L’heureuse initiative de 40 millions d’Automobilistes contre la Mairie de Paris

33 Comments

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  Jack , 17 mai 2016 @ 12 h 35 min

  Bonne initiative, mais voyons le résultat ! La Justice jugera-t-elle en son âme et conscience ou alors en fonction des intérêts idéologiques personnels du ou des juges !?
  Un maire a certes des pouvoirs sur sa commune, mais il me semble qu’ils sont codifiés par le Code Civil et on est curieux de connaître le degré des droits des propriétaires d’automobiles face aux arrêtés de Mme HIDALGO ; en gros, la risposte engagée par l’association sera-t-elle de nature à condamner l’élue !?
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  Ice Agora , 17 mai 2016 @ 13 h 38 min

  Jacky merci pour le Général !
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  Ice Agora , 17 mai 2016 @ 13 h 38 min

  Excellent !
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  marie-france , 17 mai 2016 @ 14 h 04 min

  la bande de “trous du cul ” c’est vous ,qui depuis plus de 40 ans vous falsifier l’ Histoire avec votre gaullisme à la noix , les écrits aujourd ‘hui commence à démontrer ce qu’était en vrai ce soldat de pacotille qui n’a pas hésité de faire tuer un vrai patriote qui défendait la parole donnée et trahie par ce même de gaulle que vous défendez tant
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  Bainville , 17 mai 2016 @ 15 h 54 min

  De Gaulle est le seul officier à s’être rendu, à Douaumont, les autres ayant été tués.
  Les allemands ne lui ont pas rendu son épée.

  En 1940 il s’est enfui à Londres, dans l’avion du Général Spears,avec une retraite de général anglais assurée.

  Ses calomnies contre l’Armistice sont à l’original directe de la destruction honteuse de notre flotte par l’Angleterre à Mers El Kébir le 3 juillet 1940.

  Assez de contre vérités pour soutenir cette mythologie.
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  Marino , 17 mai 2016 @ 16 h 34 min

  @ marie-france, NOUS les pieds-noirs savons…

  * De Gaulle l’imposteur

  Le 16 juin, de retour de Londres, de Gaulle rejoint Bordeaux, nouveau siège de repli du gouvernement français.

  Paul Reynaud vient de démissionner et Philippe Pétain est appelé pour le remplacer. Le général « à titre temporaire » 1 espère beaucoup de la constitution de la nouvelle équipe gouvernementale, pour le moins qu’il soit reconduit à son poste de sous-secrétaire d’État, mais pourquoi pas un ministère plus important, compte tenu de ce qu’il croit être ses bonnes relations avec le Pétain.

  Daladier s’y oppose fermement (« Si de Gaulle entre, je sors ») et c’est Baudouin qui est nommé au poste qu’il espérait, celui de sous-secrétaire d’État à la guerre.

  Le général « à titre temporaire » écrit à Paul Reynaud une lettre dans laquelle il lui exprime son désarroi de ne pas être retenu dans le prochain gouvernement. Il lui demande un poste : que l’on fasse au moins de lui le chef du corps cuirassé. Il n’est pas entendu.

  Infiniment déçu, et après maintes hésitations, de Gaulle, accompagné par son aide de camp Geoffroy Chodron de Courcel, repart le soir même vers la capitale britannique sur le De Havilland Flamingo.

  Dans l’avion qui le ramène vers Londres, il est accompagné par le général Edward Louis Spears, envoyé spécial de Winston Churchill, qui souhaitait surtout les venues de Paul Reynaud et Georges Mandel, mais Spears n’a pas réussi à les convaincre.

  De Gaulle, qui n’était pas attendu, déclare à Spears : « C’est bon, ils ne veulent pas de moi ! Dans ces conditions je fous le camp à Londres. »

  Il s’agit là d’un point très important, car si de Gaulle s’était vu confier un poste ministériel, ou même sa reconduction comme sous-secrétaire d’État, il serait resté à Bordeaux et aurait fait partie du premier gouvernement Pétain. Quelle aurait été sa véritable conduite dans la suite des événements ? Cela, nous ne le saurons jamais.

  Bien des années plus tard, en 1967, il se confiera à Roger Stéphane : « Et pourquoi ne pas l’avouer, il y avait l’ambition, j’étais un ambitieux politique et il y a eu la rencontre de la circonstance et de l’ambition. »

  Le gouvernement français lui ordonne de rentrer en France, « sous peine d’être jugé comme déserteur ».

  De Gaulle écrit au général Weygand, chef des armées, le 20 juin 1940 :

  « Mon général, j’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune résolution que de servir en combattant » (Mémoires de guerre, 1954).

  Il est important de signaler que, le 16 juin, l’armistice n’est pas encore signé, que donc la France est toujours en guerre et que la fuite de De Gaulle est une « désertion face à l’ennemi en temps de guerre », acte pour lequel des dizaines de soldats ont été fusillés.

  Depuis 1958, cette lettre est supprimée, occultée par tous les historiens officiels du gaullisme qui nous livrent donc une Histoire de France revue et corrigée.

  Si de Gaulle avait pu se procurer un moyen de transport, que les autorités britanniques lui ont refusé, il serait revenu à Bordeaux.

  Et c’en était fini de Londres et de son faux « appel du 18 juin ».

  Notes:
  Le 1er juin 1940, de Gaulle est nommé général de brigade à titre temporaire. Il m’a été impossible de me procurer le décret qui a nommé de Gaulle dans ses droits de général de brigade à titre définitif : à quelle date et par qui a-t-il été signé ? C’est le mystère total.
  Le ministère des armées étant dans l’incapacité de fournir ce renseignement pourtant capital que j’ai réclamé il y a quelques années.

  Et, comme par hasard, le dossier militaire de De Gaulle a disparu au ministère de la Guerre à la libération de Paris, en 1944.

  Lire : « J’accuse De Gaulle » de Manuel Gomez:

  – J’apporte la preuve que De Gaulle (avec l’aide des communistes) a livré à STALINE les 102 481 prisonniers Russes détenus au camp de Beauregard à la Celle-Saint-Cloud.

  -J ’apporte également la preuve directe de l’organisation sous ses ordres du massacre des innocents le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger : La réponse de Christian FOUCHET, Haut-commissaire en Algérie en mars 1962, et ministre de l’Intérieur jusqu’au 31 mai 1968 où, limogé par De Gaulle qui lui reproche de ne pas avoir tiré sur les manifestants, il lui répond : « Vous n’avez pas osé tirer, me dîtes-vous, j’aurais osé s’il l’avait fallut. Souvenez-vous de l’Algérie et de la rue d’Isly. Là j’ai osé et je ne le regrette pas parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise. »

  Et, enfin, l’aveu fait par De Gaulle en personne à Pompidou, en mai 1968 :

  « Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français. »
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  Thierry Theller , 17 mai 2016 @ 16 h 53 min

  @ marie-france 17 mai 2016 à 14:04 at 14 h 04 mi
  “trous du cul” et tutti quanti.

  Quelle haine ! Quelle rancoeur ! Avez-vous songé à consulter ? Non ?
  Alors, prenez garde, vous jouez avec votre santé !
  Les spasmes atrabilaires, même sporadiques, sont susceptibles d’endommager votre système immunitaire.

  Du coup, gare aux extra systoles ! Gare aux dysfonctionnements du rythme cardiaque ! Avec, en prime, l’impossibilité de se défausser sur qui que ce soit.
  Ni même de battre votre coulpe sur la poitrine de votre ennemi préféré. C’est-à-dire, de celui qui, même post-mortem, continu visiblement de titiller l’abondante bile noire de votre obsessionnelle rancune.

  Cela étant dit, j’ai cru comprendre que le contenu de l’article ci-dessus se rapportait à “L’heureuse initiative de 40 millions d’Automobilistes contre la Mairie de Paris”.
  Donc, essentiellement, à Mme Anne Hidalgo.

  En revanche, sauf à avoir la berlue, aucune ligne sur le Gle de Gaulle. Pas une allusion ! Rien ! Pas même un mot !
  Du coup, le mystère quant à la violence de vos débordements verbaux reste entier. Et là, pardonnez-moi, je me perd en conjectures…

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