Le débat sur avortement relancé ce vendredi dans “Le Grand Journal” : Jean-Marie Le Méné VS Roselyne Bachelot et tout le plateau

Jean-Marie Le Méné, le Président de la Fondation Jérôme Lejeune, est très efficace face à un affligeant plateau d’incultes ou de militants “pro-choix” de mauvaise foi, tous dans un déni très inquiétant, qui ânonnent slogans et contre-vérités :

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  • Antoine , 19 janvier 2014 @ 15 h 27 min

    J’ai l’impression que quand on donne son avis contraire à la bien – pensance, on est directement accusé d’imposer notre point de vue sur les autres. Or, le fascisme est un système qui impose son point de vue en censurant celui des autres. Ce qui est exactement votre cas et celui de la classe politique : même l’UMP ne fera rien et préfèrera nous mépriser. Bref, nous entrons définitivement dans une dictature.

  • Melisenda , 19 janvier 2014 @ 15 h 28 min

    Bonjour à tous,

    J’aimerais apporter un témoignage tout personnel : en 1980, j’étais tombée enceinte, abandonnée par le père de mon futur enfant, venant d’une famille pas très tolérante globalement, ni vivant dans une société, malgré les apparences, pas si tolérante que cela non plus.

    Après bien des hésitations, j’avais très rapidement obtenu un premier rendez-vous chez un gynécologue qui acceptait de me prendre en charge (à l’époque, TOUS les médecins avaient le droit à la liberté de conscience). Puis, après consultation, un deuxième rendez-vous fut tout aussi rapidement fixé car il fallait procéder très très vite à l’IVG. Lors de ce deuxième rendez-vous, il m’avait proposé d’écouter par monitoring le cœur de mon bébé que j’ai entendu battre… Imaginez mon bouleversement ! Je repartis de chez lui, et mon bébé est devenu, 34 ans plus tard, un solide gaillard plein de santé et d’intelligence qui fait ma joie et mon bonheur !

    À l’époque, le délai légal pour pratiquer l’avortement était fixé avant la fin de la 10ème semaine de grossesse, soit 12 semaines à partir du début des dernières règles (aménorrhées). On peut donc aisément en conclure que l’enfant que je portais en moi vivait déjà à deux mois et deux semaines de grossesse, ou à trois mois d’aménorrhées.

    Depuis 2001, ces délais ont été rallongés respectivement à la fin de la 12ème semaine de grossesse, et à 12 semaines après le premier jour des dernières règles…

    Et, faut-il le dire ? Je remercie encore ce gynécologue qui ne m’avait pas seulement aidée à prendre conscience de la vie que je portais en moi, mais aussi, par voie de conséquences, à assumer mes actes, et, avec amour, mes responsabilités vis-à-vis d’un autre être humain. Certes, j’étais déjà convaincue que lorsqu’il y a fusion entre deux organismes vivants, il y a vie, mais le vivre en entendant le cœur de son enfant battre si tôt à l’intérieur de soi… Je vous laisse le soin de le deviner…

    Pensées cordiales.

  • Observateur , 19 janvier 2014 @ 15 h 37 min

    Bonjour Melisendra,

    Merci pour votre témoignage, il dénote que contrairement à la grande majorité des cas non thérapeutiques d’IVG en France, vous aviez à ce moment clef de votre vie et de celle de votre enfant, éveillé votre conscience pour votre plus grand bonheur et le sien.

    Il soulève notamment la question de la considération de l’enfant dès les premières semaines de son existence et du regard de la société sur celui-ci qu’il conviendrait de faire évoluer vers plus de vérité.

    Comme quoi, la vie ne tient parfois qu’à un fil, un ressenti ou un battement de coeur.

  • Melisenda , 19 janvier 2014 @ 15 h 38 min

    Toutes mes excuses, il y a eu erreur de frappe : il faut lire :

    “Depuis 2001, ces délais ont été rallongés respectivement à la fin de la 12ème semaine de grossesse, et à 14 semaines après le premier jour des dernières règles…”

    Bien à vous

  • eric-p , 19 janvier 2014 @ 16 h 15 min

    Des explications sont données dans “La Pravda”:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pilule_du_lendemain

    Le lévonorgestrel est prescrit dans des centres médicaux catholiques et ça ne leur pose pas de problème.
    Elle est paraît-il efficace à 95% …à condition d’avoir été prise dans les 24 h après le rapport.
    Attention, cette pilule du lendemain n’est pas recommandée
    dans le cadre d’un usage régulier.
    On n’en connaît pas les effets à long terme.

    Mon épouse et moi n’utilisons AUCUNE contraception
    …et nous n’avons pas 7 enfants pour autant.
    À la différence de nombreux couples endoctrinés, nous nous contentons d’adopter…le principe de la responsabilité individuelle.C’est simple, ça ne coûte rien
    pour le couple ni pour l’Etat et on ne s’en porte pas plus mal ! Basta de la propagande du PF !
    et

  • jejomau , 19 janvier 2014 @ 17 h 23 min

    “je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous. Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? L’Écriture déclare elle-même : « Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main. » Même si une mère pouvait oublier… Mais aujourd’hui on tue des millions d’enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l’admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l’avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l’enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu’elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l’enfant doit mourir.
    Et ici, je vous demande, au nom de ces petits… car ce fut un enfant à naître qui reconnut la présence de Jésus lorsque Marie vint rendre visite à Elisabeth, sa cousine. Comme nous pouvons le lire dans 1’Evangile, à l’instant où Marie pénétra dans la maison, le petit qui était alors dans le ventre de sa mère tressaillit de joie en reconnaissant le Prince de la Paix.
    C’est pourquoi, aujourd’hui, je vous invite à prendre ici cette forte résolution : nous allons sauver tous les petits enfants, tous les enfants à naître, nous allons leur donner une chance de naître. Et que ferons-nous pour cela ? Nous lutterons contre l’avortement par l’adoption. Le Bon Dieu a déjà si merveilleusement béni le travail que nous avons fait, que nous avons pu sauver des milliers d’enfants. Et des milliers d’enfants ont trouvé un foyer où ils sont aimés. Nous avons apporté tant de joie dans les maisons où il n’y avait pas d’enfant !
    C’est pourquoi, aujourd’hui, en présence de Sa Majesté et devant vous tous qui venez de pays différents, je vous le demande : prions tous d’avoir le courage de défendre l’enfant à naître et de donner à l’enfant la possibilité d’aimer et d’être aimé. Et je pense qu’ainsi —avec la grâce de Dieu — nous pourrons apporter la paix dans le monde. Nous en avons la possibilité. Ici, en Norvège, vous êtes — avec la bénédiction de Dieu — vous êtes assez à l’aise. Mais je suis sûre que dans les familles, dans beaucoup de nos maisons, peut-être que nous n’avons pas faim pour un morceau de pain, mais peut-être qu’il y a quelqu’un dans la famille qui n’est pas désiré, qui n’est pas aimé, qui n’est pas soigné, qui est oublié. Il y a l’amour. L’amour commence à la maison. Un amour, pour être vrai, doit faire mal.”

    Mère Térèsa – Conférence à Oslo lors de la remise du prix nobel 1979

  • Gisèle , 19 janvier 2014 @ 18 h 30 min

    Je répondais à charles-de ! Ai – je dit cela ?? Vous raisonnez faux @clauss44 ! Ce la ne m’étonne pas qu’il y ait tant de **discordances ** entre les français !
    Je suis contre l’avortement ET contre la peine de mort , donc ce qu’il soutient est nul ! je donne mes raisons . Si vous parlez d’égalité entre un enfant et un criminel , l’égalité s’arrête à la personne humaine . Le criminel est responsable de ses actes , il est redevable à la société et doit payer . Mais jusqu’à lui prendre sa vie , non .

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