La France accueille à peu près 200 000 immigrés par an depuis quelques décennies. Beaucoup d’entre eux deviennent assez vite et facilement français grâce à des lois extrêmement favorables : le droit du sol et le regroupement familial. Quelques-uns s’assimilent parfaitement ou s’intègrent assez bien et d’autres pas du tout ; ceux-ci, bien souvent de troisième ou quatrième génération, ne se revendiquent toujours pas français et s’identifient aux origines du pays de leurs ancêtres. Ils deviennent accessoirement français… Quand ça les arrange ! On peut donc les nommer sans agiter un chiffon rouge : français de papier (d’identité) !
Combien veulent imposer les religions, les mœurs et les coutumes de leurs aïeux ? Combien de ces “Français de papier” adhèrent à nos valeurs ? Difficile à chiffrer, mais le constat est amer : ils sont de plus en plus nombreux à développer sur notre territoire un mode de vie tribal où les rapports humains sont essentiellement basés sur la domination du mâle, chef de meute. Dans ces tribus, notre société éduquée et façonnée par des principes de démocratie, d’égalité, de fraternité, de liberté et de laïcité, est perçue comme dégénérée, féminisée, affaiblie et donc répugnante. On a presque envie de leur donner raison tant nos élites d’aujourd’hui déploient d’énergie pour nous humilier avec leur repentance fanatique et inconditionnelle à sens unique, et leurs lois sociétales faites en dépit du bon sens pour des minorités à peine concernées, à propos de tout et de rien.
Heureusement certaines de nos valeurs sont encore là – combien de temps ? – pour nous conforter sur leur bien-fondé et pour nous attester leur efficience face à la dérive communautaire et sectaire d’une France décérébrée en pleine crise identitaire : la France des nouveaux barbares.
Qui d’entre nous n’a pas été confronté aux incivilités, aux provocations et quelques fois aux violences de ces “Français” qui exportent en toute impunité dans notre quotidien des coutumes et des comportements barbares ? Qui ? Peut-être seulement ceux qui vivent dans les beaux quartiers ou qui sont enfermés dans la bulle idéologique du déni permanent…
La barbarie ordinaire a envahi nos banlieues, mais aussi maintenant tout notre territoire ; même dans des coins les plus reculés. Des petites villes, des villages, ne sont plus à l’abri de ces bandes de sauvages violents prêts à toutes les exactions, allant jusqu’au crime, sans états d’âme, tellement ils détestent les “Souchiens”, c’est-à-dire nous tous qui adhérons au respect des valeurs de la République et à l’amour de la Nation.
Certains de ces barbares agissent sous l’influence de l’idéologie islamiste, d’autres sont de purs voyous, délinquants ou criminels n’ayant ni foi ni religion. Mais toujours, ils se soutiennent et se retrouvent, certains pas forcément conscients, sur la détestation de notre civilisation. Ces communautés s’entrelacent peu ou prou et deviennent un réel danger pour notre pays. Grâce à cette coopération, elles peuvent étendre leur influence et nous prendre en otage. Avec la bénédiction des anti-racistes professionnels et de tous les lâches gouvernements successifs. Pourtant, la violente attaque lancée le 11 septembre 2001 contre les Etats-Unis en faisant très exactement 2 973 morts (2 992 en comptant les dix-neuf terroristes pirates de l’air) aurait dû les alerter, nos gouvernants, sur le danger potentiel que représentent de fanatiques arriérés, soumis ou non à l’islam…
Depuis le monde a changé et la mentalité des peuples aussi. La prise de conscience que cette date du 11 septembre 2001 marque le début du choc des civilisations est acquise. D’abord pour les islamistes, mais aussi pour les peuples concernés qui en prennent conscience de plus en plus à cause du côté spectaculaire de l’attentat qui devient pour certains aussi significatif que Pearl Harbor, l’attaque japonaise de décembre 1941 contre les Etats-Unis. Cet attentat qui avait fait à peu près le même nombre de victimes que l’attaque des tours jumelles, incita dès le lendemain les États-Unis à officiellement entrer dans la Seconde Guerre mondiale, sous les ordres du président Roosevelt… Nous attendons toujours notre Roosevelt !
A part quelques actes spectaculaires, il ne faut pas perdre de vue que c’est surtout par doses homéopathiques, que les islamistes distillent leur idéologie. Le péril est, de plus, en plus palpable, le changement de peuplement et l’islamisation de la société ne sont plus des fantasmes, mais deviennent des possibilités hautement vraisemblables. Et pendant ce temps-là, nos élites composent encore avec un Islam radical toujours capable du pire alors que le dialogue est parfaitement vain.
On ne discute pas avec des jusqu’au-boutistes assassins et fous d’Allah ; encore moins avec des barbares et des voyous. On ne tergiverse pas : on sévit, c’est tout !
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