Qui est donc William Blanc, l’ « historien » critique du Métronome ?

Tribune libre de Frédéric Laurent

En ayant vu qu’une campagne de presse soudaine était déclenchée – deux ans après sa sortie – contre le passionnant Métronome de Lorànt Deutsch, dans la plus pure tradition des tentatives de manipulation de l’opinion dont la gauche s’est fait une spécialité, je voulus en savoir davantage. Quelle ne fut pas ma surprise quand j’appris que la référence principale de ladite campagne était un certain William Blanc, doctorant en histoire de 36 ans, dont les arguments sont aussi pauvres que les sourires.

Pour qui a un peu traîné ses basques sur le campus de Tolbiac (Paris 1) il y a une dizaine d’années, William Blanc est loin d’être un inconnu. Ce gros garçon était tout simplement l’un des leaders des mouvements d’extrême-gauche, qui ont fait du lieu leurs quartiers généraux dans le monde universitaire parisien. Violent (accusé notamment par une opposante de lui avoir cassé le bras au sein même de l’université) et quelque peu fanatisé (impossible de discuter avec lui), il était resté de longues années à Tolbiac, où l’on n’était censé – à l’époque – ne passer que les deux années de Deug. C’est à se demander où il trouvait son argent pour vivre. Pour tout dire, le garçon faisait penser à ces hommes de main payés par l’extrême-gauche pour maintenir son contrôle du système éducatif en fomentant des mouvements pseudo-révolutionnaires et étouffer toute opposition.

Dix ans plus tard, William Blanc a trouvé un nouveau moyen de redorer sa tunique rouge. Pas sûr que cela mène très loin : il est plus difficile de faire valoir des connaissances et de débattre que de bloquer un campus…

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17 Comments

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  • 0 / 10
  • giant , 17 juillet 2012 @ 14 h 28 min

    il anime aussi une émission sur Radio Libertaire et un site internet Les Goliards (www.goliards.fr), vous pouvez écouter ses émissions en podcast sur le site (il bafouille énormément et écorche très souvent le français; ce qui est quand même assez flippant pour un doctorant ….)

  • F-Troop[F75] , 18 juillet 2012 @ 0 h 52 min

    De faux airs de Didier Gustin, le talent en moins et c’est pas faute d’essayer de lui en trouver…un bouffon à grelots toujours accompagné de son service de protection/agression composé d’une poignée de branleurs, c’est tout ce qu’il y aurait de positif à ajouter pour décrire ce petit kapo et sa clique de miliciens. Cet éternel étudiant de 36 piges est l’archétype de l’idiot utile subventionné, doctorant au bout 15 années de glandes, de dictature syndicale et de coucheries aussi diverses et variées allant des R.G. aux milices d’extrême droite sioniste en passant par des officines qui ont pignon sur rue dans le domaine du foutage de gueule politique politicien, du détournement de fonds publics et de l’abus de bien social. Le prince William se fait entretenir à grands frais depuis un bail (suffit de suivre le pognon…), loin du populo qui ne dégouline que de sa prose par une logorrhée dyslexique récitée d’année en année à un public dans l’ensemble aussi faiblard physiquement qu’intellectuellement et somme toute très peu concerné. Le gus et son harem sont visibles sur le campus de Paris1 (Fac. Tolbiac) alias “les dés de rétroviseur”. (Entrée libre – Station M14 Olympiades) N’hésitez pas à le prendre en photo en plein boulot, il adore ça et contre deux trois frites Mc Do (face à la sortie du métro), il ira même jusqu’à remuer la queue et à se lécher le fion comme un bon clébard dévoué à ses maîtres. Intimider les premières années et tabasser des gamines, c’est bien le maximum dont ce social-traître et sa meute de chiennes sont capables. T’es grillé Double U, suffit juste d’être patient…

  • Anti-Antifa , 18 juillet 2012 @ 1 h 04 min

    Pourquoi, tu comptes reformer la Gestapo?

  • Al Tzar Tlbiac , 18 juillet 2012 @ 1 h 25 min

    Sylvia on sent bien chez vous la groupie amourachée de ce personnage ô combien perturbateur et même dangereux. Perso. ça fait un moment que je me demande de quoi peut bien vivre ce monsieur pour l’avoir croisé à de nombreuses reprises sur le site et de savoir par des administratifs qu’il ne met plus les pieds en amphi depuis belle lurette sans même avoir de profession connue. Y en a pour qui c’est la belle vie! Mais comme rien n’est gratuit et que l’argent ne tombe pas du ciel il semblerait bien que ce monsieur soit financé par des politiques. Sa place n’est pas ici désolé.

  • Natogato , 18 juillet 2012 @ 12 h 43 min

    “Cet article excellent” ???
    Je ne vois pas même le début d’un article digne de ce nom ! Son auteur ne fait que régler des comptes personnels avec William Blanc point barre. Et je ne dis pas cela pour prendre partie pour William Blanc.

  • Poujadiste , 20 juillet 2012 @ 17 h 42 min

    Quelqu’un sait il si cet individu est doctorant, ou bien post-doctorant?
    Post-doctorant à 36 ans, ça n’est pas trop choquant.
    Doctorant à 36 ans, c’est se f–tre du monde. Je le dis d’autant plus aisément qu’il m’a fallu travailler en dehors de l’université pour me payer mon doctorat en sciences (pas de bourses) et que j’ai bouclé celui ci en 4 ans, soit à l’age de 30 ans…

  • RomZ , 23 juillet 2012 @ 17 h 55 min

    Je me souviens très bien du dit William pour justement avoir été en histoire à Tolbiac au début des années 2000. On se demandait également à l’époque avec mes potes, comment un gars qui avait de toute évidence dépassé depuis longtemps le stade du DEUG pouvait encore glandé (car il s’agissait bien de glandage) là bas.
    Je viens d’ailleurs d’écouter son intervention dans l’émission d’Éric Brunet sur RMC où il a le culot de ne pas se prétendre militant. Ceux du Tolbiac de l’époque citée apprécieront ce “léger remaniement” de son histoire. En effet le gars n’était pas le dernier à s’en prendre au moins verbalement à ceux qui ne suivaient pas sa ligne politique (par exemple il m’a un jour emmerdé par ce que, pendant les manifestation anti guerre en Irak, j’avais eu l’outrecuidance d’aller me chercher un sandwich au macdo du coin, et m’avait élégamment traité de pro-americain raciste, ce à quoi un de mes amis lui avait alors fait remarqué la paire de Nike qu’il portait).

    Tout un personnage qui ne se gêne donc pas pour faire ce qu’il reproche aux autres.

    William si tu nous lis…

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