Abîmée par des décennies de laxisme, de démission et par le déclin moral d’une classe dirigeante subjuguée par l’idéologie post-soixante-huitarde, la France perd son identité. Elle ne sait plus d’où elle vient et ne sait plus qui elle est. Ce qui n’arrange rien, c’est qu’elle subit dans le même temps une immigration massive, accrue par un regroupement familial insensé, de populations ayant biberonné à la haine de l’ancien colonisateur. Venues principalement de pays d’obédience musulmane, sans savoir, apparemment, ce que veut dire démocratie ou laïcité, regroupées en communautés elles bâtissent sur notre vide identitaire une société divergente.
Le gouvernement socialiste, soutenu par des activistes islamo-gauchistes, a encore amplifié ces flux migratoires qui, par le nombre, échappent totalement aux capacités régulatrices de l’État. Résultat : dans la plupart des grandes villes de ce pays de culture chrétienne, des quartiers entiers sont devenus des enclaves où les islamistes imposent leurs mœurs, leurs coutumes et leurs codes vestimentaires. Comme dans n’importe quelle ville arabe… avec le parler adéquat ! Dans ces ghettos, la diversité n’est même plus, évidemment, d’actualité : ce concept n’est qu’un souvenir. Et un séparatisme identitaire s’installe ; au mieux, sous une forme de multiculturalisme de l’indifférence où les gens se côtoient sans se parler, sans se connaître, mais où les plus minoritaires rasent les murs. Au pire, ces derniers, pour vivre en paix, sont obligés de se convertir ou de s’assimiler. C’est l’inversion de l’assimilation républicaine qui est mise en œuvre dans ces localités conquises par l’islam.
Là où, avant, la convivialité n’était pas un vain mot, l’arrogance, l’incivilité et la brutalité font la loi. Et le fameux “Inch’Allah”, ce légendaire laisser-aller de la philosophie musulmane, a remplacé la responsabilité citoyenne : on “laisse pisser le mouton”, comme disent flegmatiquement les vieux maghrébins. Cela se traduit, dans le paysage urbain, par une accumulation de saletés innommables, d’encombrements, de dégradations et de saccages insupportables. Le souci du bien commun n’est visiblement pas la préoccupation majeure des islamisés. Ce constat, attesté par une réflexion de Winston Churchill, est éloquent : “habitudes imprévoyantes, systèmes agricoles aberrants, lenteur des méthodes commerciales, et insécurité de la propriété se retrouvent partout où les adeptes du Prophète gouvernent ou vivent”. On comprend mieux, quand on voit ce que ces adeptes ont fait de leur indépendance…
Dans ces zones où tous les commerces sont devenus Halal ou orientaux, et dans lesquels tous les produits régionaux français sont prohibés, la vie quotidienne est désormais édictée par la religion, mais est également soumise à la délinquance et au terrorisme. Sur ces territoires, voyoucratie et communauté religieuse font toujours très bon ménage. Et s’entremêlent tellement que l’on ne sait plus distinguer qui est délinquant. Chacun revendique des droits qui n’ont plus rien à voir avec nos valeurs républicaines, à tel point que nous-mêmes ne savons plus très bien qu’elles sont ces valeurs que nous défendons encore. D’autant qu’elles sont régulièrement bafouées par nos élites et que, d’autre part, de démissions en reculades, nos dirigeants ont largement brouillé les pistes en fabriquant des “Français de papier” qui ne savent pas comment être français ou simplement citoyens. Et qui ne reconnaissent plus que la loi d’Allah. Comme les nouveaux arrivants, qui prennent la France pour un paillasson sur lequel ils ne s’essuient même pas avant d’entrer, mais de qui ils exigent, tout de suite, des droits et des subsides. Alors, quand ils sont là depuis quelques générations…
La dernière vague massive de migrants, venus de tous les pays arabes en guerre, accueillis par l’Union européenne, ne va pas apaiser la situation. Combien viendront en France pour l’amour de ses valeurs, de sa façon de vivre, de sa culture et pour, réellement, devenir français ? Ce ne sont pas, ici ou là, quelques infimes réussites d’intégration qui pourront dissimuler l’échec de l’assimilation à la française.
Il serait tout de même temps de recadrer tout ce petit monde !
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