Ce ne sont pas des propos que les Français attendent de ses dirigeants et de François Hollande en premier. Ce sont des actes. Une réaction immédiate au lendemain de ce drame dont tout le monde attendait de savoir quel visage il aurait. Un drame qui se répétera si..
Déclarer l’état d’urgence est un premier pas, mais ce ne sont pas des milliers de soldats faisant les cent pas dans nos rues, devant nos monuments, qui vont faire que les terroristes vont se terrer dans leur banlieue. Fermer les frontières, c’est bien, mais c’est un peu tard. Schengen est enterré. La libre circulation des armes et des soldats d’Allah aura permis de les dissimuler jusqu’au moment opportun. Et ce moment c’était le 13 novembre à partir de 22 heures à travers Paris. Convoquer le Parlement, c’est du gadget en ces heures dramatiques. A moins de lui annoncer les mesures à prendre, s’il n’est pas trop tard.
L’impuissance de ce gouvernement et de tout autre qui n’aurait pas pris, en amont, les mesures est terrible. Ce ne sont pas des déclarations attristées, dont le ton compassionnel n’est certes pas contestable, qui vont bouleverser les éléments de cette cinquième colonne. C’est une action immédiate dont on peut douter qu’elle soit prise par ce Président et ses ministres car ils n’ont jamais eu le courage de regarder la vérité en face.
La police et la gendarmerie ont dressé des listes impressionnantes, on parle de 5 000 individus, de musulmans radicaux fichés « S », fichés dangereux, futures bombes humaines. Les laisser dans la nature aujourd’hui, c’est permettre un nouveau massacre demain, dans six mois, dans un an. Il faut les arrêter tous au cours d’une rafle gigantesque. Les placer dans un camp de barbelés, préventivement. Comme les Américains le firent, sans état d’âme, avec les japonais après Pearl Harbor. La peur doit changer de camp. Il faut que ces assassins sachent que désormais, c ‘est la guerre, et que force restera à la Loi.
Il faut aujourd’hui même arrêter la centaine et plus d’imams salafistes qui poussent au djihad les jeunes de nos villes. Et fermer leur mosquée. Comme à Lunel, dans le Gard, véritable nid de terroristes.
Il faut isoler tous les prisonniers réputés radicaux, que leurs gardiens ont clairement identifiés, dans des quartiers et prolonger leur emprisonnement ou les renvoyer dans leur pays respectif.
Il faut arrêter immédiatement ce flux migratoire insensé dont on sait qu’il cache des dizaines de terroristes envoyés par l’État islamique. Et cela à l’échelle européenne. Autrement dit, Bruxelles doit mettre un terme à l’espace Schengen, et placer l’ensemble des migrants déjà arrivés dans des camps pour y être triés et le cas échéant renvoyés chez eux s’il est prouvé que leur vie n’est pas en danger dans leur pays d’origine.
Si Hollande n’annonce pas l’ensemble de ces mesures, il est indigne de poursuivre sa tâche.
Il est plus que temps de prendre ces décisions qui s’imposent à un chef d’Etat digne de ce nom car il a la sauvegarde de son peuple.
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