Ce dimanche 20 octobre, Civitas organise une grande marche contre l’anti-christianisme devant le bar à caviar de l’ignoble Pierre Bergé. L’occasion de rappeler à tous, publiquement et ostensiblement, comment le christianisme est traité, aujourd’hui, chez la bien ingrate fille aînée de l’Église, devenue fille ainée de tout ce qui a le christianisme en horreur : les ultra-laïcards, les anti-cléricaux, les Femen, les LGBTQ et tout ce qui va avec.
Évidemment, le traitement qu’on ne manquera pas de faire de cette manifestation vaudra tout l’or des chrétiens du monde. Les mammons de la presse, le Léviathan policier et les autres démons moqueurs seront suspendus au-dessus des braves manifestants, les crocs tirés en avant.
Mais qu’on ne s’y prenne pas. Rien n’est plus urgent que de se montrer, que de sortir les armes de lumière et le bouclier de la foi devant une machine complètement déglinguée qui ne se soucie même plus de paraître « laïque », puisque la laïcité est devenue une religion, dixit Vincent Peillon, ou « tolérante », puisqu’elle ne tolère que ce qu’elle veut tolérer, ce qui est l’exact contraire de la définition du concept de tolérance.
Et la haine anti-chrétienne s’accélère à un rythme démesuré, pas seulement dans le monde, mais également en France. Il suffit de fréquenter l’Observatoire de la christianophobie, qui recense au quotidien les actes, les propos et les « œuvres » offensantes pour les chrétiens, pour se rendre compte de l’ampleur du désastre.
“Le parallèle exact, la lettre inversée, l’antipode, par jeu de miroir manichéen, de cette oligarchie médiocre et décadente, c’est bien la manifestation de foi, l’occupation pieuse de la rue, la publicisation des opinions religieuses.”
Un ami écrivait que les coups de pelleteuse dans les vieilles églises, tout autant que les petits mots de Bergé, ou les idioties grotesques de Fourest, de Dounia Bouzar, ou de n’importe quel gauchiste adepte du « progrès sociétal », c’est-à-dire de la déconstruction, de la dévaluation et de la décadence, n’importe quel petit mot prononcé par cette petite bourgeoisie acéphale, disait-il, est anti-chrétien, repousse du chrétien, vomi de l’Église, et ce, de la première à la dernière lettre. Parce que le christianisme porte le poids des traditions et des valeurs qu’ils exècrent, parce que le christianisme éclairera toujours leurs basses-œuvres, parce que le christianisme est trop créateur, trop impertinent, trop français.
Le parallèle exact, la lettre inversée, l’antipode, par jeu de miroir manichéen, de cette oligarchie médiocre et décadente, c’est bien la manifestation de foi, l’occupation pieuse de la rue, la publicisation des opinions religieuses. N’importe quelle action de Civitas, et de tout chrétien, français, fier de ce qu’il est, confiant, viril, sportif – car être chrétien est un sport, une hygiène de vie – ou de n’importe quel chrétien encore éveillé, les deux yeux qui voient et les deux oreilles qui entendent, est un pied de nez à ce système. Ne les entendez-vous pas gémir, se trémousser, baver, prendre des airs hautains et révulsés, lorsqu’ils voient des chrétiens prier, agir et vivre en chrétien ? Voilà les preuves irréfutables de l’utilité absolue de ce combat.
Lire aussi :
> Marche contre l’antichristianisme et la politique antifamiliale le 20 octobre à Paris ! par Alain Escada
59 Comments
Comments are closed.