Vive la Révolution quenellienne !

Vic Survivaliste

La Révolution quenellienne qui se répand actuellement en France réjouit le cœur d’un survivaliste comme moi, au fond de mon Québec.

Je suis bien entendu admiratif du travail de Dieudonné M’Bala M’Bala, l’inventeur du geste de la Quenelle et d’Alain Soral qui, l’un par ses intelligentes pitreries qui visent juste et l’autre par un argumentaire solide et d’abondantes démonstrations, dénoncent une République qui n’en est pas ou plus une, la vanité d’une démocratie représentative qui ne représente pas le peuple mais des lobbies très influents, la puissance cachée des frères la truelle et le pillage des richesses matérielles et culturelles de la France par des politiques traîtresses qui la livrent en pâture aux banques et aux oligarques.

Cette quenelle est un geste vulgaire qui dénonce une plus grande vulgarité : il faut bien combattre le feu par le feu… Néanmoins, elle dénote le ras-le-bol d’une partie grandissante du peuple français, les « de souche » comme les « beurs » et les « blacks ».

Ce ras-le-bol cache la frustration d’être administrés par des roi-nègres pour le compte et les bénéfices de leurs Maîtres, des puissances financières privées étrangères.

Les Français ne dirigent plus la France : elle est gérée en fonction de plans tracés de longue date à l’étranger comme le démontre Pierre Hillard dans ses travaux.

Une faible part des Français le sait, beaucoup commencent à soupçonner quelque chose. Cela doit continuer.

Tout ça, c’est le contexte global. À l’échelle familiale ou individuelle cependant, ça n’augure rien de bon.

Si la France, la vraie France, se reprenait en main, il ne fait aucun doute que la situation sécuritaire, les approvisionnements, les services publics seront temporairement mis à mal. Il ne fait non plus aucun doute que les larbins au pouvoir s’enfuiront vers New York, Londres, Tel Aviv ou vers des destinations plus exotiques pour les déviants en place.

Le peuple, lui, souffrira. Il souffrira puisqu’il est épuisé, n’a pas de réserves et peut difficilement s’en constituer à cause de la cherté, des salaires qui baissent, du chômage. Néanmoins, le citoyen qui possède des conserves ou des aliments à longue conservation, qui a accès à de l’eau potable en toutes circonstances ou qui a les moyens de la rendre potable, pourra envisager des périodes de troubles avec non pas de la sérénité, mais au moins avec un peu moins d’angoisse.

Pour être en contact étroit avec beaucoup de survivalistes français, je peux affirmer qu’ils sont tous politisés, qu’ils sont tous en contestation silencieuse ou active du système et pas seulement dans une contestation conjoncturelle et que tous se préparent davantage.

Leur jugement de la situation n’est pas parole d’évangile. Il repose sur des facteurs subjectifs, leurs propres situations, leurs propres observations et des sources d’information alternatives aux grands lobotomiseurs que sont les journaux télévisés ou les quotidiens qui sont la propriété des banques ou des marchands d’armes. Toutefois, quand un survivaliste sent l’imminence d’une dégradation, il faut en tenir compte. Ce n’est pas une garantie qu’elle se produira mais c’en est une qu’il faut relever son niveau d’alerte.

Je parlais récemment avec un survivaliste très respecté qui me disait : « 2014, je ne le sens pas trop ». J’allais lui dire la même chose. Oh, ça n’en fait pas une prophétie mais pour des observateurs sérieux comme lui et comme moi, c’est significatif. Après tout, l’économiste en chef de l’UBS Larry Hatheway, disait en entrevue fin 2011 de stocker des métaux : de l’or, des conserves et des armes de petit calibre. Il était en avance mais je crois qu’il voyait clair.

Alors si j’ai une chose à dire à mes cousins français, c’est de garder leur sang-froid, de se préparer à des pénuries, d’augmenter au maximum leur niveau d’autonomie en nourriture et en eau et de porter fièrement le bonnet rouge, devenu le symbole de la résistance face aux pilleurs et à leurs larbins qui dirigent non seulement la France mais la majorité des États de la civilisation occidentale. L’autonomie, c’est aussi d’avoir réellement son mot à dire sur les politiques qui nous affectent et sur les décisions qui sont prises.

Informez-vous aussi à des sources fiables, qui ont l’amour de la vérité et non l’intérêt de garder le peuple calme et niais. De mon côté de la grande mare, vous avez tout mon soutien et je vous envoie tous mes espoirs.

> Vic Survivaliste anime un blog.

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64 Comments

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  • 0 / 10
  • Jean Delaforest , 20 novembre 2013 @ 22 h 00 min

    Ah bon. Je ne savais pas qu’il y avait la guerre et que la misère sévissait en Algérie depuis des siècles. Tout comme au Maroc ou au Sénégal.

    Quand bien même ce serait effectivement le cas, la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde.

    De plus, les Français d’origine française, constamment opposés dans une large majorité à l’immigration sous toutes ses formes, n’ont jamais été consultés pour savoir s’ils désiraient ou non accueillir les pauvres malheureux (sortir le mouchoir) des quatre coins de la planète. La décision a été prise dans les loges et dans les clubs de l’hyperclasse mondialisée qui, en outre, se torche avec votre humanitarisme bien pensant et ne mangeant pas de pain…

    Ma pensée va aux Français qui souffrent ici, chez nous, de l’invasion migratoire.

  • Frédérique , 20 novembre 2013 @ 23 h 33 min

    Et bien continuez à taper sur les immigrés, vous rendez service au gouvernement, car non seulement vos propos ne servent à rien et n’arrêteront pas l’immigration, mais en plus, ils donnent des raisons valables aux politiciens pour taxer les Français de racistes et comparer les nationalistes, dont je suis, aux nazis. Brillante stratégie en effet!

  • Charles , 21 novembre 2013 @ 9 h 01 min

    De grâce cessez de mentionner les mots “immigrés”
    ou “immigration ” ou “migrants”,ce sont les propres termes
    de l’empire du Goulag mou qui veut nous “effacer”.

    Langage critique et critique du langage.

    Les mots sont des outils pour construire et reconstruire.

    Nous devons parler de “clandestins” ,de “clandestinité”
    et d’invasion clandestine.

    Ou encore des Farces des FOC (Forces d’occupation clandestine) dans les Zones ZOC (zones d’occupation clandestines) tenues par des POC (personnes d’origine clandestine) qui tiennent en otage les POL (Personnes d’origine légale).

    Les 12 avantages sont les suivants:

    1.Vous définissez des personnes vivant dans l’illégalité.
    2.Designer ces groupes est inattaquable en droit français.
    3.Il n’y a là aucune connotation ethnique ou religieuse.
    4.Vous distinguer les étrangers “légitimistes” des autres.
    5.Vous soulignez le caractère délictuel des envahisseurs.
    6.Vous distinguer la période pré Mars 1974 de l’après.
    7.Avant Mars 1974,les étrangers étaient des “immigrés”
    8.Après Mars 1974,les suivants sont des “illégaux”.
    9.Les voleurs ne sont pas des “sans argent”.
    10.Les violeurs ne sont pas des “sans femmes”.
    11.Les tueurs ne sont pas des victimes “déséquilibrées”
    12.Vous posez le sujet sur le champ du droit stricto sensu

  • David , 21 novembre 2013 @ 14 h 30 min

    Oui il y a un travestissement du langage qui semble consubstantiel d’un appauvrissement des esprits et d’un relativisme à sens unique.

  • Frédérique , 21 novembre 2013 @ 14 h 47 min

    @Charles
    Malheureusement le problème ne se borne pas qu’aux clandestins. L’immigration clandestine est toute aussi voulue que la légale. Les gouvernements successifs ont paré le code pénal de toutes les lois qu’il faut pour limiter à un chiffre dérisoire le nombre de raccompagnements aux frontières, les régularisations et les associations grassement subventionnées par l’état s’occupant du reste. Sans compter que je suis quasiment persuadée que la venue des clandestins est organisée et financée par nos pays européens, car je vois mal des subsahariens aux revenus annuels inférieurs à 1000 dollars par an en rassembler 3000 à 4000 par tête de pipe pour se payer un passeur. Les clandestins, dans leur globalité, deviennent quasiment des immigrés légaux dès qu’ils ont franchi la frontière et le problème est bien l’immigration de masse légale ou pas.
    Par contre clandestins ou légaux, ces “envahisseurs” sont avant tout des êtres humains et les conséquences des politiques “immigrationnistes” de NOS ELUS, alors les tenir pour responsables de nos malheurs et vouloir s’en servir de défouloir est tout simplement de la lâcheté.
    Ce sont nos politiciens qui nous ont trahi, ce sont eux encore qui détournent notre colère contre les étrangers, ce sont toujours eux qui sème la panique de l’islamisation de l’Europe par médias interposés, si nous entrons dans leurs jeux, il ne faudra pas se plaindre après qu’ils continuent à jouer.

  • David , 21 novembre 2013 @ 15 h 06 min

    Leurs voyages sont rarement par avions en première classe il faut dire, c’est souvent par petit bateau ou une succession de petit voyages.

    Et en général les plus pauvres des plus pauvres ne viennent pas.

    Ceux qui viennent c’est en général les classes moyenne ou moyenne supérieur de chez eux et souvent organiser par famille.

    Leurs raisonnement est simple ils gagnent disons 800€ et ils savent qu’ils pourront en France gagner pour le même travail 1200€.

    C’est pour cela qu’il est immonde d’utiliser l’image des gens qui meurent de faim pour sensibiliser pour des gens qui ne sont en rien des victimes.

    Remarquez que leurs raisonnements est très similaire à celui de très nombreux socialiste de base en France vis à vis des plus riche.

    Cette ignominie idéologique à un nom; l’égalitarisme.

    Comme toute tumeur celle çi aussi grandit et l’égalitarisme national c’est fait égalitarisme international.

  • Frédérique , 21 novembre 2013 @ 17 h 00 min

    @David
    Permettez moi de douter que les classes moyennes et moyennes supérieures des pays subsahariens à 800 euros par mois puissent avoir une quelconque envie de traverser les mers sur des rafiots pourris avec des risques de naufrages pour venir dans des pays européens où le chômage est en hausse constante et finir, au mieux, puisqu’on ne peut pas les expulser de façon systématique, à 15 dans l’appartement d’un quartier HLM où l’insécurité fait la loi ou dans des logements privés insalubres et à travailler clandestinement sur un chantier ou dans un atelier quelconque ou au pire dans une prison après des faits de délinquance.
    Parce qu’en ce moment ceux qui débarquent sans interruption par les côtes italiennes, proviennent d’Érythrée, de Somalie, du Ghana entre autres et non rien à voir avec les touristes magrébins en visite dans leurs familles qui oublient de rentrer chez eux, ni avec ceux qui ont profité des printemps arabes, ni des ressortissants des pays africains francophones auxquels, je dirais, nous étions habitués. Ces nouveaux ne parlent pas un mot de français et je ne suis même pas sûre qu’ils étaient en mesure de situer la France avant de se retrouver embarqués sur une coquille de noix. Ce sont majoritairement des hommes (les photos de Lampedusa le prouvent) jeunes, entre 15 et 30 ans, bizarrement le profil type de l’employé “bête de somme” qu’on n’aura pas à payer très cher pour le faire bosser.

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