Coup de gueule. Mardi sur BFM TV, Nicolas Doze a regretté que “l’offre politique 2012, et c’est la première fois, [soit] véritablement un programme commun. Ce n’est plus la peine de citer des noms, de citer des partis : tous tirent sur la finance, tous tirent sur les grands patrons, tous tirent sur le capital, tous vont tirer sur la pompe à fiscalité et augmenter les prélèvements obligatoires. Dans absolument tous les cas, ils misent sur la croissance, avec l’espoir qu’il y aura un peu d’inflation sans le dire, pour se contenter de geler la dépense publique. Dans absolument tous les cas, on mise sur le made in France pour recréer de l’emploi en France, mais sans fabriquer les leviers de croissance qui vont avec…” “Fondamentalement, ils sont dans une posture où l’État est central et l’État protège (…)”, a relevé l’éditorialiste :
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