Google, Amazon, Netflix, Nike, Microsoft, tellement puissants, et tellement politiquement correct. Et si l’entreprise devenait l’épicentre du “wokisme” ? C’est la question que s’est posée Anne de Guigné. Dans son ouvrage Le Capitalisme woke, la journaliste du Figaro explique comment des entreprises, et notamment les plus puissantes du monde, de la Bourse, du Nasdaq, imposent leur vision du bien et du mal quitte à sacrifier certains marchés et de se couper de certains publics :