Au sommaire de ce numéro d’I-Médias présenté par Jean-Yves Le Gallou et proposé par TV Libertés :
01:53 Zemmour cause : la chasse à l’homme s’engage.
Interview d’Eric Zemmour dans le journal « Causeur ». Un extrait fait scandale dans la presse : le journaliste a affirmé « respecter les djihadistes prêts à mourir pour ce en quoi ils croient ». Une plainte est déposée contre le journaliste pour « apologie du terrorisme ». Elisabeth Lévy, directrice du journal « Causeur » est obligée de se justifier et on demande à Eric Zemmour de s’excuser.
Dans les faits, ce scandale s’apparente à une chasse à l’homme : comment faire taire Eric Zemmour ?
I-Média réinforme
13:58 Le zapping d’I-Média
Daniel Morin, l’humoriste de « France Inter », n’ exprime son “art” que par l’insulte et demande à Robert Ménard de « fermer sa gueule ». C’est un message d’interdit, de censure, exprimé sur une antenne du service public financé par les contribuables.
23:13 Trump/Clinton : sexe, magouilles et trahison.
Le candidat Donald Trump tient hors micro, en 2005, des propos jugés sexistes. Scandale aux Etats Unis grâce à une presse très engagée dans le camp démocrate.
Une affaire qui permet d’en cacher une autre : les emails d’Hillary Clinton : Aux Etats Unis, un agent département d’Etat américain qui utilise une messagerie privée, non protégée, dans un cadre professionnel, peut être condamné non seulement à perdre son emploi, mais aussi à une peine de prison.
I-Média décrypte
31:49 Les tweets de la semaine.
« Serons-nous encore Français dans 30 ans ? », c’était la « une » du « Figaro magazine » du 26 octobre 1985, avec en couverture une Marianne voilée. Un numéro qui fait écho aux déclarations du président Hollande dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ».
35:26 Morandini sous protection rapprochée
« Le 19 octobre, Jean Marc Morandini rejoindra comme prévu « I-télé » pour un magazine consacré aux médias ». Ce sont les mots de la direction d’I-télé. Mais l’arrivée de l’animateur, mis en examen pour « corruption de mineur aggravée », crée le malaise au sein de la rédaction de la chaîne.
Pourquoi ce recrutement dans ces circonstances ? Manifestement Jean Marc Morandini a un soutien inconditionnel de la part de la direction de « Canal Plus ».