Suite au scandale stratégique du rachat de Latécoère par un fonds d’investissement Américains, François Asselineau dresse un bilan non exhaustif des rachats de fleurons français par les américains.
Même si c’est aussi le fait d’un refus de protectionnisme de nos politiques, toutes ces acquisitions sont largement permises par la libre circulation des mouvements de capitaux via l’article 63 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Ainsi l’Union européenne ne permet pas de faire le poids face aux États-Unis, mais bien de se laisser racheter par ces derniers :
1 Comment
Comments are closed.