C’est comme une époque ou les zevêques marrons nous bassinaient
avec, je cite : ” l’espérance de l’espérance par l’espérance vers l’espérance”.
Avec cette formule, ils parvenaient à tout résoudre. Il n’y avait plus de débat possible.
Vous aviez une objection sur un scandale et ils vous répondaient de suite “lespérance”.
C’était une arme fatale.
L’Europe est une civilisation,rien de plus et rien de moins.
Elle est par essence faite de nations anciennes et distinctes.
Ces distinctions sont intrinsèquement liées à la nature “européenne”.
Donc l’obsession germanique de tout compresser/écraser dans une état fédéral unique
est par essence même, antinomique de la notion de civilisation européenne.
De plus la Belgique fédérale est une fiction et Bruxelles la cour du roi Pètaud.
Ceci explique le triangle Berlin-Luxembourg-Bruxelles, ou Berluxelles, qui nous dirige.
En revanche, notre cheminement politique et technologique nous conduit à nous rapprocher.
Ce rapprochement et ce meilleur voisinage peuvent être organisés/optimisés
au sein d’un projet de confédération des nations libres.
Une confédération respecte la souveraineté de chaque nation adhérente.
Chaque vielle nation est confrontée à des problèmes spécifiques
qui ne peuvent être résolus depuis Berlin-Bruxelles par des mesures fédéraliennes.
Il pourrait exister une assemblé de délégués confédéraux, choisis par les partis des différents pays au sein des différents parlements pour les représenter.
Différents sujets et projets pouvant être abordés au sein de différentes commissions
coordonnées par un secrétariat confédéral.
Charles , 22 mars 2019 @ 11 h 18 min
Ce Vignal est un drôle de clown,mouillé dans 36 affaires (voir wikipedia).
Son discours fait penser à celui de Barbarin avec les mêmes mots, mêmes formules.
Asselineau ne voit pas de problème d’immigration. On sait à quoi il sert. Ecreter les voix souverainistes!
toxophile , 23 mars 2019 @ 8 h 36 min
Asselineau considère qu’il faut résoudre le problème de l’immigration par référendum, mais après une sortie de l’UE. Parce que pour lui le problème premier c’est l’appartenance à l’UE , qui de toute manière nous interdit de régler la question. Ecoutez l’analyse qu’il a faite du traité de Marakech et vous verrez qu’il prend le problème au sérieux, même si il ne fait pas campagne la-dessus.
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