Au fil du temps, le laxisme et son corollaire, l’imprévoyance, sont devenus les marqueurs inéluctables d’une gauche complètement larguée, dans laquelle nous avons des gauchistes, socialistes et d’obédiences diverses, qu’ils soient ministres ou simples élus, qui nous délivrent, chaque jour qui passe, un lot de niaiseries, de fadaises et d’inepties incommensurables. À tel point, que certaines fois, on croit rêver. Eh bien, non : on ne rêve pas !
Quand François Hollande, qui n’est pas en reste, pour la commémoration du centenaire de la bataille de Verdun, le 29 mai, souhaite le maintien d’un concert du rappeur “Black M” en oubliant le fond du problème, à savoir que la plupart des textes que ce “chanteur” débite sont insultants pour la France, on reste pantois tellement nous atteignons là le degré ultime de l’indécence ! Les milliers de Français morts pour la patrie méritent mieux que les insultes d’un petit monsieur qui se fait du fric en vendant de la soupe pour racailles.
Quand le même François Hollande répète à l’envi : “ça va mieux, ça va mieux” en sautant comme un cabri, et en avouant tout de même que, bien sûr, ça ne va pas mieux pour tout le monde (on le savait) on n’est pas rassuré sur sa “lucidité” politique. Mais on sait bien que la méthode Coué du “ça va mieux” ne résoudra pas le problème des Français qui peinent à suivre les réformes abracadabrantes d’un président, non seulement déconnecté des réalités, mais qui, en plus, ignore superbement les aspirations d’un peuple avide de vraies réformes structurelles.
“Trop, c’est trop ! Qu’il démissionne s’il n’est pas capable de faire régner l’ordre. Ce serait la meilleure chose pour la France et les Français.”
Quand des journalistes ou des représentants d’associations caritatives se croient autorisés à être d’une agressivité et d’une malhonnêteté intellectuelle crasse envers des patriotes ou des dirigeants du Front National, on réalise la complaisance dont ils jouissent auprès de l’élite gouvernementale et des bien-pensants notoires. Et on peut s’interroger sur la déontologie de cette profession en pleine dérive qui préfère, de loin, le buzz médiatique à l’information, la vraie, celle qui informe.
Quand des ministres découvrent tout à coup le harcèlement sexuel à l’Assemblée nationale et se rappellent que certaines ont été victimes, par le passé, de blagues un peu salaces, on n’a même plus envie de rire tellement cette posture est navrante. Surtout quand on comprend que cela va servir de prétexte pour faire encore une loi sociétale imbécile. Comme si une femme, aujourd’hui, dans le monde occidental, n’avait pas assez d’arguments pour se faire respecter. Laissons les femmes décider jusqu’où un homme peut aller dans la séduction ou la provocation. Tant qu’elle n’est pas oppressive et forcée, la liberté sexuelle, en acte ou en parole, est un acquis libéral, pas un viol. Un peu de discernement, que diable !
À grande vitesse, le pays se déstructure sur son fondement et à tous les étages, les manifestations se multiplient dans la violence, les policiers, garants de notre sécurité, en plein état d’urgence, subissent des exactions inacceptables, et le gouvernement continue, comme si de rien n’était, à nous balancer ses bavardages futiles et incongrus. Trop, c’est trop ! Qu’il démissionne s’il n’est pas capable de faire régner l’ordre. Ce serait la meilleure chose pour la France et les Français.
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