Alors que le Gouvernement lance ces jours-ci une mission sur l’avenir de l’autoentreprise en vue de pénaliser les autoentrepreneurs “soit par le bâton fiscal soit en modifiant le statut pour le rendre plus contraignant”, Nicolas Doze explique ce jeudi sur BFM TV pourquoi ce statut adopté par 800 000 Français gêne : “C’est un concept de liberté : quand l’homme est libre, il est plus difficile à fliquer”, sans parler du lobbying des chambres de métier qui dénoncent une concurrence déloyale.
Parce que 90% des autoentrepreneurs gagnent moins que le SMIC, “il ne fait surtout pas les taxer” mais “leur f… la paix”, explique le chroniqueur. En effet, pour certains Français, l’autoentreprise est une “assurance contre la précarité, pour d’autres, c’est une manière de lutter contre le chômage”. Une troisième catégorie d’individus s’en sert même comme “un tremplin pour devenir un fantassin de l’économie” :
2 Comments
Comments are closed.