Dans la peau… du maire de Montfermeil

Nouvelles de France a rencontré Xavier Lemoine, le maire d’une ville moyenne de Seine-Saint-Denis, Montfermeil. Zoom sur le quotidien d’un édile atypique qui force l’admiration…

Maire, une grosse charge de travail :

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“Le rythme de travail, c’est des journées qui commencent à 8h30-9h et qui finissent régulièrement sous le coup de 11h-minuit. En gros, j’ai 3 repas par semaine à la maison”.

Cela n’empêche pas M. le maire de conserver son humour, comme en pleine réunion de présentation d’une conférence de presse sur Grand Paris Express :

Xavier Lemoine pense être un maire à l’écoute :

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“Les Montfermeillois savent qu’ils peuvent me confier… tout.”

Ses prises de position nationales ont-elle un impact sur ses relations avec les Montfermeillois ?

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“Les Montfermeillois qui m’entendent prendre des positions sur le plan national savent d’expérience que c’est tiré de la réalité montfermeilloise.”

Xavier Lemoine nous parle de la difficulté de se faire entendre et comprendre par des dirigeants déconnectés des réalités :

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“Je peux très bien comprendre que dès lors qu’on n’est pas au cœur de l’événement, on puisse l’ignorer.”

Un maire, ça signe énormément :

Un maire, ça doit prendre des décisions… parfois difficiles :

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“J’ai 27 millions d’euros de budget de fonctionnement pour 27 000 habitants. Si je devais être dans la moyenne de la richesse des villes du département, je devrais avoir 37 millions d’euros (…) Et donc, c’est sans cesse des arbitrages à rendre.”

Jean-Michel Legrand, le directeur de cabinet de Xavier Lemoine, confirme :

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“A un moment donné, il faut un chef d’orchestre.”

Il est temps pour nous de quitter Xavier Lemoine qui se rend en moto à une réunion consacrée à l’habitat social sur Montfermeil :