Macron…”et en même temps” démontre qu’il est incapable d’être un chef d’État puisqu’il est incapable de s’élever au dessus des pleurnichards habituels de l’Histoire mémorielle.
On lui accordera d’avoir essayé…..mais de ne pas avoir fait preuve de l’autorité suffisante ni du courage nécessaire pour imposer l’évidence de son jugement sur la complexité de l’Histoire et de l’action des hommes qui font et ont fait l’Histoire….pour le meilleur ou le pire.
Voilà ce qu’il en coute de se faire élire sans avoir de parti politique constitué avant l’accession au “pouvoir”.
Quant au message envoyé…il est clair ! le chef est faible et tributaire pour les prochaines échéances électorales du vote de ceux qui voudront lui accorder leurs suffrages.
Donc ne vous gênez pas….pleurnichez, protestez, exigez et vous pourrez “et en même temps” obtenir satisfaction sur tout et son contraire.
Pauvre Macron, la girouette qui tourne au grès des vents de l’opinion tout en essayant de maintenir le cap vers un horizon par définition inatteignable.
Droal , 8 novembre 2018 @ 16 h 46 min
Macron est un simple pion Rothschild comme le fut Pompidou. Il a des comptes à rendre à la Banque, c’est-à-dire à son employeur.
Lorsque De Gaulle, lors de la conférence du 27 novembre 1967, évoquant la « guerre des six jours » qualifie les juifs de « peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur », Raymond Aron affirme dans la foulée que De Gaulle « a réhabilité l’antisémitisme ».
Cinq mois après, en mai 1968, De Gaulle est débarqué par Cohn-Bendit et le pion Rothschild est mis en place tranquillou : Pom Pom Pidou !
Récemment, Cohn a refusé de remplacer Hulot au ministère de « Il Faut Niquer la Planète ! Vite ! Bordel !!! » s’apercevant que ça commençait à schlinger un tantinet…
borphi , 8 novembre 2018 @ 17 h 02 min
C’est vraiment très petit tout ceci!
Tout cela pour se faire valoir sur le dos des millions de morts de la grande guerre!
Franchement , il faut qu’il arrête avec son itinérance commémorielle,
plus ridicule tu meurs…
j’ai connu des poilus et des gens de cette génération , aucun , mais aucun n’aurait admis une telle offense à leur Histoire!
C’est lamentable!
Droal , 8 novembre 2018 @ 22 h 57 min
« Heureux ceux qui sont morts pour la terre charnelle ;
mais pourvu que ce fût dans une juste guerre.
Heureux ceux qui sont morts dans les grandes batailles,
couchés dessus le sol à la face de Dieu …
Heureux les épis murs et les blés moissonnés… »
Le 5 septembre 1914, alors que la bataille de la Marne se prépare, le lieutenant de réserve Charles Péguy, du 276e Régiment d’Infanterie (RI), prend la direction du village de Villeroy, près de Meaux, avec sa compagnie :
En 1907 Charles de Gaulle a 17 ans et Charles Péguy (1873-1914) est son auteur de chevet:
« Aucun écrivain ne m’a autant marqué. Dans les années qui ont précédé la guerre, je lisais tout ce qu’il écrivait, pendant mon adolescence et quand j’étais à Saint-Cyr, puis jeune officier. Je me sentais très proche de lui. Ce qui m’intéressait surtout chez lui, c’était son instinct… Il sentait les choses exactement comme je les sentais, et j’avais l’impression, la conviction, qu’il ne se trompait pas, alors que beaucoup autour de nous se trompaient. »
Cité par Alain PEYREFITTE, in C’était de Gaulle, t. II.
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