Censure, sectarisme, bidonnage, conférence annulée… L’université française est confrontée à de multiples problèmes. Les groupes de pression sont de plus en plus influents. L’idéologie est plus en plus prégnante dans les universités.
La falsification des études d’un chercheur canadien à des fins idéologiques est en un exemple. Une conférence sur « L’être humain à l’époque de sa reproductibilité technique » de la philosophe Sylviane Agacinski, connue pour son opposition à la GPA, prévue à l’université Bordeaux – Montaigne, sur le campus de Pessac, a été annulée. La direction de l’établissement a estimé que « face à des menaces violentes », elle ne pouvait « assurer pleinement la sécurité des biens et des personnes, ni les conditions d’un débat vif mais respectueux ». « Cette manifestation de censure est une atteinte excessivement grave et violente à la confrontation des idées à laquelle notre université est attachée », dénonce l’Université sur son site internet :