Claire Koç, dans « Claire : le prénom de la honte », raconte combien son assimilation à la culture française aura été difficilement reçue par sa famille et au sein de la communauté turque. Journaliste à Franceinfo, elle décrit comment l’adhésion à l’identité et l’obtention de la nationalité française y est socialement dévalorisée voire parfois prescrite. Récit d’une assimilation interdite, entre chantage au racisme et rejet de l’intégration :