Manuel Valls : tremblote ou Parkinson ?

Quand il parle du Front national ou s’adresse à Marion Maréchal-Le Pen dans l’hémicycle comme ce mardi dernier, Manuel Valls a des tremblements extrêmes et incontrôlés au niveau de la main gauche :

Vous ne trouvez pas que la main gauche de Manuel Valls ressemble de plus en plus à celle d’Adolf Hitler, à la fin de sa vie, dans le bunker :

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44 Comments

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  • Trahi , 13 mars 2015 @ 14 h 03 min

    Épilepsie myoclonique juvénile! Etat actuel du gouvernement, à la limite du malaise!!!!!

  • tournesol , 13 mars 2015 @ 16 h 29 min

    Sa main gauche, bien entendu pas la droite, est un prolongement du cerveau. qui commence à se lézarder.
    A le voir et l’entendre vociférer, on croirait , s’il mettait des moustaches , quelqu’un des années 4 0 dont , je ne me souviens pas du nom.

  • zézé , 13 mars 2015 @ 17 h 58 min

    Pourquoi croyez-vous, que pour les futures “départementales” les conseillers ne savent toujours pas quelles fonctions ils occuperont ? si le FN est majoritaire le gouvernement leur donnera peu de directives…ils seront coincés ! tout est bouclé d’avance ! et les fumeux binômes un à droite, l’autre à gauche ou FN ? comment vont-ils gérés tout cela ? l’un fera un pont et l’autre une route et rien ne sera fait : cela s’appelle ANARCHIE ! les impôts doubleront voilà la future FRANCE !!!!! avec le gazolito en dictateur, il les mettra à sa botte !! les deux prochaines années vont être horribles !

  • Maurice , 13 mars 2015 @ 18 h 42 min

    Comme exorcise, je propose de le mettre entre les mains de Frédérique Mitterrand, il a dit qu’il rêvait de sodomiser Valls !

    Il utilisera son goupillon pour l’exorciser.

  • Psyché , 13 mars 2015 @ 21 h 08 min

    Cet homme colle bien aux idées de Georges Soros qui dit que les pays européens doivent devenir comme l’Ukraine où il est nterdit au peuple de critiquer ou d’émettre un avis contraire à la politique menée par le gouvernement.

    http://metatv.org/soros-leurope-doit-devenir-comme-lukraine

  • Psyché , 14 mars 2015 @ 12 h 32 min

    Pour revenir au sujet, il me semble que la tremblante de Manouel n’est pas le fruit une maladie (type Parkinson, Scyzophrénie …), elle n’est pas non plus le fruit d’une influence sociale (de type familial juive …), il s’agit en fait d’un envoûtement par une puissance surnaturelle (de type vaudou ou autre …).
    Cet homme devrait faire l’objet d’un exorcisme.

  • Pierre , 14 mars 2015 @ 16 h 44 min

    Petits rappels sur:
    ” la personnalité paranoïaque”…

    ( Effectivement, dans le cas d’une paranoïa aigüe, et d’une grande agitation, le cerveau se “Lézarde”:
    es comportements primitifs du cerveau “reptilien” prennent alors le dessus! …)

    Personnalité paranoïaque:

    (Patrick Juignet, Psychisme, 2011.)

    Il s’agit d’une forme de personnalité entrant dans la sphère psychotique.

    Cette forme se caractérise par l’importance de l’agressivité et des tendances projectives
    .
    Elle a été individualisée par Kraepelin (1899), puis précisé par les français Genil Perrin (1926) et Lacan (1932).
    2% à 3% de la population est concernée par cette forme d’organisation psychique dans laquelle dominent les traits caractériels, toujours très préjudiciables pour l’entourage
    .
    PLAN
    1. CLINIQUE
    L’enfance
    Le caractère
    Les conduites et relations
    Rationalisme et délire
    L’évolution

    2. THÉORISATION
    Le problème central
    Le trouble narcissique
    La projection domine

    3. FORMES CLINIQUES ANNEXES
    La forme sensitive
    Les réactions de type paranoïaques

    4. CONDUITE À TENIR

    1. CLINIQUE

    L’enfance

    Les problèmes débutent vers trois ou quatre ans par des difficultés de communication. On constate une timidité avec les adultes et les autres enfants.
    L’enfant fuit le contact par le renfermement ou l’instabilité. Les angoisses de séparation d’avec la mère s’inscrivent dans une relation ambivalente et parfois haineuse. Le père est peu présent et l’enfant essaye de l’éviter.
    Il peut y avoir une anxiété importante et non maîtrisable qui se manifeste dans des terreurs nocturnes des craintes diverses.
    On retrouve des attitudes éducatives inadaptées et malveillantes.

    Plus tard, vers l’âge scolaire apparaissent des symptômes d’allure phobique qui sont en fait des peurs liées à des mécanismes archaïques.
    Il n’y a aucun déficit intellectuel et les résultats scolaires ne sont pas perturbés.
    L’agressivité et la jalousie sont fortement présentes dès cet âge et se manifestent vis-à-vis de la fratrie ou des camarades.
    Ces enfants sont insatisfaits de leurs notes à l’école, de l’attitude des parents et des éducateurs, qu’ils estiment injustes à leur égard.
    Des faits insignifiants sont grossis et montés en épingle.

    À l’adolescence, la rigidité commence à se manifester.
    Ce sont des jeunes se conformant à des règlements sévères, n’admettant pas la contradiction.
    Autoritaire et tyranniques vis-à-vis de leurs camarades, ils professent des opinions tranchées et irréfutables, adoptent des causes politiques avec fanatisme. La tendance au repli augmente.
    Les relations avec les autres et surtout l’autre sexe sont difficiles et conflictuelles.
    Ces jeunes font preuve d’un moralisme outrancier.
    Ils se réfugient derrière des croyances religieuses, des principes rigides.

    Le style du paranoïaque ne se manifeste qu’à l’âge adulte et il devient alors assez facilement repérable, car les traits cliniques sont marqués.

    Le caractère

    Le sujet est susceptible, il a un caractère dur, autoritaire, et parfois il délire.

    Certains traits sont caractéristiques : orgueil, méfiance, susceptibilité, rigidité, irréalisme et fausseté de jugement.
    Le paranoïaque est orgueilleux et parfois méprisant pour les autres, car il se considère comme supérieur.
    L’agressivité est importante, exprimée indirectement par une pointe de mépris, ou directement sous forme de propos désagréables, d’injures.
    La méfiance et la suspicion sont systématiques.
    Le sujet s’attend à ce que les autres lui nuisent ou l’exploitent et craint toujours une attaque de leur part.
    Il met en doute l’honnêteté et la loyauté de ses proches, il est presque toujours jaloux.
    Le paranoïaque se sent facilement dédaigné, il craint qu’on lui manque de respect et parfois l’imagine quand ce n’est pas le cas. Susceptible, il tolère mal les remarques et critiques.
    Un désaccord, un jugement défavorable d’autrui, déclenchent colère et rancune.
    Le prestige et les titres sociaux, les filiations illustres, réelles ou fictives, tentent de compenser cette fragilité.
    Le paranoïaque est rigide et sans autocritique.
    Dur avec lui-même et avec les autres, il a des opinions inébranlables.
    Le terme journalistique de « pensée unique », convient bien pour désigner sa manière de penser : c’est la seule à pouvoir exister et tout le monde doit y adhérer.
    À aucun moment le sujet ne peut prendre une distance critique par rapport à lui.
    Pour le paranoïaque, le monde est d’évidence et immédiatement comme il le pense.

    Les conduites et relations

    Le paranoïaque donne des significations à des comportements qui n’en ont pas, il met en doute les autres et s’idéalise, avec une fausseté de jugement caractéristique.
    Il s’ensuit des attitudes inadaptées à la situation qui suscitent des conflits perpétuels.
    Malgré un premier abord distant, une tension dans la relation apparaît vite.
    L’activité de l’individu est normale et parfois importante.
    Il peut même avoir une réussite sociale spectaculaire car l’adaptation du paranoïaque est souvent excellente.
    Elle disparaît seulement s’il est envahit par des préoccupations délirantes.
    Dans les relations usuelles hiérarchisées, il est dur envers les inférieurs, respectueux et obséquieux envers les supérieurs, et en rivalité agressive avec ses pairs.
    Il cherche à dominer et à grimper dans la hiérarchie.
    Le sujet peut nuire gravement et sans remords à ceux qu’il considère comme ses rivaux ou ses ennemis (par des calomnies, des vengeances préméditées).

    Comme référent d’objet sexualisé, l’autre est vu sous des jours très variables.
    Il est perçu comme étant tantôt très bon et idéal, tantôt entièrement mauvais. Il est fait peu de cas de ses caractéristiques propres.
    Il y a aussi une volonté d’omnipotence qui consiste à contrôler, manipuler, utiliser, le référent objectal.
    La relation est grevée par la jalousie.

    Rationalisme et délire

    Le rationalisme est constant alimenté par des interprétations.
    Il se met en place un dogme argumenté par une avalanche d’arguments et un raisonnement assertif entièrement mis au service du postulat de départ.
    Les thèmes sont idéologiques, politiques et sociaux (revendication sociale, racisme, peine de mort) ou concernent l’entourage (voisinage, conjoint).
    Ces tendances rationnalisantes sont durables.
    Les faits sont interprétés, les propos se tordent, pour donner une démonstration convaincante.

    Parfois le rationalisme se transforme en un délire car le dogme devient constant et inébranlable.
    Ces délires peuvent s’apaiser et reprendre spontanément, ou se chroniciser.
    Ils surviennent à un âge moyen, vers 35 à 40 ans.
    Le délire est un délire en secteur, systématisé, vraisemblable et convaincant.
    Il s’alimente d’interprétations (tel fait, telle parole, prennent un sens évident pour le paranoïaque), et d’intuitions (sentiment idée immédiate venant confirmer le délire).

    Le délirant accumule les faits et les preuves, rumine sans cesse et nourrit des sentiments de haine contre les spoliateurs.
    Il échafaude des plans pour les confondre, se venger.
    Les passages à l’acte liés au délire peuvent prendre des formes diverses : procédure, agression jusqu’au meurtre, séparation d’avec le conjoint.
    Le passage à l’acte est l’application des idées délirantes et fait suite au sentiment d’une hostilité grandissante du monde, en particulier des persécuteurs.

    ¤ Les délires de revendication concernent les voisins, la famille, les entrepreneurs, les médecins, les employeurs.
    Ce délire peut prendre la forme d’une sinistrose. Après un accident, le paranoïaque réclame des indemnités, une pension d’invalidité ou une rente. Il harcèle la sécurité sociale, les experts, le responsable de l’accident, les avocats, les médecins.

    Dans le délire de persécution le malade est persuadé qu’un complot est dirigé contre lui.

    Toute parole ou acte extérieur est interprété en fonction de ce délire qui peut le mener à des actes violents.

    ¤ Le délire de jalousie concerne le conjoint ou une simple connaissance. Chaque regard, parole, ou retard, est interprété comme la preuve de l’infidélité. C’est souvent le conjoint désespéré qui vient consulter. Le délire érotomaniaque atteint généralement une femme qui se croit aimée par un tiers (souvent d’un rang social élevé). Le point de départ peut être un regard, une parole, etc… Ensuite le délire s’organise et la patiente construit une histoire dans laquelle elle est courtisée.

    ¤ D’autres délires organisés auront pour thème la politique, la religion, la justice.

    Les extrémismes politiques recrutent volontiers chez les paranoïaques.
    Pour des détails sur ces délires, voir le § “délires systématisés” dans l’article sur les décompensations chez les psychotiques.

    L’évolution

    L’âge mûr apporte peu de changement pour le paranoïaque. Les traits de caractère s’accentuent, se rigidifient et se figent. La tendance délirante reste la même.
    Dans la vieillesse, la baisse des facultés intellectuelles donne libre cours au délire en même temps qu’elle le rend moins convaincant et moins élaboré.

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