à dire, entre autre âneries et écœurantes jocrisseries, alors qu’un très grand bonhomme, dont je ne partageais pas toutes les positions, vient de se suicider.

Voilà ce que cette cervelle de poule, qui ne sera jamais capable de saisir le millième de la beauté et de la puissance de l’œuvre de Venner, est capable de produire alors que dans un geste hideux mais puissant, cet homme s’est tiré une balle dans la bouche en pleine cathédrale. Voilà ce que cette fille, qui se prétend catholique, produit en exemplaire sale relais de toutes les pourritures satisfaites de notre temps.

Voilà l’égérie que tant de jeunes nigauds pleins de bonne volonté ont choisie.

Frigide Barjot, tu n’as ni décence, ni profondeur, ni épaisseur. Tu es l’image parfaite de cette époque, bruyante, insane et creuse. Tu aurais pu te taire, ignorant tout de cet être profond qui vient de mourir, éclaboussant les pierres de Notre Dame d’un sang que Dieu chérit infiniment, malgré le refus même de Venner d’être chéri. Non, tu as choisi de parler, de parler sans savoir, sans comprendre, te servant de façon ignoble de cette mort comme d’un repoussoir, usant de ce suicide pour paraître plus lisse, plus normale, plus conforme, plus “irréprochable” que jamais.

Si le sang de Venner doit retomber sur quelqu’un, qu’il retombe sur toi, qu’il t’inonde de sa culture, de sa finesse, de sa grâce et de son amour de la France, et que tu apprennes, enfin, à te taire, et à te mettre à genoux devant ce qui te dépasse.

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158 Comments

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  • mariedefrance , 22 mai 2013 @ 12 h 04 min

    La dernière lettre de Dominique Venner.

    “”””Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants.

    J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit.

    Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force.

    Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable.

    J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation.
    Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.

    Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté.

    Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies.
    Je m’insurge contre la fatalité.
    Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire.

    Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.

    Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences.

    À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.

    Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles.

    Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté.

    Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer.
    Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste.

    Dominique Venner est né en 1935.
    Il est essayiste et historien.
    Il est le fondateur de La Nouvelle Revue d’Histoire.
    Il a publié un grand nombre de livres (parmi lesquels Le Siècle de 1914 ou Histoire et traditions des Européens).
    Derniers essais parus : Le Choc de l’Histoire (Editions Via Romana, 2011), L’Imprévu dans l’Histoire (Éd. Pierre-Guillaume de Roux, 2012). Essai à paraître chez cet éditeur : « Un Samouraï d’Occident. Le bréviaire des insoumis ».

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/21-05-2013/exclusif-les-raisons-dune-mort-volontaire-par-dominique-venner

  • Diex Aïe ! , 22 mai 2013 @ 12 h 33 min

    C’est faux… CIVITAS n’appel pas à voter Sarko… qui t’as dit cela?

  • Diex Aïe ! , 22 mai 2013 @ 12 h 34 min

    OUI TOUS AVEC CIVITAS ! ! !

  • Diex Aïe ! , 22 mai 2013 @ 12 h 35 min

    FRIGIDE TAIS-TOI ! ! ! CASSE-TOI ! ! ! DISPARAIS ! ! ! OUST ! ! !

  • A. , 22 mai 2013 @ 12 h 36 min

    @Diex aie!
    Je l’ai entendu sur Radio Courtoisie hier ou avant-hier
    et PG l’a confirmé à ma demande.
    A.

  • Diex Aïe ! , 22 mai 2013 @ 12 h 38 min

    Il le faut !

  • Diex Aïe ! , 22 mai 2013 @ 12 h 40 min

    je te suiciderai avec grand plaisir HerbeDeProvence !

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