Ce n’est pas un scoop et le constat n’est pas nouveau : la gauche, toute la gauche, est en panne d’idées. Depuis longtemps déjà, elle ne comprend plus rien, mais surtout elle ne comprend plus un peuple qui lui échappe. Complètement larguée, elle s’entête dans la recherche impossible, entre autres, d’une mixité universelle et d’une vie sociale idéalisée. Captive de l’idéologie du déni permanent des réalités, elle croit encore pouvoir créer un peuple à son image et pour cela, elle n’hésite pas à développer sans cesse des lois imbéciles qui semblent plutôt – et seulement – bien adaptées pour des bobos parisiens. Ces lois sont le plus souvent inspirées par des pseudos intellectuels “progressistes” pétris d’images pieuses d’un peuple fantasmé et qui, dans leurs cervelles embuées de shit, élaborent des expérimentations sociétales inconséquentes.
Totalement éloignés des préoccupations populaires, pleins de tabous et d’interdits (mais pas pour les futilités), ces intellos se défendent d’aborder (en sont-ils capables ?) les sujets brûlants qui préoccupent les Français, comme, par exemple, l’immigration ou la souveraineté du peuple et de la nation. Tout rapport ou débat – même très sérieux fait par des gens raisonnables – sur ces thèmes, est décrié et rangé aussitôt dans la catégorie : fascisme et révisionnisme, ou encore plus bêtement, dans la catégorie : racisme et xénophobie. De quoi clouer le bec de tout velléitaire un peu timide pour le forcer à rentrer dans le rang, car il sait qu’il risque, non seulement l’opprobre de la caste bien pensante, mais qu’il risque aussi de se retrouver devant un tribunal, et pour seulement une virgule mal placée…
“Le peuple sera-t-il obligé, pour en finir, de mener la gauche à la guillotine ?”
Cette pensée judiciarisée et institutionnalisée devient pesante, malsaine et mortifère, notablement pour tout le monde, mais aussi pour la gauche elle-même, qui pratique l’autocensure et qui se fige obligatoirement dans un discours restreint et lénifiant. En a-t-elle conscience ? Quelques soubresauts, ici et là, pourraient indiquer une tentative de reprise en main idéologique, mais la tête est malheureusement bien atteinte et les métastases sont trop nombreuses. Il n’y a plus beaucoup d’espoir : la gauche, toute la gauche, est en phase terminale et ses idéologues gauchistes, inguérissables, sont malades du syndrome de la bêtise.
L’espoir est ailleurs. Il est dans le bon sens populaire, dans la démocratie retrouvée, dans la vraie vie. Est-il à droite d’une certaine droite ? En tout cas, il est clair, que sondages après sondages, élections après élections, les Français plébiscitent, de plus en plus, les idées souverainistes et traditionnellement de droite. En particulier, le Front National de Marine Le Pen, qui a déjà gagné la bataille des idées. Mais le FN est-il de droite ? Vaste débat qui est loin d’être clos, car chacun a son idée, quelquefois contradictoire. Certains n’hésitent pas à qualifier ce parti d’extrême gauche : c’est assez osé ! Et s’il n’était, ni de droite, ni de gauche ? Mais simplement… Français.
La conjugaison de la montée des idées souverainistes et de la montée électorale du FN contribue à enfoncer un peu plus la gauche dans un trou qu’elle a creusé elle-même, et où elle va, à coup sûr, disparaître. Sa mort est programmée. Pendant combien de temps va-t-elle encore survivre ? Combien de temps, encore, va-t-elle nous faire subir ses aberrantes “réformes” ? Jusqu’à quand pourrons-nous résister ?
Le peuple sera-t-il obligé, pour en finir, de mener la gauche à la guillotine ?
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