L’idéologie transgenre qui émane de la théorie queer d’indifférenciation des sexes et des genres pousse-t-elle les personnes atteintes de dysphorie de genre vers des remèdes irréversibles et dangereux ? Diagnostics trop rapides, bloqueurs de puberté, prescription d’hormones très tôt, chirurgies de transition souvent lourdes de conséquences… Des détransitionneurs, des médecins, des sociologues s’inquiètent et alertent déjà sur des remèdes médicaux à hauts risques, appliqués souvent sous le poids émotionnel des patients et sous la chape idéologique de mouvements politiques. C’est l’objet du livre de Pauline Quillon, journaliste et auteur de “Enquête sur la dysphorie de genre: bien comprendre pour aider les enfants” :