L’amour entre hommes et femmes durant 1914-1918

Le détournement de notre mémoire collective se poursuit. En ce moment, notre société, littéralement obsédée par les femmes, tente de travestir l’histoire de la guerre de 1914-1918. A travers les commémorations de cet événement, il faudrait « réhabiliter la place des femmes ». Qu’importe les vérités historiques, nos journalistes féminisés, notre élite universitaire de sciences humaines corrompue veulent nous faire voir l’histoire à travers leur regard d’idéologues médiocres. Toute cette semaine d’anniversaire, la « fabrique de l’histoire », l’émission phare sur l’histoire de France Culture, qui n’aura jamais aussi bien porté son nom, consacre l’ensemble de ses sujets aux « femmes dans la Grande guerre ». Ces journalistes persuadés qu’on ne parle pas assez des femmes dans notre société ont décidé de réagir par la provocation : ne parler que des femmes. Narcissiques de haute volée, ils ne voient même pas que toutes les autres émissions, sur tous les autres canaux médiatiques abordent eux aussi cette question sous cet angle, depuis des années. Ils déplorent le manque de visibilité des femmes au moment même où ils consacrent leur domination exclusive, même en matière de guerre. Le dernier bastion doit tomber !

Et effectivement, en matière de réussite martiale, il va bientôt leur être très difficile de trouver un dernier bastion qui ne soit pas entièrement sous domination de leur idéologie. Au début, on nous avait vendu que, selon le terme de Françoise Giroux, « la femme serait vraiment l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente. »Les exemples de femmes incompétentes se multipliant, les mauvaises langues disant même qu’on cherche encore celles qui ne le seraient pas, nos apprentis sorciers ne désirent plus l’égalité. Ils veulent imposer la parité sauf dans les secteurs nombreux où les femmes sont très majoritaires… La solution finale passera désormais par une féminisation totale car la persistance du moindre secteur masculinisé serait le dernier obstacle à notre accomplissement. Sans cesse, ces fanatiques repoussent l’arrivée de la félicité nationale à l’avènement des femmes partout et toujours. Seulement la féminisation des secteurs salariés suit exactement une courbe inverse à la réussite de notre société (1). Et dans ce jeu de dupe, la croissance économique semble devoir s’effondrer en dernier, ce qui maintient les illusions de ceux qui veulent y croire de manière réfléchie. En attendant, le cri sourd des pauvres est étouffé par la plainte féministe. Car la volonté de détruire les représentations sexuées, non seulement empêche tout débat de fond perspicace sur les désirs réels des êtres humains de nos sociétés (vivre en couple de manière différenciée et donc harmonieuse), mais cette destruction favorise aussi la misère économique et morale. Il n’y a qu’à voir les conséquences que les séparations ont eu sur le psychisme des enfants. Ou bien la paupérisation des personnes isolées. Tout cela et bien d’autres malheurs sont cachés par l’idéologie féministe car ces conséquences de la libération sexuelle rentrent bien mal dans le cadre de la « domination hétéro-patriarcale ». A la rigueur, seules la misère des familles mono-parentales peut encore émouvoir un tant soi peu ces femmes savantes. Et encore. Comme il est difficile de cacher la responsabilité du féminisme dans cette paupérisation, on préfère plutôt la taire tant qu’on a pas encore les moyens de la faire payer financièrement et psychologiquement aux hommes par la culpabilité. Voilà en quoi le détournement de l’histoire est important pour les féministes. Il permet d’empêcher la prise de conscience, jusqu’à la mort. Ces personnes pour qui la fin justifie les moyens, se servent des restes d’amour légitime que nous avons pour nos femmes afin d’en faire l’instrument de notre culpabilisation dans une société qui ignore le pardon et qui veut régresser à la loi du talion. Orgueilleux, ces historiens/journalistes croient réinventer les rapports humains, tandis qu’en refusant la théologie catholique, ils en reviennent à des conceptions moins évoluées de la science et de l’humanité.

Le traitement historique de la grande guerre 14-18 est l’exemple même de ce détournement.

En ce moment, et contestez-moi si je me trompe, on essaye de nous donner l’image d’une époque de « libération » pour les femmes, qui ont pris conscience qu’elles pouvaient vivre seules, travailler et s’assumer seules, les hommes étant partis à la guerre. Nos « scientifiques » font cela, vous l’imaginez bien, pour mythifier l’idéologie récente de la libération de la femme et soutenir le combat féministe.

Un raisonnement féministe qui flanche.

L’immense majorité des Françaises et des Français travaillaient déjà à la ferme avant la Première guerre mondiale. Il n’y a donc jamais eu de libération de la femme par le travail puisque les femmes bénéficiaient déjà de ce genre de « libération » avant la guerre, ailleurs que dans les secteurs industriels. A l’inverse, les conditions de travail étaient exténuantes, et s’il y avait bien une aspiration des personnes de cette époque, c’était justement de n’avoir plus à travailler. Les féministes, quand elles parlent de libération par le travail, veulent donc surtout parler de l’indépendance des femmes par rapport au modèle du couple. Or là aussi, elles sont dans l’erreur la plus complète, puisque de très nombreuses femmes, à toutes époques, ont vécu de manière célibataire et sans que ce ne soit pour elles un avantage. Ces situations subies étaient surtout le fruit d’un déficit d’hommes à marier, ces derniers étant presque les seuls à être tués durant les guerres. Je vous laisse remonter dans notre histoire pour compter le nombre de conflits civils ou militaires qui ont tué majoritairement des hommes et qui ont laissé des millions de Françaises dans le célibat. Ce déséquilibre démographique est très facile à retrouver notamment dans les époques récentes puisqu’ils se répercutent sur plusieurs décennies. A cela, il faudra aussi rajouter que le célibat était surtout une malédiction. Sans enfant, impossible d’être pris en charge durant la vieillesse. Et il fallait faire jouer les solidarités familiales éloignées pour diminuer ces situations de souffrance. Autant dire que de nombreuses femmes seules ont dû finir dans des conditions déplorables, justement à cause du célibat, et que celui-ci n’était vraiment pas une libération à cette époque, s’il ne l’a jamais été. La vraie histoire des femmes reste à faire.

Cachez cet amour que je ne saurais voir  entre hommes et femmes de cette époque (afin de masquer notre misère affective actuelle).

Je me suis attaché à faire un travail qualitatif mené à partir de lettres de poilus envoyées à leurs femmes et réciproquement. Il m’a suffit pour cela d’aller dans une de ces expositions qui fourmillent dans nos mairies de campagne en ce moment. Les organisateurs, ignorants des subtilités de nos sciences humaines actuelles, ont mis en avant, naïvement des lettres vraies, sans tenter une quelconque démonstration. Si en quantité, ce travail ne vous comble pas, vous pourrez aller plus loin par vos propres moyens. Même si le traitement de l’information sur Internet est très orienté par la théorie du genre et la haine de notre patrie, vous avez peut-être les moyens d’accéder à des archives familiales ou à des expositions en ville qui ne seraient pas travesties par des cultureux formés à notre université. Je vous encourage donc à fouiller votre propre passé pour accéder à votre histoire, en dehors de cadres universitaires qui sont aujourd’hui majoritairement faussés. Vous y retrouverez la misère des conditions matérielles de ces hommes, mais aussi l’amour qu’ils entretenaient avec leur femme. La situation d’indépendance artificielle des femmes qu’elles ont subi durant la guerre de 1914-1918 a été l’occasion d’un déchirement terrible, affectif en premier lieu, sans compter la perte de revenus et les pénuries que vous pouvez facilement imaginer. Les femmes en ont été d’autant plus asservies aux conditions matérielles. Quant aux maris, ils en ont perdu la raison ou le sens de la vie en société. Cette perte de sens raisonne jusqu’à aujourd’hui quand on entend des hommes qui ne veulent plus se définir comme tel tant ils ont secrètement honte de leur sexe. Je ne vois donc vraiment pas ce que les féministes trouvent de positif aux évolutions de cette période si ce n’est que nous étions déjà en train de sombrer collectivement…

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Extrait du journal du Capitaine Jacques Escandes, mort il y a 100 ans exactement demain :

L’annonce de la guerre et la France personnifiée à l’image de sa femme :

« La guerre est déclarée entre la France et l’Allemagne. Enthousiasme délirant des chasseurs – Marseillaise – Vive la France – J’ai le grand frisson des grands moments où tout se tend pour offrir son dévouement – celui des moments où on aime intensément – Notre beau pays de France sera victorieux- Tout se groupe autour de lui pour l’aider- Si je sens se grand désir de faire tout mon devoir et de tout donner pour mon pays en même temps s’élève devant moi la belle image de ma femme qui le personnifie »

Les liens d’affections familiaux au moment de partir. Sa belle-mère est nommé « mère ». Importance du contact avec sa petite fille. Rapports aux enfants décrits le plus naturellement du monde.

1er août 1914 :

« Le 1er août 1914, à 4h du soir, l’affiche de la mobilisation est posée dans les rues, Gaston Periès me l’apprend. Mes affaires étant réglées, je fais ma cantine et m’habille.

Successivement mes frères et ma belle-sœur, puis ma mère, arrivent et m’entourent de leur obligeante affection. Renée souffre horriblement, pauvre chérie, mais elle m’aide à tout et fait preuve d’un très beau courage. Je dîne seul à une petite table, puis après avoir embrassé Michel qui va se coucher, Jacqueline me tient compagnie et m’amuse de son gentil babillage. Elle va aussi se coucher. C’est l’heure de partir. Moment d’intense émotion que le coeur seul peut décrire. Il y a maman, mère, Renée, Henri, Pierre, les deux bonnes– tout le monde descend dans la rue pour me voir partir en taxi avec Pierre. J’emporte ma cantine et mon vélo. L’auto part. Adieu ! Longs baisers !

Eloigné par des centaines de kilomètres de sa femme, cette dernière reste en arrière plan, en sur-moi diraient les psychanalystes, dépositaire de l’hygiène de son mari :

5 octobre 1914 :

« En tous cas, le besoin urgent de nettoyage se fait sentir : quelle crasse mon dieu. Si jamais Renée me voyait dans cet état ! »

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AUTRES CORRESPONDANCES

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 Carte d’une femme à son mari militaire, milieu bourgeois.

Mariage vécu dans l’amour.

Le texte de la carte : Le Rêve du Baiser « Va doux baiser d’amour, porte à celui que j’aime / Les fleurs de ma pensée et mon espoir suprême ! »

Le texte de la femme  : « Cette nuit j’ai fait un rêve comme celui qui est sur la carte. Tu dois voir si j’étais heureuse mais mon bonheur a était de courte durée. T’embrasse bien fort. »

2ème carte :

Le texte de la femme :

« Cher petit Joseph

reçu ta lettre du 4 ce matin où tu me parles de permission. Si seulement c’était vrai que nous aurions le (même) bonheur que ceux qui sont sur cette carte. D’après ce que tu me dis je n’écrirai pas après mercredi. Comme tu me dis je me ferai un plaisir d’aller te chercher à la gare. Je suis toujours en bonne santé à bientôt le plaisir de nous revoire. Doux baisers. »

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Carte postale d’un homme (milieu bourgeois) à sa femme :

Mari à la guerre qui plaint sa femme

« Ma chère Augusta, Je vous renvoie sur ma carte une espérance de retour de votre mari et continuez si vous pouvez vous-aussi à vivre () en espérance. Car il y a déjà longtemps que vous faîtes comme nous que vous souffrez physiquement mais surtout moralement. Il faut espérer qu’un jour viendra où nous viendrons avec vous toutes apporter l’amour familial et la joie. Je viens de recevoir une carte de Tauzin dans laquelle il me dit qu’il est en bonne santé et je lui écrit en même tant qu’à vous. Bonjour à vos parents. Adieu et au revoir. »

Image : « Bientôt peut-être on m’enverra vers toi / Cette espérance enfièvre mon émoi. »

A noter que sur l’image, l’infirmière est le relais chaste de la femme. Le convalescent et l’infirmière regardent tous les deux dans sa direction, et se soucient d’elle plus que tout. Le mari veut recouvrer la santé pour elle. L’infirmière soigne le mari pour qu’il la retrouve.

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Lettre d’un homme (milieu paysan) à sa femme :

Mari à la guerre qui plaint sa femme pour un rhume et qui se veut rassurant quant à sa situation. Il lui donne des conseils pour se soigner !

« Chère Marie

Reçu ce matin la lettre du 3 où tu me dis que tu as été laver la lessive et que tu n’as pas eut trop froid, eh plus loin, tu me dis que tu es bien enrhumée, ta lessive ne t’auras point guéris, enfin, comme tu me le dis je pense que tu te seras bien soigner, et que lorsque tu recevras cette lettre que tu seras refaite de ce petit dérangement.

Tu voudras bien m’adresser un certificat pour ma permission agricole. Je ne sais pas si je réussirais mais ça ne me coute rien d’essayer tu le feras faire comme le dernier.

Les journaux doivent faire plaisir à la population ici on est très heureux de voir que les choses tournent bien pour nous les états unis ont l’air de se mettre contre l’Allemagne ce qui hâtera sûrement l’heure de la victoire eh de la paix nous allons voir d’ici quelques jours comment les choses vont tourner ; espérons que tout ira bien et que nous aurons le plaisir de retourner bientôt au milieu de vous. Je suis allé aujourd’hui au Fort l’Hauteville mais cette fois j’y suis allé en voiture et revenu de même ça me fait ne promenade.

Ce soir la température se radoucit si le temps changeait ça ferait fondre cette neige car depuis ma dernière permission la neige coure toujours la terre et ça n’a pas dégeler.

Allons je vais te quitter. Je te recommande de bien soigner ton rhume avec la tisane que tu me faisais qui m’avais beaucoup soulager quelques cataplasmes de farine de lin avec un peu de moutarde te ferais aussi beaucoup de bien. Je suis toujours en bonne santé eh t’embrasse bien des fois.

Ton mari pour la vie. »

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Lettre d’un homme (milieu populaire) à sa femme :

Mari qui plaint sa femme. Importance de sa fille en bas âge. Affection démesurée.

« Ma chère Edith

J’ai reçu ta lettre datée du 5 ou tu me dis que tu part pour aller chez toi. Je suis content que tu sorte un peu joindre l’air de la campagne car s’il fait un temps comme ici il doit faire bon au Perene parmi la verdure et l’air que l’on y respire est meilleur que celui des tranchées. J’ai reçu l’argent que tu m’as renvoyé et ce n’était pas de trop car j’étais nettoyé et ce qui était le plus vexant c’est que l’on se trouve au repos ou l’on pouvait se procurer ce que l’on voulait.

Ma petite Nénette devait être contente d’aller se promener et ça ne la dérangera pas elle non plus. Oh si seulement j’étais parmi vous. Comme je respirerai moi aussi, mais ce n’est pas encore que ça arrivera, quand je n’en sais rien, nous fait prévoir la fin.

J’ai aperçu Bertandeau l’autre jour étant au repos. Ils s’apprêtaient a aller loger dans les bois ou ils seront bien mieux que dans un village car tous les villages sont bombardés maintenant et ça y empoisonne pense tous les résidus de viande qui se promène partout et avec se soleil, ça ne peut pas faire autrement que de sentir mauvais, la plupart des eaux sont pourrie et je me demande si l’on est obligé d’y passer l’été ce que nous boirons.

Il y en a qui ont de la chance. Léonard a quitté le front avec une autre sous of pour Grenoble ou ils vont faire l’instruction du permis c’est vraiment de la chance de s’en sortir comme ça aussi juge s’il était content et il y a de quoi car quitté cette enfer est un vrai bonheur. Ce n’est pas à moi qu’arrivera cette chance.

Enfin j’espère bien malgré ça qu’il viendra bien ce jour ou l’on se reverra alors ma petite quel bonheur de se serrer dans les bras l’un de l’autre de revoir sa petite Nénette grandir marchant toute seule, de revoir toute sa famille et de reprendre sa petite vie tranquille d’autre fois, ah sur ce sera un grand bonheur d’autant plus grand que nous aurons souffert les uns les autres mais quand sera t-il peut être plus vite que l’on ne le croit.

Enfin en attendant espérons toujours et prenons courage.

En attendant ma chérie je t’envoie des milliers de caresses et de baisers de bien loin hélas.

Des grosses bises à Ma Nénette.

Embrasse bien ton père et ta mère pour moi. Mes amitiés a M et Mariane Besniers.

Je te quitte ma jolie en t’embrassant de nouveau.

Ton petit homme qui t’aime et t’adore. »

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FIN DES TEMOIGNAGES

Evidemment, des hommes préoccupés par leurs enfants, soumis à la France comme à leur femme, des hommes et des femmes dépendants de liens d’amours forts, souffrants du manque, sachant s’exprimer à l’écrit, on est loin des images de femmes en cours de « libération » affective et sociale, de Pater Familias brutaux, ou même de femmes soumises et incultes propagées par les féministes.

Une France plus cultivée, une France plus aimante, une France qui vivait bien sa complémentarité, voilà ce que les féministes ont contribué à détruire. Voilà pourquoi elles tentent de caricaturer le passé : pour nous faire accepter les souffrances actuelles, dont elles sont responsables. Non, le divorce et l’avortement n’ont pas été des progrès pour l’humanité. Non, la mixité n’a pas pas été positive. Oui, l’indifférenciation nous conduit toujours plus loin dans notre misère affective, morale, et bientôt économique. Ces processus qui s’étalent sur plusieurs décennies devront être combattus fermement si nous voulons reconstruire une société un tant soit peu respirable humainement. La position des féministes est d’ailleurs à mettre en parallèle avec pas celle de pas mal de généraux incompétents de 1914-1918 qui ont failli nous conduire à un désastre encore plus grand. Ceux-là voulaient ignorer le facteur humain. Ils ont envoyé des millions de personnes se faire tuer parce qu’ils se croyaient plus intelligents que la moyenne. Ce même esprit de déni des réalités et de refus de prise en compte de la nature humaine perdure aujourd’hui chez notre élite féministe. Il s’est transmis à travers tout un système de croyances franc-maçonnes qui a été incapable de revenir sur ses erreurs et qui a pourtant inondé notre société de ses idées tout en laissant le mal consumériste et individualiste se propager, religion qui a échoué en 1789, échoué avant 14-18, échoué avant 39-45, qui a échoué dans toutes les parties du monde qu’elle a voulues influencer (communisme) de manière autrement plus gigantesque que l’Eglise catholique, religion qui est aujourd’hui en train de faire belote rebelote et 10 de der aujourd’hui avec la théorie du genre. Contrairement à la culture catholique, rien de bon n’est sorti de cette religion. Il est donc temps que ses adeptes sincères prennent conscience de leurs erreurs, fassent contrition et reviennent au sein de la vraie Eglise de Dieu. Même si leur orgueil et la cupidité de certains d’entre eux ne nous manque pas, leur intelligence fait défaut à la France et surtout aux humains qui habitent ce pays et qui sont obligés de souffrir leur médiocrité morale.

1. http://www.aimeles.net/suivi-statistique-en-temps-reel-de-la-feminisation-depuis-1968/

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32 Comments

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  • passim , 12 novembre 2014 @ 14 h 49 min

    Beau travail de remise en perspective.
    Mais on ne parle pas assez des tourments subis par ceux du front, quant aux infidélités de celles de l’arrière.
    Beaucoup de poilus ont été trahis, non seulement par leurs généraux, mais par leurs épouses. Une immense amertume règnait dans les tranchées, que certaines études mettent en avant.
    C’est un guerrier qui était parti au front. Les conditions du conflit en ont fait de la vulgaire chair à canons. La virilité déchue, celle du soldat comme celle de l’époux.
    Mais le féminisme triomphant se gardera bien d’aborder ce genre de sujet.
    La gynocratie, c’est aujourd’hui. Avec ce qui l’accompagne généralement : mauvaise foi, désordre intellectuel et sentimentalisme niais.
    Quant au catholicisme, on voit ce qu’il est devenu, vous l’avez fort bien dit précédemment.

  • Léonidas Durandal , 12 novembre 2014 @ 14 h 57 min

    Caricatures et lacunes historiques. Relativisme de mauvais aloi.

    L’Amérique est surtout devenue croyante par l’amour de ses missionnaires qui se sont sacrifiés pour les protéger des marchands. Les marchands, ceux de 1789 bien entendu, qui ont propagé leurs méfaits au fur et à mesure que des gens comme vous les ont libéré de toute contrainte morale. Car la religion catholique a surtout été un frein d’humanité pour les colonisateurs. Vous ne devriez donc pas rougir de la meilleure partie de notre histoire. Celle qui, à quelques détails près, nous a donné le meilleur de ce que nous sommes, envers et contre les sceptiques, les scientistes, les marchands, les communistes, les Francs-maçons qui eux, devraient avoir des dizaines de millions de morts sur la conscience s’ils avaient les moyens spirituels d’en avoir une. Heureusement, nous avons donné à tous ces peuples le meilleur de ce qu’ils ont actuellement, face au coca-cola libérateur des autres.

  • Léonidas Durandal , 12 novembre 2014 @ 15 h 02 min

    Vous ne justifiez aucune de vos conclusions comme si on devait vous comprendre. Vous essayez de susciter l’adhésion au lieu d’entamer dans un débat argumenté. Vos lecteurs jugeront de la pertinence d’une telle démarche sentimentaliste et féminisée.

  • Léonidas Durandal , 12 novembre 2014 @ 15 h 31 min

    Je comprends que j’ai pu vous choquer. Vous organisez une expo. Je dénonce exactement le travail que vous avez fait sans l’avoir vu. Dès lors, vous vous bloquez.

    Maintenant quant à votre argumentation : En tant qu’historien(ne) comment pouvez-vous ignorer qu’il suffit de présenter des informations exactes de telle manière pour obtenir tel résultat et fausser la perception de celui qui les voit ? Vous naviguez ici entre incompétence et mauvaise foi, vous seul pouvez le dire. Et je suis désolé de vous le dire de manière aussi abrupte, mais vraiment, je suis fatigué de tant d’incompétence dans notre monde, une telle incompétence qu’elle rend impossible toute remise en question, c’est à dire toute vraie réflexion au moment même où vous devriez marcher sur des oeufs pour m’écrire. Au lieu de cela, vous prenez vos gros sabots, et vous n’avez pas peur de discréditer votre formation, ce que vous faîtes en n’élevant pas le débat face à quelqu’un qui n’est pas historien de formation. Vous comprenez, si aujourd’hui quelqu’un qui n’a pas de formation spécifique sur cette époque agence mieux les informations qu’il a reçu sur celle-ci, que ceux qui sont sensé en savoir plus que lui, la violence que ce genre d’attitude peut provoquer et le discrédit qu’elle engendre à travers toute la société. Soyez vraiment plus prudente quand vous écrivez en voulant soutenir votre formation. Ceci étant dit et pour le reste de votre intervention :

    Vous parlez d’inepties, vous reconnaissez pourtant que l’amour entre hommes et femmes n’est pas absent de ces expos que vous avez visitées. Alors qu’est-ce qui vous choque dans mon propos ? Personne ne peut le savoir puisque vous ne développez rien. Vous m’accusez seulement de confondre indépendance et manque d’amour. Or je soutiens que le désir d’indépendance des femmes a été une marque, non seulement de manque d’amour envers les hommes, mais aussi de haine. Où avez-vous qu’un couple pouvait vivre dans l’indépendance de l’autre partenaire ? L’amour est justement un lien de dépendance qui se traduit aussi bien de manière psychique que physique que matérielle que contractuelle qu’institutionnelle que sociale. D’ailleurs l’indépendance des femmes n’est-elle pas corrélée avec une augmentation parallèle des divorces, séparations, impossibilités de vivre ensemble. Vous dîtes que vous n’êtes pas féministe. Je dirais plutôt que vous n’avez même pas conscience de l’être, que vous reprenez l’argumentaire féministe typique sans le savoir ce qui en dit long sur votre niveau de conscience politique ou votre mauvaise foi. Là encore, à vous de choisir. Vous avez donc fini par obtenir le droit de vote et vous trouvez cela formidable. Mais moi, au vu des résultats des élections, mais aussi du genre de discours qui est le vôtre, à ce point aveugle, à ce point haineux du couple, ignorant en résumé, je pense sincèrement que c’était une grosse erreur. Seules certaines femmes devraient avoir le droit de vote. D’ailleurs la plupart ne comprennent rien à la politique et s’en moquent littéralement. Et celles qui s’en occupent sont parfois encore pire. C’est bien de vouloir le droit de vote, maintenant il faut assumer les responsabilités que cela implique, et la première de celle-là : voir pour toute la société et non défendre obstinément le droit particulier des femmes à vivre leur indépendance sur l’imposition masculine ou pire, vouloir supprimer toute masculinité comme les féministes du genre nous le proposent actuellement.

  • champar , 12 novembre 2014 @ 16 h 48 min

    “Arbeit macht frei” , la libération par le travail, c’est ce qui était écrit à l’entrée des camps de concentration !
    Alors tous les imbéciles qui croient que le travail libère la femme ont une sérieuse référence dans les horreurs de la dernière guerre.
    Les féministes peuvent aussi relire “l’Assommoir” de Zola, tout cela est de la doctrine de bobos décadents (redondance).

  • ying et yang , 12 novembre 2014 @ 18 h 14 min

    C’est l’Eglise au contraire qui pousse au droit de vote des femmes, toutes sont plus ou moins bigotes et cela fait peur à la gauche !
    Quant aux phénomènes sexuels déviants (du grand n’importe quoi !), peut être dans votre famille mais pas dans la mienne… !

  • patrick Canonges , 12 novembre 2014 @ 18 h 55 min

    Il faudrait savoir lire le français. Ca vous éviterait de répondre à coté de la plaque (ou pour confirmer ce que j’ai dit. Il faudrait aussi se renseigner sur la culture chinoise, car c’est le YIN et non pas le ying…

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