Non au catholiquement correct !

À mon ami Nicolas M. Pour sa foi pure en Christ mais aussi pour son acceptation lucide des vérités historique.

Cette missive est une réaction à l’article « Non, nous ne sommes pas des Gaulois ! » de François Falcon qui, parce que croyant probablement qu’il n’y a pas de salut hors du catholicisme, écrit de véritables inepties.

1) Oui nos ancêtres étaient des Gaulois !

Pour l’heure, les études historiques et archéologiques montrent que la masse globale vivant sur le territoire de France, depuis le néolithique jusqu’à nos jours et, donc, aux bouleversements migratoires extra-européens, fut « italo-celtique ». Une ethnie proche des italiens dans le sud de la France et une ethnie celtique au-dessus de la Loire. La notion de « Gaulois » comprend cet ensemble et n’a jamais vraiment varié jusqu’aux bouleversements des années 70. La domination de l’Empire romain puis des tribus franques était surtout politique et non démographique. Il s’agissait en réalité de petits groupes militaires qui furent absorbés à terme par la masse. Ces propos émanent d’études très sérieuses notamment d’historiens catholiques tels que René Grousset ou Lucien Jerphagnon.

2) Concernant Clovis

N’importe quel livre d’histoire, même catholique, a l’honnêteté de reconnaître que Clovis et ses soldats, qui furent païens, se convertirent au catholicisme avant tout pour se concilier avec l’élite gallo-romaine qui était déjà chrétienne et qui détenait toute l’administration de l’époque issue de l’Empire romain. Les évêques, tels que Saint Rémi de Reims qui eut une influence décisive dans la conversion de Clovis, étaient les énarques et préfets de l’époque. Seul Dieu, qui connaît le secret des cœurs, sait si des convictions plus spirituelles pesèrent dans ce choix qui fut avant tout politique. L’élite administrative gauloise était chrétienne avant l’élite politique franque et ce, pour la simple et bonne raison que, depuis l’empereur Théodose – qui imposa le christianisme comme religion d’État à tout l’Empire romain (et persécuta les païens) -, seuls les chrétiens pouvaient devenir fonctionnaires.

De plus, pour donner une image percutante mais nécessaire pour comprendre ce que sont les Allemands et une partie de leurs ancêtres qu’on appelle les Francs, disons que Clovis, qui fonda la dynastie des Mérovingiens, et Charles Martel, qui engendra celle des Carolingiens, furent des Adolf Hitler ayant réussi ! En effet, comme l’explique très bien la politologue Marie-France Garaud, les Allemands qui ne connaissent aucune frontière physique mais uniquement des plaines à perte de vue n’ont jamais ressenti la nécessité de la frontière à la différence des Gaulois limités par les montagnes et les mers.

C’est pour cette raison qu’ils n’ont eu de cesse d’envahir toute l’Europe, de l’Empire romain jusqu’à l’Union européenne en passant par les Empires carolingien, romain germanique et bismarckien, les ordres teutoniques et les deux Guerres mondiales ! Ils furent les seuls à s’étaler de la France aux confins de la Roumanie et des pays baltes actuels !

3) Napoléon III, un anti anticlérical ?

François Falcon semble dire que Napoélon III fut un anticlérical. Je pense qu’un livre d’histoire sur la période du Second Empire s’impose. Bien qu’il fût agnostique, l’Empereur a toujours été plus que très bienveillant envers les catholiques afin d’asseoir son pouvoir. Il a toujours soutenu l’Église financièrement, à tel point que c’est sous son règne que la France connut le plus grands nombre de prêtres, de moines et de monastères ! Son fils fut miraculeusement sauvé par l’eau de Lourdes et c’est pour cette raison qu’il reconnut les apparitions de la Vierge par Sainte Bernadette Soubirous avant l’autorité ecclésiale, qui y était réticente !

4) Christianisme et colonisation

François Falcon dit : « la colonisation fut aussi l’œuvre de Napoléon III et des républicains anticléricaux ». Soit il est d’une profonde malhonnêteté, soit il est d’une inculture historique crasse. La colonisation française commença réellement avec la conquête de l’Algérie. Quand se déroula cette conquête ? En 1828. Et qui régnait à ce moment-là ? Le roi très catholique (après avoir été un incroyable coureur de jupons) Charles X.

Mais cette conquête était l’œuvre de militaires qui ont toujours respecté les tribus arabo-berbères, leur religion, l’islam sunnite, et leur mode de vie. Ils n’essayèrent jamais de les convertir au catholicisme ou à leur manière d’être. Ce respect se maintint sous le Second Empire où Napoléon III déclara qu’il était l’Empereur des Français et des Arabes pour bien marquer la différence des deux civilisations. C’est la IIIe République qui bâtit en brèche ce respect, en tentant d’assimiler les Arabo-berbères puis les Africains sub-sahariens, avec les résultats désastreux que nous payons encore chèrement aujourd’hui. Mais, n’en déplaise aux catholiques, la IIIe république laïcarde et anticléricale bénéficia d’une aide décisive de la part des missionnaires catholiques dans ce nivellement assimilateur.

Comme le rappelle l’africaniste Bernard Lugan dans le numéro spécial consacré aux 50 ans de l’Algérie de sa revue Afrique réelle, le cardinal Lavigerie (1825-1892) qui fut l’artisan du ralliement des catholiques à la République et le fondateur des missionnaires Pères Blancs, écrivit au garde des Sceaux du gouvernement Gambetta (qui avait aussi compétence dans la gestion algérienne) Adolphe Isaac Crémieux une lettre intitulée « Notes de L’Algérie » où il demanda des terres pour les colons européens dont l’immigration selon lui devait s’intensifier, ainsi que l’abolition des bureaux arabes instaurés par les militaires qui respectaient la culture des indigènes et notamment les systèmes tribaux et polygames, ou encore la spoliation des terres indigènes afin d’installer une administration directe de type jacobin. Ces mesures mises en œuvre par la République provoquèrent les désagrégations des liens tribaux et l’émergence de l’individualisme (tout relatif) qui réjouissaient le conquérant nordique.

Les industriels (ancêtres de nos multinationales) pensaient qu’il était ainsi plus facile de piller les ressources minières africaines pour nourrir la révolution industrielle, les républicains voyaient un moyen d’assimiler les africains aux principes républicains et les missionnaires catholiques savaient qu’il est beaucoup plus aisé de convertir des individus après les avoir arrachés à leur culture et leur croyance. Si l’évangélisation fut un échec au Maghreb, elle fut un succès en Afrique subsaharienne où de très nombreux temples animistes furent détruits (allant jusqu’à un véritable génocide culturel à Madagascar) et où tous les systèmes tribaux qui régulaient la démographie furent abolis, permettant avec la révolution médicale, pétrie de valeurs chrétiennes devenues folles, l’explosion démographique démentielle qui tue le continent noir – et l’Europe par contrecoup ! Avant l’arrivée des euro-chrétiens en Afrique, il y avait 200 millions d’individus qui vivaient dans l’abondance de nourriture, aujourd’hui ils sont presque un milliard avec plus de 100 millions de miséreux.

Dois-je rappeler à François Falcon que la République française ne fut pas seule dans la colonisation africaine mais en compétition avec les monarchies catholique belge, protestante allemande et anglicane britannique qui envoyèrent toutes leurs missionnaires ? La baronne danoise Karen Blixen, dans son chef-d’œuvre Out of Africa, dénonça aussi le rôle délétère des missionnaires protestants au Kenya.

Et ce qui se passa en Afrique au XIXe siècle se déroula aussi en Inde de l’empire britannique comme le rappelle l’indianiste Alain Daniélou (frère du célèbre cardinal Jean Daniélou) ou en Amérique du Sud envahie par les catholiques espagnols comme le rappellent le diplomate Jean Soler ou le géo-économiste Hervé Juvin.
Partout où les euro-chrétiens passèrent, ils brisèrent ou tentèrent de détruire les religions, coutumes et arts de vivre ancestraux des peuples conquis (notamment leurs régulations des naissances jugées barbares) et provoquèrent des explosions démographiques obéissant à l’injonction biblique « croissez et multipliez-vous » sur une Terre considérée comme un objet, charriant ainsi des millions de pauvres, oubliant la nécessaire coordination démographique avec les vivres mis à disposition par la nature environnante.

5) Christianisme et races

Le christianisme qui se dit une religion de l’incarnation est en réalité une religion de la désincarnation. En effet bien avant le Christ, le dieu Mithra né vers – 500 dans les hautes terres du nord-est iranien d’une Vierge, dans une étable, à côté d’un bœuf (signifiant le pur) et d’un âne (l’impur), ayant vécu 33 ans avant de monter au ciel ne fait que suivre une longue tradition païenne issue de l’Inde où de nombreux dieux et héros naquirent de l’intercession de l’Âme Cosmique et d’une vierge humaine. Ce symbole d’union entre le divin et l’humain illustre la consubstantialité du monde visible à Dieu. Dans les paganismes indo-européens, Dieu n’a pas créé le monde visible mais l’a engendré.

Le Christ reprend cette tradition de l’incarnation mais en même temps la réduit à néant dans une phrase malheureuse : « Rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César » séparant de fait le monde spirituel du monde charnel, la foi des lois naturelles considérées comme issues du péché, faisant de celle-là une abstraction pure n’ayant strictement aucun lien avec le réel. C’est pour cette raison que les Européens imprégnés par 2 000 ans de culture judéo-chrétienne ne comprennent toujours pas que la race est avant tout une manière d’être spirituelle issue d’une constitution biologique spécifique. C’est à cause de cette fausse représentation que François Falcon pense que « le Français de fraîche date, quel que soit son taux de mélanine pourvu que le cœur y est » peut devenir un bon Français. Si on peut intégrer des individus, on ne peut absolument pas intégrer des masses comme le rappelle De Gaulle. Il ne comprend pas, comme l’expliquait le Roi du Maroc Hassan II, que la majorité des extra-Européens ne pourront pas devenir de bons Français en embrassant les mœurs européennes et notamment la religion catholique. Il y a un lien consubstantiel entre identité et nationalité.

J’en veux pour preuve l’écrasante majorité des sémites chrétiens qui, jusqu’à aujourd’hui, n’ont jamais cru en l’incarnation du Christ, incarnation qui reste une spécificité indo-européenne qui personnifiait aussi les dieux païens (équivalents des anges chrétiens). La majorité croit soit en un Dieu qui prit forme humaine mais ne s’incarnant pas dans un homme, soit un homme qui reçut une bénédiction particulière de Dieu. C’est pour avoir confessé cela, surtout les chrétiens coptes d’Égypte, qu’ils passèrent aux yeux des européens chrétiens pour des hérétiques et furent lourdement persécutés par l’Empire byzantin, à tel point qu’ils accueillirent à bras ouvert les conquêtes musulmanes, pensant être libérés.

D’ailleurs, si le sud de la Méditerranée devint aussi rapidement musulman, c’est parce que la conception divine bien plus abstraite prônée par l’islam, religion sémitique par excellence, convenait davantage aux Arabo-berbères que les mystères chrétiens de l’incarnation et de la Trinité d’origine indo-européenne hindoue. Une simple lecture de la vie de Charles de Foucaud ou un voyage au Moyen-Orient détruisent toutes illusions prosélytes chrétiennes. Je rappelle aussi que l’Église a toujours su composer avec les Africains ou Amérindiens en laissant des rites préchrétiens animistes. Bien plus que les religions, ce sont les races qui sont le cœur des civilisations.

6) Christianisme et mémoire

Si Vercingétorix fut réhabilité par les historiens du XIXe, dont un certain nombre était effectivement très hostiles au catholicisme, c’est certes en réaction à son effacement de l’historiographie chrétienne mais aussi parce qu’il fut le premier homme politique qui réussit à coaliser les tribus gauloises contre l’envahisseur romain. Les rêves de conquêtes de César ont failli s’évaporer face à cette résistance inattendue qui provoqua une véritable débâcle des armées républicaines. César exploita habilement une faute stratégique de Vercingétorix qui lui permit au dernier moment de changer la donne. En réalité, la conquête des Gaules fut bien plus dure que ses écrits ne le laissent entendre. Cette vérité historique n’est toujours pas remise en cause par les études les plus récentes.

De plus, si les historiens du XIXe furent anti-cléricaux et pas très pro-Bourbons, ils avaient malgré tout un très grand respect pour tous les grands personnages de notre Histoire, que ce fût Clovis, Philippe le Bel, Charlemagne, le Cardinal de Richelieu ou même Jeanne d’Arc qui fut popularisée aux yeux des Français par une réhabilitation exceptionnelle (après longue absence sous l’Ancien régime) par le plus anticlérical des historiens, Jules Michelet, qui lui consacra une biographie bouleversante dans laquelle il affirmait admirer sa foi pure en Christ.

Mais le christianisme ne fut absolument pas en reste en matière de mémoire sélective. L’évêque mérovingien Saint Grégoire de Tours a démarré sa célèbre Histoire des Francs à Abraham, Isaac et Jacob ! Faisant fi de toute l’antiquité préchrétienne de l’Europe comme si celle-ci n’avait jamais existé. Où est la civilisation grecque antique ou la grandeur de Rome dans ses écrits ? Bien que l’Antiquité fût conservée discrètement par les moines copistes du Moyen-âge, il fallut attendre la Renaissance pour qu’on la redécouvrît de manière pacifiée. Les études archéologiques, biologiques et linguistiques du XIXème nous firent comprendre que nous n’avions aucune origine chez les peuples sémitiques mais faisions partie d’une branche plus large de peuples indo-européens avec sa vision du monde singulière, d’où les réactions exagérées ou violentes d’un Nietzsche ou d’un Hitler contre le christianisme qui, à travers son historiographie, incitait à croire à une quelconque ascendance avec les peuplades du Proche-Orient !

Conclusion : l’Histoire est une constante source d’humilité

Un dicton dit que la gauche est sectaire mais la droite paresseuse notamment par son refus de se cultiver. C’est parce que les personnes de droite n’arrivent jamais à se remettre en cause que nous perdons la bataille des idées et donc de la politique depuis 200 ans. Comme le rappelle si bien l’historien Jean Sévilla, si la Révolution Française prit mauvaise tournure, elle ne vint pas de nulle part et, surtout, devait arriver. Les persécutions antichrétiennes de cette période ne sont pas non plus le fruit du hasard mais une véritable haine envers des dogmes incompréhensibles qui condamnaient hypocritement le plaisir depuis des siècles. Aujourd’hui, la France se dissout dans le jouir sans entrave en réaction à une religion qui obligea à ne pratiquer que des vertus sans plaisir. Comme le dit si bien l’écrivain Alexandre Soljenitsyne dans son admirable discours sur le déclin du courage, aujourd’hui nous méprisons l’esprit car le christianisme méprisa le corps, bien qu’en réalité il n’ait jamais réussi à le faire disparaître !

J’invite François Falcon et aussi les chrétiens de droite à lire davantage d’Histoire : c’est une incomparable source d’humilité. Ils y apprendront que l’évangélisation de l’Europe se fit bien plus par des persécutions anti-païennes, qui se transformèrent parfois en véritables massacres bénis par l’autorité papale, que par les bisous évangéliques ; que le christianisme du Moyen-âge fut en réalité un pagano-christianisme (les saints et les anges remplaçant les dieux) où des coutumes païennes persistèrent jusqu’à la Contre-réforme. Que le rite catholique d’avant Vatican II reprit à 80% les rites des offices païens gréco-romains, particulièrement ceux du dieu Mithra ; que jamais la France ne fut aussi paillarde que lorsqu’elle était chrétienne, que ce soit au niveau des élites qui, des Croisades au Grand Siècle, se vautrèrent avec passion dans le stupre et la fornication jusqu’à organiser de gigantesques orgies, ou au niveau du petit peuple qui fréquentait allègrement les prostituées – il y en avait tellement qu’un dicton moyenâgeux d’Avignon disait que sur son fameux pont on rencontrait autant de moines et de commerçants que de prostituées, ces dernières étant protégées par l’Église qui avait le monopole de l’exploitation des maisons closes depuis les lois de Saint Louis ( et cependant tout le Moyen-âge) qui perdurèrent jusqu’en 1946 – ; que l’Église permit aux hommes mariés qui le souhaitaient de devenir prêtres jusqu’au dixième siècle et qu’elle autorisa l’avortement jusqu’au quinzième !

Bien que d’inclinaison païenne, étant de droite, j’ai découvert la majorité de ces révélations dans des livres d’Histoire écrit par des catholiques, fervents pratiquants pour certains, mais qui respectent scrupuleusement ce commandement christique de rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à l’Histoire ce qui est à l’Histoire. Je ne nie absolument pas que le christianisme, par certains aspects, fut bénéfique à l’Europe et qu’il y eut de très nombreux croyants à la vie exemplaire… mais les vérités mentionnées ci-dessus sont objectives.

Que cette tribune puisse susciter la réflexion et la nécessaire remise en cause des gens de droite, dont un trop grand nombre s’illusionne sur un passé monarchique et chrétien idéal pré-révolutionnaire qui n’existe que dans leurs rêveries, afin de susciter enfin un projet politique qui soit réaliste…

Je tiens à remercier mon ami Léopold Gauthier pour sa précieuse relecture.

SOURCES :

Sur nos racines gauloises :
– « Figures de Proue » de l’historien catholique (très pratiquant) René Grousset, qui montre dans son admirable chapitre sur César que les tribus franques minoritaires se noyèrent dans la masse « italo-celtique » dite Gauloise
– « Histoire de la Rome Antique » de l’agnostique de foi mais catholique de culture comme il se définissait lui-même l’historien Lucien Jerphagnon, où il montre que la conquête romaine fut politico-militaire et non migratoire.
– L’historien Jacques Benoist Mechin dans son sublime « L’Empereur Julien », (il démontre aussi que les Gaulois furent les troupes de choc de l’Empire qui correspondaient un peu aux Forces Spéciales d’aujourd’hui). Dans le livre il décrit très bien la croyance au dieu Mithra.

Sur la fatalité germaine d’envahir l’Europe :
– « Impostures Politiques » de la politologue Marie-France Garaud

Sur la bienveillance de Napoléon III envers les catholiques :
– Je conseille tout simple la bouleversante biographie de saint Bernadette intitulée « Le Chant de Bernadette » de l’écrivain juif Franz Werfell, écrite en remerciement d’avoir été exaucé lors d’une prière à Lourdes demandant à la Mère de Dieu de pouvoir fuir en Amérique les nazis qui le recherchaient.

Sur les missionnaires et la colonisation :
– Le numéro 30 de l’Afrique réelle sur les 50 ans de l’Algérie de juin 2012.
– L’article de Bernard Lugan intitulé « Une Idée de la Gauche réalisée par la droite » dans le Hors-série numéro 1 de la Nouvelle Revue Histoire concernant l’Afrique
– « Les Quatre Sens de la Vie » de l’indianiste Alain Daniélou où la question de l’inde britannique est abordée.

Concernant les catholiques en Amérique latine :
« La violence monothéiste » du diplomate Jean Soler ; l’interview d’Hervé Juvin à France Culture pour son livre « La Grande Séparation »

Sur la difficulté des Sémites de croire au Dieu incarné :
– « Atlas des peuples d’Orient : Moyen-Orient, Caucase, Asie centrale » des diplomates Jean et André Selliers
Sur le christianisme et les mœurs :

Sur le mariage des prêtres durant le premier millénaire :
– « Géopolitique, Constante et changement dans l’histoire » du géopoliticien catholique pratiquant Aymeric Chauprade.

Sur la question de l’avortement autorisé par l’Église pendant le premier mois de grossesse jusqu’au XVème siècle :
– « Famille et société: Origines, histoire, actualité » du politologue d’inclinaison païenne Alain de Benoist

Sur la prostitution foisonnante gérée par l’Église :
– le numéro spécial 102 consacré à la prostitution du magazine libéral-conservateur de valeurs catholique Historia

Sur les plaisirs extrêmes de la vie notamment sexuels des élites chrétiennes :
– la magistrale « Epopée des Croisades » de l’historien catholique René Grousset ;
– « Les secrets du Gotha : Histoires des maisons royales d’Europe » de l’historien catholique Ghislain de Diesbach
– ; les émissions sur la vie de cours de Stéphane Bern.

Sur le pagano-christianisme :
– « Charles Martel » de la série “Qui suis-je?” de Roch Mars

Sur l’influence hindoue notamment sur le Dieu trinitaire (Brahman-Vishnu-Brahma) et le mystère de l’incarnation :
– « Mythes et dieux de l’Inde » d’Alain Daniélou ;
– « Le Mahabharata » très célèbre poème épique du XIIIème avant JC, l’un des textes fondateur de la spiritualité hindoue.

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150 Comments

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  • françois préval , 29 novembre 2013 @ 20 h 54 min

    Ca indique une chose: l’objectif est bon, mais pas la méthode. Quand une méthode échoue, on revient dessus. L’anecdote sur la prostitution me rappelle d’ailleurs les débats actuels.

    A noter qu’au Haut Moyen-Age, l’eglise réprima beaucoup plus sévèrement l’inceste que l’adultère. A ma connaissance, elle n’a pas trop cédé sur ce point, et c’est plutôt tant mieux.

  • françois préval , 29 novembre 2013 @ 21 h 07 min

    Autre chose, concernant vos sources, il y en a quand même des douteuses.

    jean Soler n’est pas historien, il est diplomate comme vous le dites et philosophe, et c’est surtout un idéologue visiblement malhonnête. Je n’ai rien lu de lui, mais affirmer que les monothéismes ont la primeur de la violence, quand on connait un temps soi peu les guerres antiques (guerres des Gaules, Guerre du Péloponnèse…) très meurtrières et qui virent les premiers massacres de masse (bien avant les chrétiens).

    Je connais la revue Historia et elle n’est ni libérale-conservatrice, ni catholique, où avez-vous été cherché ça? C’est une revue de gauche très orientée et partiale autant que partielle tout comme “L’histoire” ou “Le monde diplomatique”. Bon, la NRH l’est aussi, mais elle est bien plus pertinente.

    Alain de Benoist est un idéologue pur et un personnage des plus douteux, encore pire que Soler. On parle quand même d’un type qui a toujours refusé de condamner l’immigration et l’islam, entre autre chose.

    Chauprade est également très douteux, tout catholique qu’il est, son amour de l’islam et sa proximité avec Soral suffisent à m’en dégouter.

    Daniélou pour l’indianisme, pourquoi pas. Il faut savoir que ses positions sont assez discutées parmi els spécialistes de l’Inde, mais il est reconnu et a eu le mérite de dénoncer les massacres de masse des musulmans sur les hindous, un bon point.

    Les autres auteurs sont tout à fait valables, même si je vous soupçonne de n’en prendre que ce qui vous arrange. Ainsi, sur Jean Sévilla, il admet évidemment les disfonctionnements de l’Ancien Régime, ce qui est évident et que même des royalistes acharnés admettent, mais il ne dit jamais que c’est la cause profonde de la Révolution, il indique au contraire des causes idéologiques profondes et souligne que le “remède” fut bien pire que le mal. Sur Napoléon III, vous auriez pu citer la biographie de Pierre Milza qui fait autorité. Et sur la colonisation, Daniel Lefeuvre et Raoul Girardet.

    Bref, une biographie partiellement bonne mais sujette à caution.

  • françois préval , 29 novembre 2013 @ 21 h 17 min

    Pardon je voulais dire bibliographie bien sûr.

    Je viens de lire l’article de François Falcon et c’est effectivement très approximatif. Et surtout, le bonhomme ne résiste pas à cette mode si tendance en France et à droite de l’antiaméricanisme primaire. triste!

    Ceci étant, on en répond pas à une approximation par une autre approximation.

  • françois préval , 29 novembre 2013 @ 21 h 25 min

    Sur l’art médiéval, le corps humain est représenté régulièrement au XIIe siècle. le nu reste rare, mais apparait quand même dés le XIIe avec notamment des représentations d’Adam et Eve. des vierges seins nues sont sculptée au XIVe siècle. Dés le début du XVe siècle, le nu se généralise, surtout sous l’influence de peintres italiens, souvent proches de l’Eglise catholique.

    D’une manière générale, le corps nu est associé à la chute d’Adam et Eve et donc au péché, mais il s’agit d’avantage d’une parabole, non de la haine du corps.

  • Jean Dutrueil , 3 décembre 2013 @ 19 h 58 min

    Cher François Préval, vous ne me convainquez pas :)

    1) Pour ce qui est des historiens de propagande, je ne savais pas que le catholique Lucien Jerphagnon en faisait partie.

    2) Comme je l’ai dis maintien fois les païens n’ont jamais été des tendres d’autant plus que la Force est sacrée chez eux, par contre je me pose la question pourquoi dans l’histoire les adeptes de la religions de paix et d’amour ont été parfois si violents pour des questions religieuses (ex: guerre des religions)?

    3) Lisez bien les pères de l’Eglise que j’ai mentionné vous verrez ce qu’ils disent des plaisirs sexuels!

    4) Concernant l’art pictural du corps, oui on représentait le Christ mais je parlais de l’art érotique, qui ne vint qu’avec la Renaissance qui est un recours partiel aux valeurs antiques pour qui l’érotisme était sacré!

    Bien à vous

  • vicbas13 , 4 décembre 2013 @ 18 h 04 min

    la Religion

    A mesure que l’on s’interroge sur ce que nous croyons savoir, d’où nous venons, la portée réelle de nos actes, ou finit par s’apercevoir que l’on nous a menti le mensonge s’est répandu dans toutes les institutions. Rendez-vous compte un instant que seules le mensonge s’est répondu dans toutes institutions. Rendez-vous compte in instant que seules, les institutions religieuses n’ont pas été touchées. Les institutions religieuses de ce monde sont à l’origine de ce foutoir. Les institutions religieuses de ce monde sont établies par ces mêmes individus qui décident de votre gouvernement, de votre éducation corrompue, et de la mise en place des cartels bancaires internationaux. Nos dirigeants n’en non rien à faire de vous et de votre famille. Tout ce dont ils se soucient et qui les a toujours intéressés c’est de contrôlée ce foutu monde. On nous a occulté la présence véritable du divin dans l’Univers, ce que l’Homme appelle ” Dieu “. J’ignore ce qu’est Dieu mais je sais ce qu’il n’est pas. Et à moins que et jusqu’à ce que vous soyez prêts à regarder la vérité en face où qu’elle aille, qu’importe vers qui elle vous mène, si vous voulez regarder dans l’autre direction ou si vous voulez jouer aux bons élèves alors quelque part sur la route vous comprendrez que vous avez affaire à la justice Divine. A mesure que vous vous cultiverez vous comprendrez d’autant mieux d’où proviennent les choses et tout deviendra plus clair. C’est là qu’apparaîtront des mensonges de partout. Il vous faut connaître la vérité et la rechercher car la vérité vous libérera. “Certains doivent trouver difficile…” d’avoir fait de l’autorité leurs vérité, plutôt que de la vérité de leur autorité ”

    G. Massey, Égyptologue.

    ….car en vérité je vous le dis, je dois vous dire la vérité, Quand il s’agit de fantaisies, du plus grand concours de foutaises de tous les temps, vous devez vous incliner devant l’éternel champion de toutes les fausses promesse et déclarations exagérées : la religion Réfléchissons un instant ! La Religion a effectivement convaincu les gens qu’il existe un homme invisible vivant dans les cieux qui regarde tout ce que vous faites, chaque minute de votre vie. Et cet homme invisible a fait une liste spéciale de 10 choses qu’il vous interdit de faire. Et si jamais vous faites une de ces 10 choses, il a un endroit tout particulier rempli de flammes, de fumée, de brûlures, de torture et d’angoisse où il vous enverra vivre pour vous faire souffrir, vous brûler vous étrangler, vous faire hurler et pleurer encore et toujours jusqu’à la fin des temps. Mais il vous aime, il vous aime et il a besoin d’argent. Il a toujours besoin d’argent ! Il est le Tout-puissant, la perfection, l’Erudition et la Sagesse. Malgré ça, il ne peut pas se passer d’argent ! La religion amasse des Milliards de dollars, elle n’est pas soumise à l’impôt, mais elle en a toujours besoin un peut plus. Si c’est pas un ramassis de conneries toute cette histoire ! Nom de Dieu !

    Partie I :

    LA FABULEUSE HISTOIRE JAMAIS RACONTEE

    Voici le Soleil Des 10 000 ans avant Jésus Christ, l’histoire abonde en gravures et écrits témoignant du respect et de l’adoration des peuples pour cet objet. Et il est facile de comprendre pourquoi. Alors que chaque matin le Soleil se lève apportant la visibilité la chaleur et la sécurité tenant l’homme à l’abri du froid, de l’obscurité, des prédateurs nocturnes. Sans ça, les cultures, y compris les récoltes ne pousseraient pas et la vie sur la planète serait impossible. Ces réalités font du Soleil l’élément le plus adoré de tous les temps. De la même manière, l’homme était très sensible aux étoiles. Le repérage des étoiles lui permettait de reconnaître et d’anticiper les événements qui s’étendaient sur une longue période, telles que les éclipses et les pleines lunes. A tour de rôle il a répertorié les ensembles célestes que nous connaissons maintenant sous le nom de constellations. Voici la croix du Zodiaque un des plus anciens concepts imagés de l’Histoire de l’Humanité Il représente de manière imagée le passage du Soleil à travers les 12 constellations principales tout au long de l’années. Il représente également les 12 mois de l’année, les quatre saisons, les solstices et les équinoxes. Le terme Zodiaque englobe le fait que les constellations étaient anthropomorphiques ou personnifiées avec des formes ou des animaux. Autrement dit, les premières civilisations ne se contentaient pas de suivre le Soleil et les Astres. Elles les personnifiaient avec des Mythes complexes mettant en scène leurs mouvements et leur relation entre eux. Le Soleil, fort de ses qualités qui donnent la vie et la préserve, symbolisait la représentation du créateur invisible ou Dieu. Le Soleil de Dieu, la lumière du monde, le Sauveur de l’Humanité de plus les 12 constellations représente les lieux de passage du Soleil de Dieu. Elles sont identifiées par des noms, correspondant aux éléments naturels qui sont survenus durant cette période de temps. Par exemple, Le Verseau : ” le verseur d’eau “. celui qui apporte les pluies au printemps. Voici Horus, il est le Dieu Soleil de l’Egypte autour de l’an 3 000 avant J-C. Il est l’incarnation de la vie du Soleil racontée dans une série de Mythes allégoriques impliquant le déplacement du Soleil dans le Ciel. A partir d’anciens hiéroglyphes égyptiens, nous en avons appris beaucoup sur le Messie Solaire. Par exemple, Horus qui signifie Soleil ou la Lumière, avait un ennemi appelé Seth. Seth qui était l’incarnation des Ténèbres ou de la nuit. De manière métaphorique, chaque matin Horus gagnait le combat contre Seth. Tandis que le soir, Seth l’emportait sur Horus et l’envoyait dans les enfers. Il est important de rappeler que le combat entre l’Ombre et la Lumière, ou le bien et la mal, constitue une des dualités de la Mythologie la plus omniprésente jamais connue et elle est à ce jour toujours exprimée sous diverses formes. De façon générale, l’histoire d’Horus est la suivante : Horus est né le 25 décembre, d’une vierge Isis Mary. Sa naissance fut aussi celle d’une étoile à l’est que suivirent à leur tour 3 Rois afin de situer et décorer le Sauveur nouveau-né à l’âge de 12 ans il est un enfant prodigue de l’enseignement. A l’âge de 30 ans il est baptisé par une personnalité nommée Anap et commence enfin son règne. Horus avait 12 disciples avec qui il voyagea et réalisa des miracles tel que guérir les malades marcher sur l’eau Horus était connu sous divers noms d’expression comme “la vérité”, ” la lumière “,”le Fils ouint de Dieu”, ” le Berger “, ” l’Agneau de Dieu ” et tant d’autres, après avoir été trahi par Typhon Horus fut crucifier enterré pendant 3 jours puis ressuscité, Les caractéristiques d’Horus, qu’elles soient originelles ou pas, semblent avoir imprégné beaucoup d’autres cultures du monde car il s’avère que beaucoup d’autres Dieux possèdent la même structure mythologique dans son ensemble. Attis en phrygie, est né d’une vierge nommée Nana le 25 décembre crucifier placé une tombe puis ressuscité 3 jours après. Krishna en Inde né d’une Vierge nommé Devaki avec une étoile à l’est signalant sa venue il réalisa des miracles avec l’aide de ses disciples et fut ressuscité après sa mort. Diomysos en Grèce né d’une Vierge le 25 décembre il était un professeur-voyageur et réalisa des miracles tel que changer l’eau en vin. On y fait référence en tant que “le Roi des Rois” ” le Fils unique du père” ” l’Alpha et l’Oméga” et beaucoup d’autres, a sa mort il fut ressuscité. Mithra en Perse né d’une Vierge le 25 décembre, il avait 12 disciples et accomplissait des miracles a sa mort il fut enterré pendant 3 jours puis ressuscité, on y faisait référence dans les expressions comme “La Vérité” ” La Lumière” et d’autres encore curieusement le jour sacré où on rendait grâce à Mithra était le dimanche cela étant dit, il existe quantité de Sauveurs à différentes époques et pourtant dans le monde qui coïncident avec ces trait caractéristiques généraux, une question revient pour quoi ces caractéristiques communes ? pour quoi la Vierge est-elle née un 25 décembre ? pourquoi la mort dure-t-elle 3 jours et s’ensuit une résurrection inévitable ? inévitable ? pourquoi 12 disciples est adeptes ? pour répondre, analysons le plus récent des messies Solaires. Jésus Christ est né de la Vierge Marie un 25 décembre à Béthléem, sa naissance fut annoncée par une étoile à l’est que trois Rois étaient censés suivre afin de localiser et décorer le nouveau Sauveur, il était enfant professeur à 12 ans et à l’âge de 30 ans il fut baptisé par Jean le Baptiste ainsi commença son ministère Jésus eut 12 disciples avec qui il voyagea, il accomplit des miracles tel que guérir les malades, marcher sur l’eau et ressusciter les morts. Il était également connu sous les noms suivants : ” Le Rois des Rois ” ” le Fils de Dieu ” ” La Lumière du monde “” L’Alpha et L’Oméga ” ” L’agneau de Dieu ” etc… Après que son disciple Judas le trahisse et le vende pour 30 pièces d’argent, il fut crucifier et placé dans une tombe puis 3 jours après il fut ressuscité et fit son ascension dans les Cieux pour commencer la succession des naissances est de nature purement astrologique. L’astre se trouvant à l’est Sirius, l’étoile la plus brillante dans le ciel étoilé et qui le 24 décembre saligne avec les trois étoiles les plus brillantes de la ceinture D’Orion, ces trois étoiles brillantes dans la ceinture d’Orion portent les mêmes noms qu’elles portaient dans les temps anciens: Les trois Rois, les trois Rois et l’étoile qui brille le plus : Sirius se dirigent toutes à l’endroit du lever du Soleil le 25 décembre voilà pourquoi les trois Rois suivent cette étoile à l’est, pour localiser l’emplacement du lever du Soleil, la naissance du Soleil. La Vierge Marie représente la constellation de la Vierge, aussi connue sous le nom de Viergo la Vierge. Viergo en latin signifie Vierge, on fait également référence à Viergo quand on parle de “la maison du Pain” et la représentation de Viergo est une Vierge tenant un épi de blé cette maison du pain et le symbole du blé correspondant au mois d’Aoûte et de septembre, le temps des moissons parallèlement Bethléem peut se traduire en réalités littéralement par la “maison du pain”. Bethléem fait donc référence à la constellation de la Vierge ! une position dans le Ciel et non pas sur terre. un autre phénomène très intéressant apparaît autour du 25 décembre, c’est à dire au solstice à partir du solstice d’été jusqu’au solstice d’hiver les jours deviennent plus courts et plus froid du point de vue de l’hémisphère Nord, le Soleil opère un mouvement vers le Sud, il devient plus petit et se fait plus rare. Le raccourcissement des jours et la fin des récoltes à l’approche du solstice d’hiver. Symbolisent le processus de la mort, pour les anciens, c’était la mort du Soleil. Ainsi le 22 décembre la mort du Soleil était entièrement achevée, étant donné que le Soleil s’est déplacé continuellement pendant 6 mois , il atteint son point le plus bas dans le ciel, arrivé à ce stade une chose curieuse se produit: Le Soleil cesse de ce déplacer vers le Sud, ceci est perceptible du mois pendant 3 jours, Pendant ces trois jours de repos le Soleil reste à proximité de la croix du Sud, aussi appelée la constellation de la croix, suite à cette période de temps, le 25 décembre, le Soleil se déplace d’un degré cette fois-ci vers le Nord ce qui annonce des jours plus longs de la chaleur et le printemps, ainsi il fut écrit : le Fils mort sur la croix est mort pendant 3 jours, pour ensuite ressusciter et naître à nouveau, voilà pourquoi Jésus et nombre d’autres Dieux du Soleil ont en commun la crucifixion, la mort des 3 jours puis le concept de résurrection. Elle correspond à la période de transition du Soleil avant qu’il emprunte le chemin inverse ver l’Hémisphère Nord lorsqu’il apporte le printemps et la providence, cependant, on ne célébrait la résurrection du Soleil qu’à partir de l’équinoxe du printemps autrement dit à Pâques, ceci s’explique par le fait qu’à l’équinoxe de printemps le Soleil l’emporte officiellement sur l’obscurité malveillante et à mesure que la durée du jour devient plus importante que la nuit, les conditions favorisent la vie au printemps réapparaissent, ce qui nous amène à la symbolique astrologique visiblement la plus répandue concernant Jésus ! Les 12 disciples, ils correspondent en réalité aux 12 constellations du Zodiaque. Jésus étant le Soleil, il voyage avec elles, dans le faits, le nombre 12 revient souvent tout au long de la Bible. Revenons à la croix du Zodiaque, qui est la vie symbolisée du Soleil ., ça n’était pas qu’une simple expression artistique ou un outil visant à suivre le mouvement du Soleil, c’était un symbole spirituel païen dont la simplification ressemblait à cela: ce n’est pas un symbole du christianisme, c’est en fait une adaptation païenne de la croix du Zodiaque, c’est pourquoi dans l’art culturel ancien, Jésus est toujours représenté avec une croix , derrière la tête, car Jésus est le Soleil, le Fils de Dieu, la Lumière du monde, le Sauveur ressuscité ça revient toujours comme il le fait tous les matins avec la gloire de Dieu qui protège de l’oeuvre des Ténèbres, en renaissant tous les matins. On peut le voir à travers les nuages, dans les cieux avec sa couronne d’épines ou aussi des rayons de Soleil, parmi les nombreuses métaphores astrologiques ou astronomiques de la Bible, une des plus importantes concerne les époques, tout au long des textes sacrés, il existe une quantité considérable de références à l’époque, afin d’en saisir le sens, il faut se familiariser avec ce phénomène connu sous le nom de la précession des équinoxes. L’Egypte ancienne aussi que d’autres cultures bien plus anciennes, on remarqué que tous les 2150 ans environ, au matin de l’équinoxe de printemps, le lever du Soleil se produit sous différents signes du Zodiaque selon l’époque, cela est dû au lent mouvement angulaire que la terre maintient lors de la rotation sur son axe, on le qualifie de “précession” car les constellations vont dans le sens inverse au lieu de réaliser le cycle annuel normal, le temps nécessaire à la précession pour parcourir les 12 signes est de 25765 année environ, on l’appel aussi la “Grande Année” et les sociétés anciennes étaient très au courant de ce phénomène, Elles attribuaient à chaque période de 2150 ans une époque, de 4300 ans avant J-C se trouvait l’âge du Taureau, signe du Taureau. De l’an 250 avant J-C à l’an 1 de notre ère, c’est l’âge du Bélier, sous le signe du Bélier. Puis de l’an 1 à l’an 2150 c’est l’âge du poisson, époque dans laquelle nous sommes de nos jours, ensuite aux alentours de 2150 nous entrerons dans une nouvelle ère : l’âge du Verseau, par conséquent, la Bible reflète de façon générale le mouvement symbolique à travers 3 âges tandis qu’elle annonce leur ordre,*** dans l’ancien Testament lorsque Moïse descend du Mont Sinaï avec les 10 commandements, il est très en colère de voir son peuple en adoration devant un agneau en Or. Il à donc brisé les tablettes en pierre puis il poussa son peuple à s’entretuer afin de les purifier, beaucoup de spécialistes de la Bible attribuent cette colère au fait que les Israéliens priaient une fausse idole ou quelque chose de ce genre, en réalité, le Taureau en Or symbolisait Taurus le Taureau. Puis Moïse représente le nouvel âge du Bélier, c’est du Bélier. C’est pourquoi les Juifs encore aujourd’hui soufflent dans la corne du Bélier. Moïse représente le nouvel âge du Bélier. A l’arrivée d’un nouvel âge tous doivent oublier l’ancien âge. D’autres divinités opèrent aussi ce genre de transitions, par exemple Mithra, une divinité préchrétienne, tue le Taureau dans le même symbolique. Quand à Jésus, il est la figure qui escorte vers l’âge qui succède au Bélier: L’âge du Poisson ou les Poissons. La symbolique du Poisson est très présente dans le nouveau Testament. Jésus nourrit 5000 personnes avec du pain et deux poissons. Au commencement de son Ministère, alors qu’il parcourt la Galilée, il vient en aide à deux pêcheurs qui le suivent, nous connaissons tous cet autocollant à l’arrière de leur voiture. Peu d’entre eux connaisse sa signification véritable, c’est un symbole astrologique païen qui représente le règne du Soleil pendant l’âge du Poisson. De plus, la naissance la plus couramment acceptée correspond exactement au début de cet âge, dans Luc 22:10 quand ses disciples demandent à Jésus quand se situera la prochaine Pâques après qu’il disparaisse, Jésus répond: ” lorsque vous enterrerez dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau…” ” Suivez-le dans la maison où il entrera” ces écrits sont de loin les plus parlantes de toutes les références astrologiques. L’homme qui porte la cruche d’eau est “Le Verseau “: celui qui verse l’eau, Il est aussi représenté comme l’homme versant la cruche d’eau . Il correspond à l’âge qui se trouve après le Poisson, lors ce que le Soleil (le Fils de Dieu ) sort de l’ère du Poisson (Jésus), il rentre dans la Maison du Verseau. Tout comme le Verseau succède au Poisson dans la précession des équinoxes, Jésus vient simplement dire qu’après l’ère du Poisson viendra l’ère du Verseau. Nous avons tous entendu parler de la ” Fin des Temps ” et de la ” Fin du Monde “. Sans tenir compte de la description imagée de peinte dans le livre des Révélations , l’essence même de cette idée vient des écrits de Mathieu 28:20 ou Jésus dit : ” Je suis avec vous, tous les jours jusqu’à la fin du Monde ” Cependant dans la version du Rois Jacques: le mot ” Monde” est une erreur de traduction, parmi tant d’autres, le mot employé dans le texte original est “aeon” qui veut dire “ère”,” Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin de cette ère “, ce qui est vrai car l’incarnation Solaire de Jésus en Poisson se termine, par l’entrée du Soleil dans l’ère du Verseau. Le concept entrer de “Fin du temps” ou de ” Fin du Monde” résulte de l’interprétation erronée d’une allégorie astrologique. Allez dire cela aux 100 millions de personnes aux U.S.A qui croient à l’arrivée de la Fin du Monde, en outre, le personnage de Jésus résultant d’un mélange littéraire et astrologique est de manière plus explicite un plagiat du Dieu du Soleil égyptien Horus, par exemple, sur les murs du Temple de Louxor en Egypte on retrouve des inscriptions datant de 3500 ans, des images de l’Annonciation, de l’Immaculée Conception, de la naissance et de l’adoration d’Horus. Les images commencent par une pensée annonçant à la Vierge Isis qu’elle vas mettre au monde Horus, puis Neith, le Saint Esprit, fécondant la Vierge puis ensuite la naissance de la Vierge et l’adoration. C’est exactement l’histoire du miracle de la conception de Jésus. A vrai dire, les similitudes littéraires entre la religion égyptienne et la religion Chrétienne sont édifiantes. le plagia est continu. L’Histoire de Noé et de lArche de Noé est directement issue de cette tradition. Le concept de pluie Diluvienne est omniprésent dans l’Antiquité avec pas moins de 200 citations qui se chevauche, à différentes époques. Cependant, il ne faut pas remonter bien loin pour trouver une source préchrétienne dans l’Epopée de Gilgamesh, écrite en 2600 avant J-C. Ce récit parle d’une pluie diluvienne commandée par Dieu, d’une Arche avec des animaux à son bord et même d’un lâcher et du retour d’une colombe, tous ont des points communs avec l’Histoire Biblique parmi d’autres vraisemblances, puis il y a le plagiat de l’Histoire de Moïse. Concernant la naissance de Moïse il est écrit qu’il fut placé dans un panier en roseau et laissé à la dérive dans un fleuve afin d’échapper à l’infanticide. Il fut ensuite recueilli par une fille de la royauté puis élevé par elle comme un prince, cette histoire d’un bébé et d’un panier s’est inspirée directement du Mythe de Sargon d’Akkad, qui date d’environ de 2250 ans avant J-C. Sargon naquit et fut placé dans un panier d’osier afin d’éviter l’infanticide puis laissé à la dérive dans un fleuve. Il à ensuite été recueilli et élevé par Akki,une sage-femme de la royauté: De plus Moïse est connu comme le législateur, le donateur des Dix commandements, néanmoins, l’idée de transmission de la loi par Dieu à un prophète du haut d’une montagne constitue un thème ancien, Moïse n’est qu’un législateur parmi une longue lignée de législateurs dans l’histoire de la mythologie, En Inde, Manou était le grand législateur, en Crète, Minos gravit le Mont-Dikta où Zeus lui donne les lois sacrées. Tandis qu’en Égypte c’est Minos qui porte les tables en pierre sur les quelle sont gravées les lois de Dieu, pour ce qui est des Dix commandements, ils seraient tirés du Spell 125 dans le livre des morts égyptien, dans le livre de la Mort l’expression ” je n’ai pas volé “, devient ” Tu ne voleras pas ” je n’ai pas tué ” devient ” Tu ne tueras point “, ” Je n’ai pas raconté de mensonges ” devient ” Tu ne devras pas faire de faux témoignages ” ainsi de suite, en résumé, la religion égyptienne est probablement à la base du fondement de la théologie Judéo-Chrétienne. Baptême au-delà du Jugement dernier. Naissance de la Vierge. Résurrection. Crucifixion. Arche d’alliance. Circoncision. Sauveurs. Communion. Déluge. Pâques. Noël pâque Juif et bien d’autres encore sont attribués aux idées de l’Egypte, bien avant la chrétienté et le Judaïsme, Justin Martyr, un des premiers historiens et défenseur chrétien écrivit : ” lorsqu’il est dit que Jésus Christ notre maître a été conçu sans union sexuelle,” ” a été crucifié, mort et ressuscité à nouveau puis qu’il est monté au Ciel,” ” nous n’avançons rien de différent de nos croyances concernant les fils de Jupiter ( le Dieu ) ” dans un autre écrit, Justin Martyr dit : ” Il est né d’une Vierge, acceptez ce point en commun avec vos croyances en ( le Dieu ) Perseus ” Il est évident que Justin et d’autre précurseurs chrétiens savaient à quel point le christianisme et les religions païennes se ressemblent : Mais Justin trouva une solution. Selon lui, c’est le Diable qui est responsable, le Diable avait prévu de venir devant le Christ pour influencer le monde païen. Des intégriste chrétiens, fascinant ! ces gens là croient réellement que la Terre est âgée de 12 000 ans. Je le jure devant Dieu ! j’ai alors posé la question à un d’entre eux, et les fossiles de Dinosaures ! Il à répondu : ” Des fossiles de Dinosaures ? c’est Dieu qui les as inventés pour tester notre foi,” Et moi je crois que Dieu qui t’a mis ici pour tester ma foi,” C’est par où l’Arche ? ” La Bible n’est rien de plus qu’un hybride littéraire astrologique ainsi que tous les autres mythes religieux avant elle, en fait, cette transmission d’une caractéristique d’un personnage à un autre est présente dans le livre en lui même. Dans l’Ancien Testament est racontée l’histoire de Joseph, Joseph n’était que le prototype de Jésus, Joseph est né d’une naissance miraculeuse, Jésus est né d’une naissance miraculeuse, Joseph avait 12 frères, Jésus avait 12 disciples, Joseph fut vendu pour 20 pièces d’argent, Jésus fut vendu pour 30 pièces d’argent, frère Juda suggère de vendre Joseph, disciple Juda suggère de vendre Jésus, Joseph commença son oeuvre à l’âge de 30, Jésus commença son oeuvre à l’âge de 30, les coïncidences se poursuivent encore, en plus de cela, y-a t-il déjà eu une seule preuve non, biblique de quelqu’un vivant sous le nom de Jésus, le fils de Marie voyageant avec 12 adeptes, guérissant la population, ou autres ? Il y avait une grande quantité d’historiens qui vivaient sur et autour de la Méditerranée soit pendant, soit vite après l’existence supposée de Jésus, combien parmi eux relatent l’existence de ce personnage ? Pas un seul, pourtant pour être juste, ça ne veut pas dire que les défenseurs du Jésus historique n’ont pas prétendu le contraire, il existe 4 historiens aux quels on fait référence pour justifier de l’existence de Jésus, Pline le jeune, Suetonius et Tacitus sont les 3 premiers, chacune de leurs inscriptions se limite ou mieux à quelques mots, elle font uniquement référence à Christus ou au Christ qui en réalité n’est pas un nom mais un titre cela signifie ” l’oint de Dieu “. La quatrième source est Josephus, et il a été prouvé pendant des siècles quelle était fausse malheureusement elle est toujours considérée comme la vérité, ne pensez-vous pas qu’un type ressuscité d’entre les morts puis monté au Ciel devant les yeux de tous et qui aurait fait une foule de miracles qu’il revendique, n’aurait pas marqué davantage la mémoire historique ? Ce ne fut pas le cas, car une fois qu’on pèse le pour et la contre il y a très peu de chance pour que Jésus ait réellement existé. ” La religion chrétienne n’est qu’une parodie du culte du Soleil ” ” dans laquelle on a mis le nom du christ à la place du Soleil ” ” et à qui on a voué un culte originellement voué au Soleil ! Thomas Pline 1737-1809 Nous ne cherchons pas à être méchant, mais il faut s’en tenir aux faits. Nous ne souhaitons pas heurter les sentiments de certains mais nous voulons rester académiquement corrects dans ce que nous comprenons et tenons pour vrai. Le christianisme n’est tout bonnement pas basé sur la vérité, nous trouvons que la chrétienté est en fait rien de plus qu’une histoire romancée développée politiquement la réalité c’est que Jésus était la divinité du Soleil de la secte gnostique du christianisme et comme tous les Dieux païens il était un personnage de la mythologie. C’est la classe politique de l’époque qui vit un intérêt d’utiliser l’histoire du personnage de Jésus pour contrôler la société, en l’an 325 après J-C à Rome, l’Empereur Constantin réunit le concile de Nicée. C’est au cours de ce rassemblement que les doctrines politiques du christianisme furent établies, et ainsi commença la longue histoire spirituelle. Et pendant les 1600 prochaine années, le Vatican maintint son emprise politique sur toute l’Europe, nous conduisant vers des époques aussi joyeuses que l’âge des Ténèbres ou vers des événements rayonnant comme les croisades et l’Inquisition. Le christianisme ainsi que d’autres systèmes de croyances théologiques sont des impostures de l’histoire. Elles visent à couper les espèces du monde naturel et diviser les hommes entre eux. Elle soustrait la soumission aveugle à l’autorité, elle réduit la responsabilité de l’homme au fait que Dieu contrôle tout et qu’en échange, d’atroces crime sont justifiés au nom de projets divins, plus important à ceux qui connaissent la vérité et utilisent le mythe afin de manipuler et contrôler les Sociétés, le Mythe religieux est un des dispositifs les plus puissants jamais créés et sert de terrain psychologique sur lequel d’autres mythe peuvent s’enraciner, le Mythe, c’est une idée communément acceptée mais fausse. De manière plus approfondie et au sens religieux, un mythe se sert d’une histoire qui oriente et catalyse le peuple. L’intérêt n’est pas tant dans la relation entre l’histoire et la réalité mais sur sa fonction, une histoire ne peut fonctionner qu’a condition que la communauté ou la nation croient en cette vérité. Il ne s’agit pas de juger si c’est mal que les gens questionnent la vérité ou l’histoire sacrée, car les gardiens de la foi n’entrent pas dans ce débat avec eux, Ils les ignorent, ou les traitent de blasphémateurs selon vous c’est mal blasphématoire et c’est un péché que de conseiller, de s’impliquer ou d’aider la population et de conclure que c’est le gouvernement des U.S.A qui à tué 3000 de ses citoyens.

    Horus

    Horus est l’appellation grecque d’une des plus anciennes divinités égyptiennes, le dieu faucon hr, dont le nom signifie probablement Celui qui est au-dessus ou Celui qui est lointain. Le culte d’Horus remonte sans doute à la préhistoire, car la liste royale du papyrus de Turin qualifie de Suivants d’Horus les rois légendaires qui gouvernèrent l’Égypte après le règne des dieux. Aux débuts de l’époque historique, le faucon sacré est figuré sur la palette du roi Narmer et dès lors il sera constamment associé à la monarchie pharaonique.

    Le 22 juin 1633, au couvent dominicain de Santa-Maria, la sentence est rendue : Galilée est condamné à la prison à vie (peine immédiatement commuée en résidence à vie par Urbain VIII) et l’ouvrage est interdit. Il prononce également la formule d’abjuration que le Saint-office avait préparée :

    « Moi, Galiléo, fils de feu Vincenzio Galilei de Florence, âgé de soixante dix ans, ici traduit pour y être jugé, agenouillé devant les très éminents et révérés cardinaux inquisiteurs généraux contre toute hérésie dans la chrétienté, ayant devant les yeux et touchant de ma main les Saints Évangiles, jure que j’ai toujours tenu pour vrai, et tiens encore pour vrai, et avec l’aide de Dieu tiendrai pour vrai dans le futur, tout ce que la Sainte Église Catholique et Apostolique affirme, présente et enseigne. Cependant, alors que j’avais été condamné par injonction du Saint Office d’abandonner complètement la croyance fausse que le Soleil est au centre du monde et ne se déplace pas, et que la Terre n’est pas au centre du monde et se déplace, et de ne pas défendre ni enseigner cette doctrine erronée de quelque manière que ce soit, par oral ou par écrit; et après avoir été averti que cette doctrine n’est pas conforme à ce que disent les Saintes Écritures, j’ai écrit et publié un livre dans lequel je traite de cette doctrine condamnée et la présente par des arguments très pressants, sans la réfuter en aucune manière; ce pour quoi j’ai été tenu pour hautement suspect d’hérésie, pour avoir professé et cru que le Soleil est le centre du monde, et est sans mouvement, et que la terre n’est pas le centre, et se meut. Galilée n’aurait jamais prononcé le fameux « Et pourtant elle tourne » (Eppur si muove)

  • Lagadu , 5 décembre 2013 @ 0 h 02 min

    Cet article est très mauvais et son auteur mélange tout et n’importe quoi sur un ton très intellectuel de gauche qui ne masque pas la faiblesse de l’argumentation. Cela n’a nullement nourri mon intellect. “Aimegeaille” lui a mit une sacrée correction.

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