Une fois de plus l’extrême-gauche et ses milices antifas ont répondu par la violence à l’appel anti-républicain du Maire @frebsamen qui avait déclaré ce matin que @MLP_officiel « n’était pas la bienvenue à #Dijon. » Honte ! pic.twitter.com/gSNT1l9rsH
— Damien Rieu (@DamienRieu) June 16, 2020
Un véhicule (voiture) du cortège de Marine Le Pen pris à parti à Dijon où elle a tenu une conférence de presse
Marine Le Pen s’est rendue ce mardi à Dijon alors que la ville est le théâtre depuis plusieurs jours de violents affrontements entre des habitants du quartier des Grésilles et des membres de la communauté tchétchène. La présidente du Rassemblement national (RN) a même pris la parole et a livré un discours vers 18h.
Sur son compte Twitter, Marine Le Pen a publié de nombreux messages consacrés à Dijon et a relayé des images filmées des tensions dans la ville. “Notre pays sombre dans le chaos.”, a-t-elle notamment écrit, interpellant Christophe Castaner. “Des bandes se livrent une guerre ethnique, arme automatique à la main.”.
Mais des incidents se sont produits à son départ : Son convoi a été pris à parti de façon très violente par des militants antifas.
“Marine Le Pen n’est pas la bienvenue à Dijon !”, avait menacé le maire socialiste de la ville, François Rebsamen.
Et si on envoyait les Tchétchènes sur les antifas ?