« La justice a fait son travail. Il y a eu beaucoup d’expertises qui ont toutes prouvé qu’il n’y a pas eu de mort criminelle. La famille Traoré veut faire croire que ça n’a pas été tranché, mais ça été tranché. (…) Il faut rappeler qu’Adama Traoré n’a pas été arrêté parce qu’il était noir, mais parce qu’il avait 1000 euros en liquide dans sa poche et de la drogue, et que la famille Traoré était connue comme le loup blanc dans le trafic de la drogue dans tout le département. Et puis, lorsqu’on voit les images des policiers noirs traités de vendus, on voit bien que ce que demandent ces gens, c’est le refus de l’ordre blanc. Ce sont eux qui racialisent. (…) Je vous cite ce vieux message d’Assa Traoré, sœur d’Adama, sur les réseaux sociaux en 2018 : “En Afrique, ils vont renverser le président et rentrer dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça ne se passera pas comme ça en France ?”. Ça s’appelle un putsch, et elle doit être condamnée. Alors, soit l’État refuse de parler avec ces gens, et c’est l’État, soit l’État cède, et c’est ce qui se passe depuis des semaines avec Christophe Castaner et Nicole Belloubet et compagnie, et ce n’est plus l’État. On est dans une situation où la négociation n’est plus possible. »
« Les jeunes de Génération identitaire ont perturbé la manif comme font les Femen. Mais seulement, contrairement aux Femen et aux autres de l’extrême gauche, les médias tapent sur les militants identitaires et les traitent d’extrême droite. Ils utilisent les mêmes méthodes (à savoir, le hashtag ‘Protégeons nos statues’ comme le ‘Balance ton porc’). Ce sont des techniques d’habitude utilisées par l’extrême gauche, et ils ne supportent pas qu’elles soient utilisées contre eux. Ensuite, je ne suis pas d’accord avec vous quand vous dites qu’il faut refuser tous les séparatismes. Pour moi, ces jeunes de Génération identitaire ne sont pas racialistes, ils défendent la France, l’identité de la France, le peuple français, ce qu’il a toujours été, sa civilisation. Ils ne sont identitaires que parce qu’en face, ils ont des racialistes. Quand ils parlent de racisme anti-blanc, c’est une réalité. »
Source : “Face à l’info” du mardi 16 juin 2020, CNEWS