Manuel Valls (naturalisé en 1982) à Marion Maréchal-Le Pen : “Vous n’êtes ni la République, ni la France”

Le cirque continue. Manuel Valls a répondu mardi à l’Assemblée à la question de Marion Maréchal-Le Pen, députée FN du Vaucluse, qui l’attaquait sur ses prises de position récentes à propos du Front national. “Je veux dire aux Français que vous vous trompez et que votre politique les mènera à la ruine”, s’est exclamé un Manuel Valls hystérique. “Vous trompez les gens, et jusqu’au bout je me battrai pour vous stigmatiser et dire que vous n’êtes ni la République, ni la France”. Le commentaire vient d’un individu Français de branchette, naturalisé en 1982, ce qui ne semble pas l’inciter à la moindre réserve…

Quelques instants auparavant, Marion Maréchal-Le Pen avait demandé au Premier sinistre : “Quand comptez-vous enfin vous occuper des angoisses des Français plutôt que du sort de votre parti qui, je l’espère, se fracassera sur les urnes à la fin du mois ?”

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99 Comments

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  • ranguin , 10 mars 2015 @ 18 h 51 min

    On en est à l’estocade. “Soupe à l’oignon y croutone” n’est pas content. Le FN l’empêche de jouer dans son bac à sable.

  • Quéniart , 10 mars 2015 @ 18 h 51 min

    il l’a bien cherché ce parvenu élu par le crif

  • Maurice , 10 mars 2015 @ 19 h 09 min

    Il n’est pas content le Manolo le caudillo, il nous pète un câble ! Encore quelques sorties comme celle-là et il va avoir la bave aux lèvres.

    Il ferait beaucoup mieux de s’occuper ce pour quoi il est le 1er sinistre du gouvernement au lieu de s’en prendre à un parti politique, son attitude nous démontre qu’il a eu du franquisme en perfusion lorsqu’il était encore là-bas.

  • aziliz , 10 mars 2015 @ 19 h 13 min

    Outre son incompétence notoire, Manolito pète les plombs.Il doit avoir le trouillomètre à zéro
    pour sa place de malade de la république (sans majuscule SVP).
    Il semblerait que son cas ait dépassé la pathologie douce et que désormais c’est la camisole de force qu’il lui faut. Non seulement il est hystérique, mais il est grossier, arrogant et puant. La France, à ce sale menteur (le vrai visage de Manolito … à lire) se révèle de jour en jour.
    Bravo pour le sectarisme, il m’a convaincue d’aller voter les 22 et 29 Mars et ni-ni mais pour ceux qu’il stigmatise. Il ne sera jamais français à mes yeux. En fait c’est un petit Adolf qui s’ignore. Conitnue Manilto, t’es sur la bonne voie … pour la porte et ton loukoum avec.

  • KIKI , 10 mars 2015 @ 19 h 25 min

    Qu’il retourne d’où il vient, ce donneur de leçon, je pense qu’il devrait faire son rôle de 1er ministre et ne pas s’occuper des autres partis, qui par ce genre de réaction leurs donnent du grain à moudre;
    Le grain étant nous, qui saurons en temps voulu mettre nos bulletins dans l’urne.
    Arrêtez Monsieur ces colères pittoyables et ridicules.
    KIKI

  • Marino , 10 mars 2015 @ 19 h 33 min

    Question écrite n° 75489 publiée le 10 mars 2015
    enseignement supérieur – universités – laïcité

    Mme Marion Maréchal-Le Pen interroge Mme la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche sur la question de la laïcité dans les universités. La loi n° 2004-228 du 15 mars 2004 interdit « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse » dans « les écoles, les collèges et lycées publics ». L’université n’a pas été intégrée au dispositif législatif au motif que les étudiants sont des individus majeurs, libres de leurs choix : ils peuvent arborer des signes religieux tant que le visage n’est pas dissimulé eu égard à la loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010. Néanmoins, le monde de l’enseignement est régi par une laïcité à géométrie variable qui n’est pas sans engendrer des contradictions : les étudiants des classes préparatoires et des BTS, pourtant majeurs, sont soumis à la loi de 2004. Par ailleurs, depuis la loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 relative à l’autonomie des universités, il revient à chacune d’elle d’adopter un règlement intérieur et une charte d’établissement précisant sa position sur les signes religieux ostensibles. L’absence d’universalité de la laïcité provoque des confusions, sources d’une multiplication des dérives communautaristes : port du voile, remise en cause du contenu de l’enseignement, demandes d’aménagements des sessions d’examens en fonction du calendrier religieux, exploitation de locaux universitaires par des associations communautaires. Les directions universitaires font face à un flou juridique qui peut les pousser aux compromis en cédant à des attitudes velléitaires qui cherchent à déstabiliser un modèle respectueux de la liberté de conscience. Pourtant, l’exhibition d’insignes religieux ostensibles constitue un véritable trouble de l’ordre dans l’établissement et le fonctionnement du service public qui devrait conduire les autorités à intégrer de telles manifestations visuelles dans les interdictions tracées par le Conseil d’État. Le Haut conseil à l’intégration avait proposé en août 2013 d’élargir la loi de 2004 aux établissements universitaires. C’est pourquoi elle demande si les pouvoirs publics n’envisagent pas d’étendre la loi de 2004 aux établissements de l’enseignement supérieur afin d’apaiser les tensions communautaires au sein de nos universités tout en assurant l’équité recherchée par la laïcité.

    * Question qui a certainement dérangé l’immigré espagnol ….?

  • antikhmer , 10 mars 2015 @ 19 h 35 min

    mon pays !!

    aucune honte !!

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