Donner sa vie à Notre-Dame

17 Comments

• 

  degabesatataouine , 23 mai 2013 @ 9 h 52 min

  Oui mais ils ont l’excuse ou du moins comme explication: la haine
  Certains commentaires de ce site par leur sectarisme, pour ne pas dire fanatisme, d’une église coupable en grande partie, par son aide inconditionnelle à l’immigration et par ses attaques contre ceux qui s’y opposent de la décision héroïque de Dominique Venner face au”grand remplacement”, me remplissent d’une rage qui me fait mieux fait comprendre les réactions des armées républicaines en Vendée face aux mêmes traîtres à la Nation.
• 

  degabesatataouine , 23 mai 2013 @ 13 h 57 min

  Monsieur Ghisoni,si votre intervention sur le fond ,comme celles qui l’ont précédée sur ce site remet certainement du chaud au coeur à ceux qui enragent par la teneur de certains commentaires, c’est par sa forme qu’elle mérite le plus de compliments par l’usage du vocabulaire que vous en faites.
  Déja l’ambiguité de votre titre : “Donnner sa vie à Notre Dame” ,encore qu’une des deux hypothèses prête peut être à celui qu’il faut appeler un ” sur-humain “, une intention qu’il n’explicitait pas,elle permet au moins à ceux formés à la casuistique jésuistique une raison de louer son acte.
  Ensuite, pas une fois le mot suicide n’y apparait,mot fatal légitimant les accusations de désespoir,maladie mentale ou lâcheté dont ne se privent pas de l’accuser certains sous-humains de ce site ,soit parce que trop fainénants pour lire ce qu’il a voulu nous dire,soit trop demeurés pour le comprendre, soit aveuglés par leur sectarisme trop fanatique .
  C’était le mot qu’il fallait éradiquer dés le départ , (et NdF le fit dans son premier titre ), en le censurant en tant qu’insulte à un mort,car il s’agit d’un sacrifice humain pour l’honneur, ou des choses qui s’ y rattachent, au même titre que celui des commandants de bateau se laissant couler avec, ce que jamais personne n’a qualifié de suicide.Mais il est vrai que c’était une autre époque.
  Le problème de notre langue est de ne pas avoir un mot spécifique comme seppuku pour le japonais, ce qui permit à Mishima de ne pas être accusé de suicide ni d’être jugé en fonction des critères de l’Eglise des Gaillot et Lustiger.
  Mais, ” sacrifice de sa vie ” suffirait largement

  A noter aussi que personne, moi y compris à l’époque où je suivais le jeudi le catéchisme donné par l’aumonier d’un lycée d’état sous un gouvernement comportant des ministres communistes, et pas des tendres,ne trouvait anormal que nous soit présenté comme modèle un malade mental du nom d’ Abraham qui croyant entendre une voix qu’il avait naturellement parfaitement identifié comme celle de Jeovah, s’apprêtait sur le champ à égorger avec un couteau bien éffilé pour éviter les souffrances inutiles,suivant la tradition sémite qui survit encore aujourd’hui ,son fils Isaac.
  Et sans doute que les mêmes fanatiques qui se réfèrent à leur judeo- christianisme qui heureusement n’existe que dans leur esprit malade ou pavlovisé par la propagande usraelienne ,expliqueront que ce genre d’ignoble sacrifice humain,l’intention vaut l’action, est digne de tout éloge.
  Mais puisque l’Ancien Testament n’est pas considéré comme apologie de crimes de guerre ,crimes contre l’humanité et infanticide ,pourquoi se gêner?
• 

  Abbé Guy Marie COURTEMANCHE , 23 mai 2013 @ 14 h 39 min

  La FRANCE, de Sainte-JEANNE d’ARC à Charles PEGUY, lentement s’enfonce dans la déchristianisation, et ce n’est pas Loi de la Nouvelle Sodome et Gomorrhe, qui donnera le change à sa chute. Puisque même les Sages de la République se sont laissés aller par leur Vote au paganisme maçonnique de la lente destruction de bases de la Famille chrétienne, d’un homme et d’une femme, et de l’enfant, ou des enfants à naître de ce Couple normalement constitué.

  Le “mariage pour tous”, c’est la mise au défit du vivre, selon le principe de “démocratie” sans Dieu.

  Pour créer l’homme, Dieu utilise le pluriel, premier indice du mystère de la Trinité. Et Dieu agit lui-même au lieu d’initier un processus. Qu’est-ce que l’homme pour mériter cette sollicitude divine ? A son image : selon saint Paul la dignité de l’image est promise à la perfection de la ressemblance. L’homme a été créé à l’image de Dieu afin que le Verbe-Fils de Dieu pût se faire homme et qu’ainsi l’homme soit identifié à Dieu. (Gn.1,26)

  Que l’être créé à son image pour être configuré à son Fils pût choisir de connaître le mal n’est pas dans la pensée de Dieu car ” mes pensées ne sont pas vos pensées” (Gn. 2,1)

  Grandeur et décadence, c’est la mort lente de la civilisation chrétienne.
  Le Peuple France se délite, ne sachant plus ou donner de la tête, et ayant perdu ses repères, on le voit tous les jours. L’homme préfère faire fructifier la tare du péché plutôt que le don de Dieu. (Gn.6,5)

  Le seul moyen d’éradiquer le mal triomphant n’est-il pas de noyer la Création sous les eaux de l’abîme ? (ibid)

  Ainsi, la séduction du Diable semblera triompher, comme si Dieu avait réprouvé son oeuvre, et même, s’il était possible, avait réprouvé son Fils bien-aimé :”Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?
  Mai le Fils de Dieu, figuré par Noé, ne sera pas retenu prisonnier de l’abîme, il sauvera l’humanité en la recueillant dans une nef salvatrice, l’Eglise. (Gn.6,13)

  Les puissances du mal seront vaincues par le Christ. Cependant l’Eglise devra voguer encore longtemps, ballottée sur l’océan du mal, mais le vent de l’Esprit-Saint passe sur la terre. (Gn.8,2)

  C’est l’histoire de la tour de Babel, qui est la synthèse de l’allégorie de la chute unie de l’hommes qui voulut conquérir le rang qui l’égalait à Dieu en passant par le feu, c’est-à-dire en faisant l’expérience du mal. De peur que le dessein de l’homme ne le conduise à partager l’éternelle damnation du Diable, Dieu disperse en l’homme l’image de l’expression du Verbe, pour mieux les ré-unir dans la personne du Christ. (Gn.11,1)

  Ainsi vous pourrez tous méditer, de ce que nous vaut cette Loi inique et le geste de Dominique VENNER atteint par le désespoir, souvenez-vous que Dieu a laissé les hommes libre de leur choix. N’en doutez pas Il reviendra, il l’a dit, et son retour est proche.. Amen, viens, Seigneur Jésus, c’est la prière des prières, cri de joie et de souffrance, signal d’alarme et hymne de victoire (Ap. 22,20-21)
• 

  Mosquito , 23 mai 2013 @ 14 h 58 min

  Je regrette, le suicide est toujours, sauf cas très particulier comme la menace de torture, un acte de désespoir. C’est un acte lâche de celui qui préfère fuir la réalité de notre monde. Ceci étant dit, je respecte réellement ce défunt homme, et j’espère que Dieu lui fera miséricorde. Et j’ajoute que que dans le cas présent, il y a aussi une grave profanation d’un lieu sacré. Mais cela, les médias n’en ont pas touché mot, eux qui hurlent quand une tête de cochon est déposée devant une mosquée.
• 

  degabesatataouine , 23 mai 2013 @ 18 h 42 min

  Laissez moi vous dire,sans même la formule consacrée: avec tout le respect que je vous dois,que votre prose est lamentable.
  D’abord par cette référence odieuse,dégradante ,calomnieuse,jésuitique au désespoir .
  Je remets donc pour la deuxième fois le début des explications données par Dominique Venner puisque vous faites partie d’une des trois catégories de ceux que j’énumérais dans mon com précédent :
  soit trop fainéants pour lire ce qu’il a voulu nous dire,soit trop demeurés pour le comprendre, soit aveuglés par leur sectarisme trop fanatique .

  « Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.”
  Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.”

  Une éthique de la volonté ,s’insurger, sont une preuve de désepoir? Charitablement je vous mets dans la première catégorie.
• 

  DEFLOUIS , 23 mai 2013 @ 19 h 11 min

  Le suicide dans une église est une profanation grave.
• 

  samovar , 23 mai 2013 @ 19 h 30 min

  L’ennui c’est qu’on ne peut pas les contrer, parce que les commentaires de “l’immonde” c’est payant et que je ne tiens pas à donner un seul euro à Pierre Bergé …

Comments are closed.