Nikita Krivochéine est l’un des derniers survivants du goulag. Dans son ouvrage “Des miradors à la liberté”, il raconte son arrestation par les autorités soviétiques en 1957. Jugé coupable d’avoir envoyé au journal Le Monde une chronique sur l’intervention soviétique en Hongrie, il est enfermé à la Loubianka, le siège du KGB, où il subira des interrogatoires pendant 8 mois. Il est ensuite envoyé dans le camp du Doubravlag en République de Mordovie, camp dit de “rééducation par le travail”… Plus de 60 ans après les faits, Nikita Krivochéine exhorte le gouvernement russe à décrire le récit des crimes commis par les communistes :
Source : TV Libertés