Aujourd’hui, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est un principe admis par toutes les nations et pas une, anciennement colonisatrice, n’oserait plus avoir la prétention à une quelconque mission civilisatrice envers d’autres populations. Aucune n’aurait l’intention de conquérir un territoire pour soumettre un peuple et accaparer ses richesses. Le colonialisme est une doctrine qui n’a plus de sens. Pourtant, nous assistons en Europe et, particulièrement en France, à une colonisation d’un nouveau genre, une colonisation à l’envers, arrangée par d’anciens peuples colonisés ; avec l’assentiment de tous les idiots utiles du système en passant par les associations caritatives de l’ultra-gauche, les partis de gauche ou de la droite molle, et les médias, complices, qui ne sont pas en reste pour brouiller les pistes.
Si, étymologiquement, une colonie est une population qui s’installe sur un territoire au détriment des populations locales pour y cultiver la terre (!) et pour pratiquer son culte, on peut affirmer, sans exagération, que dans quelques quartiers et de nombreuses cités du pays, un colonialisme qui ne dit pas son nom, est bel et bien à l’œuvre. Sauf que ce “colonialisme” ne gère pas politiquement, militairement ou économiquement son territoire, comme le font, normalement, les véritables colons. Quoique, au vu de la situation connue, on peut se poser la question. Et la bonne question serait : la République a-t-elle encore la main sur l’ensemble de son territoire ? Administrativement, sur le papier, oui ! Mais sur le terrain ? N’appelle-t-on pas certaines enclaves “des territoires perdus de la République” ou plus explicitement, “des zones de non-droit” ? Là, on peut voir des minorités agissantes, souvent apparentées à la voyoucratie locale fortement islamisée, se comporter comme de véritables armées au service d’une communauté en pleine expansion. Ces troupes, pour nouveaux colons, méprisent et détestent tout ce qui n’est pas musulman ; elles se croient en terre de mission partout où elles s’implantent et veulent imposer leurs codes, leurs mœurs, leurs lois et leurs coutumes. Chaque fois qu’elles le peuvent, allègrement, elles dégradent et salissent nos paysages en ne respectant même pas nos traditions. Elles prescrivent la bonne tenue et la meilleure façon de marcher. Elles soumettent tous les habitants de leurs zones d’influence aux préceptes du Coran, un texte vieux de quatorze siècles, forcément déconnecté de la modernité et des principes démocratiques occidentaux. Allant à l’encontre de toute humanité globale, le corollaire de ce texte est bien connu : faire vivre notre société sous le joug d’Allah et anéantir tous les réfractaires. Programme réjouissant… pour les masos !
Bien que nos gouvernants connaissent parfaitement le logiciel qui motive ce nouveau colonialisme, ils nous ont concocté une nouvelle loi aberrante qui invite, entre autre ineptie, les mineurs clandestins à faire venir leurs familles… Pour faire encore grossir le nombre de colons ? Qui nous coûtent déjà très cher. Et pas seulement financièrement ! Mais en restant sur l’aspect strictement comptable, il est intéressant de savoir, étude à l’appui, que 1,5 million de salariés hautement qualifiés pourraient nous manquer d’ici à 2030 (ce qui représentera une perte de 175 milliards d’euros pour l’économie française), alors que la main-d’œuvre d’un niveau de formation peu élevée représente déjà un surplus de 1,7 million de salariés… Malgré cela, nos “irresponsables” politiques laissent rentrer dans le pays toujours plus d’immigrés sous-qualifiés. Le bénéfice (s’il y en a encore) à court terme, pour les entreprises françaises, d’une main-d’œuvre immigrée à bas coût ne solutionnera jamais l’intégration, ni le chômage, ni le sous-développement des pays concernés. C’est du perdant-perdant, pour les deux parties.
L’aide aux pays sous-développés pourrait se faire dans leur pays même et, au lieu d’accueillir généreusement et sans discernement toute la misère du monde, il serait peut-être plus intelligent de n’accepter et de ne choisir que ceux qui peuvent être utiles à notre développement économique et culturel. Car, colonisé, de plus en plus, par des sous-développés et des sous-qualifiés, l’inculture qui en découle s’installant, nous risquons de sombrer dans un chaos indescriptible ou tout au moins de régresser dangereusement. Et, bientôt, la France ne sera plus la France.
Claude Picard
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