En pleine catastrophe sanitaire du Covid-19, Laurence Rossignol cherche à augmenter le délai pour tuer l’enfant dans le sein de la mère de 12 à 14 semaines

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Eric Martin
21 mars 2020
Latest Update: 21 mars 2020 21 h 22 min
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Satan est à la manœuvre à travers cette femme :

Fermeture des frontières : impossibilité d’aller en NL pour les #IVG tardives. Bouleversements à l’hôpital: risques de reports des #IVG . Je demande au gvt l’allongement des délais (2 semaines) pour que l’accès à l’IVG soit assuré. #UrgenceSanitaire https://t.co/8VQsezYsFN

— Laurence Rossignol (@laurossignol) March 19, 2020

Refus des ministres @olivierveran @murielpenicaud d’aménager l’accès à l’#IVG pendant la crise sanitaire. Les professionnels sont inquiets. Il y aura de nombreuses femmes hors délai et des services perturbés. Le gouvernement lâche les femmes et les médecins. pic.twitter.com/toOxxIIPUv

— Laurence Rossignol (@laurossignol) March 20, 2020

Tenons-nous en aux faits. Après la fécondation, l’enfant est vivant et un être humain :

L'#embryon a 12 semaines de grossesse :

Système nerveux développé, sent, pense, glisse, frappe.
Magnifique#IVG #PMA pic.twitter.com/h8JuCOKIl2

— Jean-Eudes Fresneau (@FresneauJean) March 19, 2020

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2 Comments

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ongena , 22 mars 2020 @ 7 h 39 min
et bien c’est une superbe idée, pensée à tous ces gosse non-désirés, bravo madame de penser à la condition humaine, j’ai nous en Belgique au moins ont est moins réfractaires à vos idées d’un autre siècle (Moyen -âge) ???
Zouzou , 22 mars 2020 @ 11 h 45 min
Diabolique.

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