Manuel Valls : tremblote ou Parkinson ?

44 Comments

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  Pierre , 14 mars 2015 @ 16 h 48 min

  Personnalité paranoïaque :

  CONDUITE À TENIR

  Les paranoïaques ne sont pas demandeurs de soin sur le plan psychique et si par hasard, c’était le cas, ce ne serait pas une indiction à cause des mécanismes projectifs viendraient l’entraver. Le psychiatre rencontre généralement les paranoïaques à l’occasion de soins somatiques, ou de délires graves qui nécessitent une hospitalisation, ou dans la circonstance d’une expertise après un crime.

  lors de la consultation, il faut se montrer très circonspect afin de ne pas donner prise aux interprétations (ce qui est parfois impossible). Les propos tenus devant le paranoïaque doivent être très explicites et exempts de plaisanteries ou de double sens. Il est utile de se prémunir en utilisant tous les garanties légales et institutionnelles possibles : respect scrupuleux des procédures, des règles de sécurité. Il peut être utile se faire accompagner d’un autre soignant.

  Dans les formes délirantes dangereuses, il est parfois utile d’avoir recours à la police et à l’autorité judiciaire. C’est à cette rare occasion que les paranoïaques sont hospitalisés en psychiatrie soit en HDT soit en HO. Un traitement neuroleptique permet d’apaiser momentanément le caractère agressif et de diminuer le délire. Le paranoïaque estime généralement que son hospitalisation est abusive. Durant celle-ci, il essaye d’alerter l’opinion ou les autorités et, après, il tentera de mettre en route une procédure vengeresse.

  Bibliographie

  AULAGNIER P, La violence de l’interprétation, Paris, PUF, 1975

  EY H., « Les psychoses délirantes chroniques », Manuel de psychiatrie, Paris, Masson, 1974.

  GENIL-PERRIN V, Les paranoïaques, Maloine, Paris, 1926

  LACAN J, « Structures des psychoses paranoïaques », La semaine des hôpitaux de Paris, n°14, juillet 1931, p.437-445

  LACAN J, De la psychose paranoïaque dans ses rapports avec la personnalité, Le seuil, Paris, 1932

  MONTASSUT, La constitution paranoïaque, Thèse, Paris, 1925.

  MIJOLLA-MELLOR S., La paranoïa, Paris, PUF, 2007
  PIRALIAN H, Un enfant malade de la mort, Lecture de Mishima, Relecture de la paranoïa, 2004
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  Psyché , 14 mars 2015 @ 17 h 47 min

  Le paranoäque a-t-il cette expression du visage ?

  http://www.999spiritus.org/2015/03/13/manuel-valls-un-concentre-demotions/
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  Psyché , 14 mars 2015 @ 20 h 35 min

  Manuel et le syndrome de la Valls folle, si nous écartons la théorie de la tremblante du mouton c’est que nous craignons que l’évocation de cette maladie ne donne des idées malsaines aux islamo-fascistes qui seraient tentés d’anticiper la date de la fête de cet ovin.
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  Pierre , 14 mars 2015 @ 20 h 38 min

  Bravo Psyché ! C’est tout à fait cela, car à l’évidence, la gentille personne figurant sur ces photographies manifeste, comme nous pouvons le voir, la sérénité, l’équilibre, le sens du dialogue, l’humour, la gaieté, la tolérance, et encore bien d’autres qualités humaines.
  À l’évidence, cela doit être un vrai bonheur de le côtoyer…
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  Pierre , 14 mars 2015 @ 20 h 46 min

  Croyez-vous qu’il ait à les craindre ?
  Entre gens de bonne compagnie, tous aussi intéressés les uns comme les autres à l’extension du culte mahometan, ils devraient parfaitement s’entendre…
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  Psyché , 14 mars 2015 @ 21 h 06 min

  Il ne ferait que revenir à ses anciennes amours lorsqu’il faisait dans le pro-palestinien à la Mairie de d’Evry !
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  Sirius , 15 mars 2015 @ 1 h 12 min

  Le verbe guerrier,les yeux qui lancent des éclairs,le tremblement,le manque de retenue font que Manuel Valls possède ce que toute la gauche dénonce complaisamment chez les autres: la haine.

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