Les nazis ont disparu

Ecrasons l’infâme ! Avec l’appui de Valls

Les nazis avaient disparu, condamnés à Nuremberg, oui, mais voilà… j’ai vu une vidéo publiée sur NDF, alors, je me pose des questions :

Les nazis ont disparu. Oui mais… Leurs héritiers, où sont-ils ?
Peut-être rôdent-ils, casqués, bottés de noir, du côté du Panthéon, sous l’inscription « Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante » ? Peut-être repèrent-ils des hommes prêts à risquer leur liberté pour allumer un brasier symbolique ? Peut-être tabassent-ils un homme entravé, à terre, déjà réduit à l’impuissance ? Peut-être s’en donnent-ils à cœur-joie parce que cet homme de liberté est Noir ? Peut-être le traînent-ils comme du bétail vers l’abattoir ? Peut-être écrasent-ils sa « sale gueule » de leurs bottes blindées ? Peut-être veulent-ils étouffer ses cris : « Jamais… Jamais… Ta loi, Hollande, on n’en veut pas… Ta loi… » Peut-être ne veulent-ils pas entendre cette voix qui faiblit, qui s’évanouit ? Les nazis ont disparu… Peut-être…

Les nazis ont disparu. Oui mais… leurs techniques de propagande, déjà bien rodées par les communistes, où sont-elles ? Peut-être dans les grands médias nationaux, occupés à fêter le PSG, à changer les prénoms des « jeunes », à qualifier de « débordements » les émeutes, casses, agressions, vols, incendies, déclarations de guerre non masquées, et à réutiliser ce même mot de « débordement » lorsque des opposants à la loi Taubira montrent leur idées ? Peut-être dans les mensonges du ministre censé garder l’Intérieur, renversant les rôles, accusant la victime d’une agression imaginaire ? Peut-être dans cette « homophobiefolie » répétant à l’envi combien « un tiers des homosexuels ont été agressés » ? Peut-être dans ce climat de pourriture sciemment entretenu pour justifier tous les matraquages, toutes les arrestations, toutes les saloperies flicardes, les « murs de cons » des juges gauchistes, et autres gardes à vue à la gueule du citoyen suspect de liberté de pensée ?

Les nazis ont disparu. Oui mais… Restent tous leurs complices, ceux qui ont voulu garder sous le coude cette vidéo de la veulerie, de la bestialité, du vrai racisme, celui qui ne s’exerce sur aucune race – puisqu’elles n’existent plus – sauf sur celle des citoyens libres. Restent leurs complices qui se moquent des cris du peuple et ne pensent qu’à devenir führer à la place du führer, remplaçant « la joie par le travail » par « la joie par la démocratie » et pour eux, la joie par la puissance du fric et du pouvoir.
Les nazis ont disparu. Oui mais… restent l’appellation, la vraie, celle qui donne le sens, celle qui, développée en allemand, et en respectant la grammaire, se traduit intégralement par « socialistes nationaux. »

Je garde en mémoire respectueuse les cris de cet homme fracassé : « Jamais… Jamais.. Ta loi… Hollande… on n’en veut pas… Jamais… Hollande… » et je la reprends : « Hollande ni ta loi, ni toi, je n’en veux pas ! »

Related Articles

65 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • Daniel , 19 mai 2013 @ 16 h 14 min

    Trucker

    Mille fois d’accord avec vous! On attend car on n‘ose pas croire que le pire existe dans des têtes républicaines!. Or, le temps joue contre ce qui reste de la civilisation. Ce qui était choquant devient habituel et ce n’est pas fini. Il y a un principe de base: le mensonge s’arrête rarement de sa propre initiative, puisqu’il a déjà posé les bases fausses qui l’arrangent et le justifient. Du Nazisme, l’Histoire a retenu l’horreur des fours. Pourtant, le Nazisme, ce ne sont pas les fours: les fours étaient la conséquence pragmatique d’un mensonge individuel qui s’étendait dans l’espace d’autrui parce que personne ne l’arrêtait pour le renvoyer à ses contradictions. La pollution visible est toujours précédée d’une pollution mentale. Celle-ci n’a jamais été analysée avec les moyens de compréhension de la psychologie actuelle. Et nous avons à nouveau beaucoup de dangereux malades que nous pouvons soigner en les mettant simplement en face de leurs contradictions intimes.

    Pour ma part, il y a 15 ans, j’ai analysé dans un livre ce processus de destruction que j’ai comparé au Nazisme dans sa période préalable aux fours. Tous les ingrédients de l’irresponsabilité, c’est-à-dire en fait de la négation par le Droit de catégories désignées, sont dans les tuyaux de l’Education Nationale, écrits noir sur blanc sur chaque diplôme, sans que personne n‘y prenne garde.
    J’ai largement franchi la bienséance sémantique puisque j’ai amplement utilisé les termes de Nazis (directement en titre), de collabos, de criminels mais avec l’argumentaire nécessaire à une juste comparaison. Les enseignants honnêtes qui ont envisagé de s’opposer ont rapidement été pris de vertiges simplement parce que c’est incontournable, à leur grand regret avoué. Et en même temps tellement grave. Puis guéris de leurs certitudes socialistes car pris en flagrant délit de mauvaise foi, de délit moral et incohérence intellectuelle.
    Quant aux gens qui se disent « de droite », ces arguments ne deviendront crédibles que lorsqu’ils se poseront autour d’une table pour tenter de comprendre cette stratégie de destruction en cours dont ils profitent trop souvent, eux aussi. L’avachissement de la dignité à droite a également été nécessaire à la réussite de ce qui est prévu et organisé presque naturellement (Dieu merci) de longue date.
    Il faudra cesser à droite de prendre Dieu pour un aveugle… et à gauche de se « croire » intelligent avec un statut de grand assisté et de grand irresponsable.
    Balayer devant nos portes par rapport aux idéaux revendiqués à gauche et à droite est l’étape possible pour arrêter les drames avant qu’ils ne nous dépassent.
    Il n’y aura plus de fours mais il peut y avoir bien pire!.

  • Bénédicte BOLUFER , 19 mai 2013 @ 16 h 39 min

    Cet homme est un vrai manifestant, dont je ne donnerais pas le psudo Twitter par discretion, vu que nos comptes Facebook, Twitter et téléphones sont espionnés par les RG (facile à voir pour Facebook). Je sais, ça fait parano,; théorie du complot, j’ai moi-même du mal à y croire, mais c’est malheureusement vrai. Cet homme était à la Sorbonne et à toutes les autres manifs. Il faut saluer son courage. Réfugié politique, il a fuit un régime dictatorial, arrive en France et vit de nouveau une dénégation de droits et de la liberté d’expression qu’il croyait pouvoir trouver au pays des “droits de l’homme”. Il est toujours en garde à vue, sans avocat, sans que sa famille ait pu le voir. J’espère qu’il aura droit à la justice. Par exemple, les casseurs du PSG: un seul condamné à de la prison avec sursis. Normalement, ce manifestant devrait ressortir libre comme l’air.
    Mais regardez les Femmens: 2h de GAV et ne passent pas devant le Tribunal pour blessures physiques dur un vigile à Notre Dame, les veilleurs Paris = 17h de GAV, certains menacés d’un an de prison ferme ! Plus de justice, c’est une dictature, avec une religion dont Peillon est le grand-prêtre idéologue et Valls le bras armé, le nouveau patron du KGB.

  • bouvard , 19 mai 2013 @ 16 h 40 min

    ben ils sont chez VALLS dont les parents ont fuit l’espagne à cause du fachisme de franco et voilà-t-y pas qu’ils reprend les mêmes méthodes ?

  • dudesert , 19 mai 2013 @ 16 h 47 min

    cessez de plaisanter c’est un homme dont il s’agit, un courageux en plus,un resistant au pouvoir totalitaire qui veut changer notre civilisation

  • malatia , 19 mai 2013 @ 17 h 06 min

    Refugié politique en 1962naprés la trahison du colonel De Gaulle,c’est FRANCO qui m’a donné l’asile politique alors que la 5eme republique laissait les notres se faire massacrer et meme s’alliait au FLN .C’est sous la “dictature” de FRANCO que nous avons vecus les jours les plus heureux avec ma famille et c’est un FRANCO qu’il nous faudrait ICI.
    ARRIBA ESPAGNA,VIVA FRANCO

  • Pierre-François Ghisoni , 19 mai 2013 @ 17 h 43 min

    Vous frappez au bon sens ! Où est le texte de votre livre ?

  • Pierre-François Ghisoni , 19 mai 2013 @ 17 h 45 min

    Como no ! Hombre !

Comments are closed.