À l’origine, il y a toujours un groupe d’autochtones pour faire souche et fonder une commune, une région, un pays. Ensuite, c’est avec un ajout inévitable, plus ou moins important, de populations diverses venues de tous les horizons, que les peuples ont bâti leur Nation. La France s’est construite pareillement, avec une exigence particulière : l’assimilation. Qui a toujours été un élément essentiel pour l’intégration à la Patrie. Jusqu’à présent, les nouveaux arrivants, en apportant avec eux des religions, des croyances multiples ou des coutumes singulières, malgré cela, se sont toujours conformer aux usages, aux valeurs et aux lois en vigueur. Et ont parfaitement ingéré l’idée que la France était un pays chrétien, de culture et de religion. Athée, laïc ou croyant, chacun a admis que nos lois, nos coutumes, nos valeurs, étaient inspirées par cette culture chrétienne dont nous sommes imprégnés. Mais, aujourd’hui, c’est, peut-être, pour cette raison, mais pas seulement, que certains ont autant de mal à appréhender notre société.
Car, à l’exception de quelques belles réussites individuelles ou, a contrario, en observant la masse inerte et inexpressive dont on ne sait jamais vers qui va balancer son cœur, globalement, le bilan de l’intégration des immigrés ou Français musulmans s’avère globalement négatif (là, on n’ose plus parler d’assimilation, tellement cette solution s’éloigne). À moins d’être aveugle ou de mauvaise foi, on peut constater que de plus en plus de jeunes musulmans refusent nos usages, pratiquer la ségrégation linguistique et multiplient des signes et des comportements provocateurs : voile (intégral ou pas), djellaba, barbe islamisée, prières de rue et occupations illégales de l’espace public, incivilités, etc. Manifestement, ceux-là veulent, à tout prix, affirmer leur identité religieuse ou culturelle, et nous dire que, là où ils sont en nombre, le territoire leur appartient. Pour leur remémorer qu’ils sont en France, il serait utile de réfléchir à des solutions pragmatiques. Bien sûr, on peut toujours regretter que nos dirigeants, crétins et irresponsables, aient fait entrer dans notre pays une immigration massive d’obédience musulmane, mais, dorénavant, que cela plaise ou non, il faudra faire avec ces musulmans français. Et vouloir interdire l’islam, comme quelques extrémistes, à l’esprit échauffé, le préconisent, n’est pas raisonnable ; c’est même insensé ! L’histoire nous a appris que la prohibition est toujours contre-productive quand on veut éradiquer une idée. Qui reste immatérielle. Les persécutions des chrétiens n’ont pas aboli le christianisme, ni la Shoah, le judaïsme, ni le massacre de la Saint-Barthélemy, le protestantisme. Quoi qu’il en soit, la situation actuelle nous oblige à réagir. Si nous voulons éviter une partition qui n’apporterait rien à personne, sinon des drames inutiles et du temps perdu, il est indispensable de recadrer une population qui refuse nos us et coutumes, et qui est, de surcroît, encouragée par des idiots utiles, politiques, médiatiques et culturels. Qui ont promu, en dépit du bon sens et de toute logique, une idéologie islamo-gauchiste, favorisé le communautarisme, le repli identitaire, et qui font croire aux nouveaux arrivants, et aux autres, qu’ils n’ont que des droits et pas de devoirs. La démagogie de nos élites, avec leur credo imbécile “l’immigré est une chance pour la France”, n’arrange rien.
Pour redresser la barre, une première mesure s’impose : arrêter l’immigration ! Parce que nous n’avons plus rien à offrir et, avec cinq millions de chômeurs, surtout pas du travail. Au préalable, il serait judicieux de refouler et d’expatrier tous les clandestins, les délinquants et les fichés S, radicalisés étrangers, de supprimer le regroupement familial et le droit du sol, de rendre l’accession à la nationalité française plus méritante et d’invalider la double nationalité extra-européenne. Ensuite, pour ceux qui restent, contraindre les récalcitrants, par la force de la loi, à respecter nos valeurs et nos usages. Qu’il nous faut réaffirmer, haut et fort ! D’ores et déjà, appliquons la tolérance zéro pour les ennemis de la tolérance : dans toutes les mosquées, les prêches, d’un Coran expurgé de toutes ses inepties archaïques contraires à nos lois, doivent se faire en français, les prédicateurs de haine doivent être sanctionnés, et tous les lieux de culte qui soutiennent, de près ou de loin, le terrorisme, doivent être définitivement fermés. Quant aux terroristes eux-mêmes, ils ne méritent que la déchéance de nationalité, le bannissement ou la prison à vie. Surtout, toutes les lois qui nous permettent de vivre en paix doivent s’appliquer fermement, et si notre arsenal judiciaire doit être renforcé, rien n’empêche de le faire : avec de la volonté politique et un peu de courage, tout est possible. Il n’est jamais trop tard pour bien faire !
Claude Picard