Au moins une fois dans sa vie, qui n’a pas été confronté à l’arrogance, à l’incivilité ou à la brutalité de ces “chances pour la France” qui polluent notre environnement ? Peut-être ceux qui les nomment ainsi parce qu’ils n’ont toujours pas compris l’exigence assimilatrice du véritable “vivre ensemble” et qui confondent compassion et compassionnel en croyant que les droits de l’arrivant sont supérieurs à ceux des autochtones. Quant aux devoirs qui doivent accompagner les droits, il y a bien longtemps qu’ils ne s’en soucient plus. Sauf pour les Français de souche, dont ils exigent la repentance permanente. Car, c’est bien connu, la France est une nation composée d’anciens esclavagistes et de vulgaires salopards, qui n’ont jamais apporté un minimum de confort, de réconfort ou le moindre progrès, technique ou politique, aux populations colonisées. C’est probablement pour cela que ses anciens “esclaves” viennent en multitude se ressourcer dans la patrie qui les a exploité, au lieu de rester dans leur pays d’origine, afin de contribuer à sa croissance et son développement. L’indépendance y serait-elle devenue invivable ? Ou bien, serait-il plus profitable de venir encaisser des avantages sociaux, payés, comme une redevance, par les anciens “colonisateurs” ?
Que quelques “chances pour la France” soient devenues des valeurs ajoutées en intégrant nos us et coutumes, c’est encore heureux ! Mais cela ne peut faire oublier la masse méprisante qui refuse obstinément la moindre assimilation à nos mœurs et qui se comportent, au mieux, comme des opposants farouches à notre culturelle et à nos valeurs, au pire, comme de véritables combattants de l’intérieur. Pour imposer leur vision rétrograde et archaïque d’une société soumise à l’Islam. Car c’est bien cela le problème : l’Islam ! Sinon, aucune vague migratoire, jusqu’alors de culture chrétienne, n’avait jamais posé le moindre souci d’intégration à la Nation française. Ce n’est plus le cas aujourd’hui avec une immigration essentiellement d’obédience musulmane. Certes, en s’implantant définitivement sur le territoire, le nombre y est, aussi, pour quelque chose, mais il n’explique pas tout. Sauf qu’il donne une force d’appoint favorable à l’indiscipline des plus revendicatifs et des plus arrogants. Et ils ne se gênent pas !
65 % des Français pensent qu’il y a trop d’étrangers en France et 61 % pensent que les immigrés ne font aucun effort pour s’intégrer (Sondage Ipsos. Juin 2017)… Que répond notre nouveau gouvernement à cela ? Qu’il envisage d’accueillir une part plus importante de migrants et qu’il les répartira sur tout le territoire français… Notre pays ne supporte plus la submersion migratoire, massive et incontrôlée, qu’on lui impose, mais il préfère ne pas en tenir compte ! Pourtant, nous n’avons plus rien à offrir à personne : le chômage, le logement, les aides sociales, tous les voyants sont au rouge et ça ne va pas s’arranger. L’excuse d’une démographie exponentielle, pour maintenir la natalité et l’économie, ne justifie pas que l’on fasse entrer 200 000 immigrés (sans compter les clandestins) par an. Une économie peut parfaitement s’adapter à une population stable et rester performante : on ferait bien de réviser notre logiciel économiste si l’on ne veut pas créer un choc migratoire dont notre pays ne se remettra jamais. En attendant, il serait urgent de rééduquer nos “chances pour la France” en leur rappelant fermement, en toutes circonstances, leurs devoirs. Et s’il le faut, en forçant les plus récalcitrants à retourner dans leur pays d’origine. Qu’ils n’auraient jamais dû déserter.
Claude Picard
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