Pendant des mois France Inter se mobilise contre le sexisme et le harcèlement… Puis soudain, cette chronique ahurissante contre Charlotte d'Ornellas… pic.twitter.com/GdfBxMFoqv
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) 29 septembre 2018
Pour ceux qui en douteraient encore, l’outrage fait à Charlotte d’Ornellas sur France Inter est bien la preuve irréfutable que les mouvements « me too » et « balance ton porc » ne sont que des incitations à la haine envers le mâle blanc lambda, ou racisé cisgenre pour parler branché, lancées par quelques excitées et alimentées par une kyrielle de féministes en mal d’inspiration et de reconnaissance.
Pendant que des campagnes de sensibilisation aussi stupides et inefficaces les unes que les autres font florès dans les transports en commun visant à faire croire au « gibier féminin » qu’une main au cul est l’équivalent d’un viol, un chroniqueur qui se croit spirituel nous fait part de ses fantasmes rigolards envers une « petite femelle » dite « d’extrême droite ».
Nous reconnaissons là une fois de plus la grande honnêteté de tous ces grands donneurs de leçons et idéologues en tous genres pour lesquels il y a 2 sortes de femmes. D’une part, celle que l’on peut instrumentaliser à loisir jusqu’à la déposséder de sa propre nature et que l’on protège contre elle-même, et puis la néfaste qui assume ses idées et qui les défend au même titre que les hommes.
« La nunuche » incapable de se défendre peut compter sur Schiappa, Haas, les chiennes de garde, etc., qui ne manqueront pas de se produire sur toutes les scènes médiatiques politico compatibles pour la représenter alors qu’elle n’a rien demandé. Par contre celle qui ose, non seulement se passer de leur service mais en plus leur prouver qu’une femme n’est pas une victime née, sera lâchée voire lynchée dans la plus parfaite indifférence.
En fait, Charlotte d’Ornellas est un homme comme les autres, journaliste de son état avec la sensibilité politique qu’on lui connait. Elle aussi aurait pu dire que si l’on s’en prend à elle c’est parce qu’elle est une femme, peut-être même venant d’ailleurs, via ses origines. Après tout d’Ornellas comme Hidalgo, ça fait un peu exotique.
Nul doute que personne ne réagira à ces propos misogynes, vulgaires et humiliants envers une femme qui a le tort de ne pas penser correctement.
À n’en pas douter elle le sait, comme Marion Maréchal Le Pen et d’autres savent qu’elles n’ont pas l’honneur de faire partie du type de femmes à défendre. Elles ont bien raison de ne compter que sur elles d’autant que ce sont de vraies guerrières bien plus courageuses que beaucoup d’hommes .
Au fait Monsieur Marin, les petites cathos d’extrême droite vous emmerdent.
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