Dépasser la démocratie (1/3) : Introduction

Pourquoi la démocratie ne mène pas à la solidarité, à la prospérité et à la liberté, mais aux conflits sociaux, aux dépenses publiques effrénées et à la tyrannie.

Par Frank Karsten & Karel Beckman

Traduit de l’anglais par Benoît Malbranque pour l’Institut Coppet qui a autorisé Nouvelles de France a reproduire ce contenu

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Introduction

« Les maux dont souffre aujourd’hui la démocratie ne peuvent être guéris que par davantage de démocratie. » Cette vieille citation d’un homme politique américain rend bien compte, sous forme condensée, de la façon dont notre système politique démocratique est considéré. Les gens sont prêts à reconnaître que la démocratie peut avoir ses inconvénients — ils sont peut-être même prêts à reconnaître que de nombreuses démocraties parlementaires occidentales sont au bord du précipice — mais ils ne parviennent pas à imaginer une alternative. Le seul remède auquel ils pensent, précisément, est davantage de démocratie.

Peu sont ceux qui nieraient que notre système de démocratie parlementaire est en crise. Les citoyens des pays démocratiques sont partout insatisfaits et profondément divisés. Les hommes politiques se plaignent de ce que les citoyens se comportent comme des enfants gâtés, et les citoyens se plaignent du fait que les hommes politiques ne répondent pas à leurs souhaits. Les électeurs sont devenus notoirement volages : leur allégeance passe régulièrement d’un parti à un autre. Ils sont aussi de plus en plus attirés par les partis radicaux et populistes. Partout le paysage politique se fragmente, ce qui rend plus difficile le dépassement des différences et la formation de majorités opérationnelles.

Les partis politiques existants n’ont pas de réponse à proposer quant à ces défis. Ils sont incapables de développer de véritables alternatives. Ils sont prisonniers dans les structures rigides des partis et leurs idéaux sont détournés par les défenseurs d’intérêts particuliers et les lobbyistes. Il n’existe pratiquement aucun gouvernement démocratique capable de contrôler ses dépenses. La plupart des pays démocratiques ont emprunté, dépensé, et taxé à un rythme si effréné qu’ils ont provoqué une crise financière qui a mené différents pays au bord de la faillite. Et lorsqu’à de rares occasions les circonstances forcent les gouvernements à réduire leurs dépenses au moins temporairement, les électeurs bondissent pour protester contre ce qu’ils qualifient d’attaque contre leurs droits, rendant impossible toute véritable coupe dans les dépenses.

Malgré leurs dépenses effrénées, presque tous les pays démocratiques souffrent d’un chômage chroniquement élevé. De larges couches de la population restent sur le bas-côté. Il n’existe quasiment pas de pays démocratique qui ait constitué des réserves suffisantes pour sa population âgée.

De manière significative, toutes les sociétés démocratiques souffrent d’un excès de zèle bureaucratique et réglementaire. Les tentacules de l’État s’étendent sur la vie de chacun. Il existe des lois et des réglementations pour presque tout ce qu’on trouve sur terre. Et on s’occupe de chaque problème avec plus de lois et de réglementations plutôt qu’avec des véritables solutions.

Dans le même temps, les gouvernements démocratiques ont du mal à assumer ce que la plupart des gens considèrent être leur rôle le plus important — faire respecter la loi et maintenir l’ordre. Le crime et le vandalisme sont la gangrène. La police et le système judiciaire ne sont ni fiables ni compétents, et sont souvent complètement corrompus. Les comportements inoffensifs sont criminalisés. En pourcentage de la population, les États-Unis possèdent le plus grand nombre de prisonniers au monde. Nombreux sont ceux parmi eux qui sont en prison à cause de comportements inoffensifs, simplement parce que la majorité considère que leurs pratiques sont choquantes.

Selon diverses études, la confiance du peuple en ses hommes politiques démocratiquement élus a atteint un niveau historiquement bas. Il existe une méfiance profondément enracinée dans la population face à ces gouvernements, à ces dirigeants politiques, à ces élites et à ces organisations internationales qui semblent s’être placées au-dessus de la loi. Beaucoup de gens sont désormais pessimistes face à l’avenir. Ils craignent que leurs enfants vivent moins bien qu’eux. Ils craignent l’invasion d’immigrants. Ils craignent que leur propre culture soit menacée et espèrent le retour de temps depuis longtemps révolus.

La foi en la démocratie 

Bien que la crise de la démocratie soit un fait assez largement reconnu, il n’y a pratiquement aucune critique du système démocratique lui-même. Il n’y a pratiquement personne pour condamner la démocratie pour les problèmes auxquels nous faisons face. Les hommes politiques — qu’ils soient de droite, de gauche, ou du centre — promettent sans cesse de résoudre nos problèmes non grâce à moins de démocratie, mais grâce à davantage de démocratie. Ils promettent d’écouter le peuple et de placer l’intérêt général au-dessus des intérêts particuliers. Ils promettent de réduire la bureaucratie, de devenir transparents, de fournir de meilleurs services — en somme, de faire en sorte que le système fonctionne à nouveau. Mais ils ne remettent jamais en question la désirabilité du système démocratique lui-même. Ils auraient davantage tendance à affirmer que nos problèmes sont causés par un excès de liberté plutôt que par un excès de démocratie.

La seule différence entre les progressistes et les conservateurs est que les premiers sont enclins à se plaindre d’un excès de liberté économique tandis que les autres accusent surtout un excès de liberté civile. Et ce à une époque où il n’y a jamais eu autant de lois et que les impôts n’ont jamais été aussi élevés !

En réalité, la critique de l’idée démocratique est plus ou moins taboue dans nos sociétés occidentales. Vous avez le droit de critiquer l’application de la démocratie, ou de fustiger les dirigeants politiques ou les partis en place de nos jours — mais personne ne critique l’idéal démocratique en tant que tel.

Ce n’est pas exagéré de dire que la démocratie est devenue une religion — une religion moderne, séculaire. On pourrait la qualifier de plus grande croyance sur terre. Tous les pays au monde sauf onze — Myanmar, le Swaziland, le Vatican, et quelques nations arabes — déclarent être des démocraties, même s’ils ne le sont que de nom. La croyance en ce dieu de la démocratie est intimement liée à la vénération de l’État-nation démocratique qui a pris naissance au cours du XIXe siècle. Dieu et l’Église furent remplacés par l’État comme le Saint Père de la société. Les élections démocratiques sont le rituel par lequel nous prions l’État pour l’emploi, le logement, la nourriture, la sécurité et l’éducation. Nous avons une foi absolue en cet État Démocratique. Nous croyons qu’Il peut s’occuper de tout. Il est celui qui récompense, qui juge ; il est l’esprit omniscient et le corps omnipotent. Nous attendons même de lui qu’il règle nos problèmes personnels et sociaux.

La beauté du Dieu Démocratie réside dans le fait qu’Il offre Sa bienveillance de manière complètement désintéressée. Comme Dieu, l’État n’a pas d’intérêt propre. Il est le gardien vénérable de l’intérêt général. Il ne coûte rien non plus. Il offre gratuitement du pain, du poisson, et d’autres faveurs.

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Tout du moins, c’est ainsi que les gens le considèrent. La plupart des gens ont tendance à ne voir que les avantages offerts par l’État, et non les coûts. Une des raisons pour lesquelles il en est ainsi est que l’État collecte les impôts par de nombreuses voies indirectes et détournées — en exigeant que les entreprises collectent les impôts sur les ventes par exemple, ou en exigeant que les employeurs collectent les charges de sécurité sociale, ou en empruntant de l’argent sur les marchés financiers (un argent qui finira un jour par être remboursé par les contribuables) ou en faisant gonfler la masse monétaire — de façon à ce que les gens ne se rendent pas compte de la part de leurs revenus que l’État leur confisque en réalité. Une autre raison à cela est le fait que les actions de l’État sont visibles et tangibles, mais que toutes les choses qui auraient pu être réalisées et qui auraient effectivement été réalisées si le gouvernement n’avaient pas commencé par confisquer l’argent du peuple, ces choses, elles, restent invisibles.

La foi en la démocratie est devenue si inébranlable que pour la plupart des gens la démocratie représente tout ce qui est (politiquement) bon et moral. La démocratie est synonyme de liberté (tout le monde peut voter), d’égalité (chaque voix compte autant qu’une autre), de justice (tous les électeurs sont égaux), d’unité (nous choisissons tous ensemble), et de paix (les démocraties ne se lancent jamais dans des guerres injustes). De ce point de vue, la seule alternative à la démocratie est la dictature. Et la dictature, bien évidemment, représente tout ce qu’il y a de mauvais : le manque de liberté, l’inégalité, la guerre, l’injustice.

Dans son célèbre essai daté de 1989 et intitulé La Fin de l’Histoire ?, le penseur néo-conservateur Francis Fukuyama a été jusqu’à déclarer que le système démocratique de l’Occident moderne représente l’apogée de l’évolution politique de l’humanité. Pour reprendre ses propres mots, nous assistons aujourd’hui à « l’universalisation de la démocratie libérale occidentale comme forme ultime du gouvernement humain ». Evidemment, seuls des esprits malfaisants (terroristes, fondamentalistes, fascistes) oseraient se prononcer contre une telle notion sacrée.

Démocratie = collectivisme

Pourtant, voilà précisément ce que nous allons faire dans ce livre: nous prononcer contre le dieu Démocratie, et notamment la démocratie parlementaire nationale. L’usage de la démocratie pour la prise de décision est utile dans certains contextes, dans les petites communautés ou au sein d’associations. Mais une démocratie parlementaire nationale, telle qu’elle existe dans quasiment tous les pays occidentaux, a bien plus d’inconvénients que d’avantages. Comme nous l’expliquons, la démocratie parlementaire est injuste, elle amène la stagnation économique et davantage de bureaucratie, elle met en péril la liberté, l’indépendance, et l’esprit d’entreprise, et amène inévitablement conflits, ingérence, léthargie, et excès de dépenses publiques. Et cela n’est pas dû au fait que certains hommes politiques ne font pas leur travail — ou parce que le mauvais parti a été porté au pouvoir — mais parce que le système fonctionne ainsi.

La caractéristique principale de la démocratie est que « le peuple » décide comment la société doit être organisée. En d’autres termes, nous décidons « tous ensemble » sur ce qui nous concerne. A quel niveau doivent-être les impôts, combien doit être consacré pour la santé des enfants et des personnes âgées, à quel âge les gens sont autorisés à boire des boissons alcoolisées, combien les employeurs doivent payer pour les retraites de leurs employés, quelles indications doivent être inscrites sur un produit, quelles matières doivent être enseignées à l’école, combien doit être consacré à l’aide aux énergies renouvelables ou à l’éducation sportive ou aux concerts d’orchestre, comment un gérant doit tenir son bar et si ses clients sont autorisés à fumer, comment une maison doit être construite, à quel niveau doivent être les taux d’intérêt, combien d’argent doit circuler dans l’économie, si les banques doivent être sauvées avec l’argent du contribuable en cas de risque de faillite, qui est autorisé à se dire docteur, qui est autorisé à lancer un hôpital, si les gens sont autorisés à mourir lorsqu’ils sont las de vivre, et si et quand la nation doit intervenir militairement. Dans une démocratie, « le peuple » doit décider sur toutes ces questions — et sur un millier d’autres.

La démocratie est donc un système collectiviste par essence. C’est le socialisme qui fait son irruption par les coulisses. L’idée de base derrière cette réalité est qu’il est souhaitable et juste que toutes les décisions importantes sur l’organisation physique, sociale et économique de la société soient prises par la collectivité, le peuple. Et le peuple autorise des représentants du Parlement — en d’autres termes, à l’État — à prendre des décisions en son lieu et place. En d’autres termes, dans une démocratie le fonctionnement entier de la société est orienté vers l’État.

Il est clairement trompeur de proclamer que la démocratie est, d’une certaine façon, l’apogée de l’évolution politique de l’humanité. Ce n’est rien de plus que de la propagande pour cacher le fait que la démocratie représente une orientation politique bien particulière. Une orientation pour laquelle il existe de nombreuses alternatives raisonnables.

L’une de ces alternatives s’appelle la liberté. Ou le libéralisme — dans l’acceptation classique du terme (qui est complètement différente de celle qui prévaut de nos jours aux États-Unis). Il n’est pas difficile de voir que la liberté n’est pas la même chose que la démocratie. Considérez simplement ceci : est-ce que nous décidons démocratiquement de la manière dont chacun doit dépenser son argent pour s’acheter des vêtements ? Ou dans quel supermarché nous devons aller ? Pas du tout. Chacun décide de cela lui-même. Et cette liberté de choix fonctionne très bien. Donc pourquoi cela fonctionne-t-il mieux si toutes les autres questions qui nous affectent — de notre lieu de travail à notre assurance santé en passant par les pensions de retraites et les bars et discothèques — sont décidées de façon démocratique ?

En réalité, se pourrait-il que ce fait précis — que nous décidons de tout de façon démocratique, et que la quasi-totalité des questions économiques et sociales soient réglées par ou à travers l’État — est la cause fondamentale des nombreux problèmes de notre société ? Se pourrait-il que la bureaucratie, l’intervention étatique, le parasitisme, le crime, la corruption, le chômage, l’inflation, le faible niveau d’éducation, etc., ne soient pas dus à un manque de démocratie, mais soient plutôt causés par la démocratie ? Se pourrait-il qu’ils aillent avec la démocratie comme les magasins vides et les voitures Trabant allaient avec le communisme ?

C’est ce que nous espérons vous montrer dans ce livre.

Ce livre est construit en trois parties. Dans la première partie nous étudions notre foi en ce dieu de la démocratie parlementaire. Comme toute religion, la démocratie a son ensemble de croyances — des dogmes qui semblent être des faits indiscutables pour tout le monde. Nous présentons ceci sous la forme d’une liste de 13 mythes populaires sur la démocratie.

Dans la seconde partie nous décrivons les conséquences pratiques du système démocratique. Nous essayons de montrer pourquoi la démocratie mène inévitablement à la stagnation économique et quels sont les éléments qui la rendent inefficace et injuste.

Dans la partie trois nous posons les bases d’une alternative à la démocratie, un système politique basé sur l’autodétermination de chaque individu, caractérisé par la décentralisation, la gestion locale et la diversité.

Malgré notre critique du système démocratique actuel, nous sommes optimistes face à l’avenir. L’une des raisons pour lesquelles les gens sont pessimistes est qu’ils sentent que le système actuel ne va nulle part, mais qu’ils ne parviennent pas à imaginer une solution attrayante. Ils savent que l’État contrôle plus ou moins leur vie mais qu’ils ne peuvent pas contrôler l’État. Les seules alternatives qu’ils imaginent sont des formes de dictature, telle que le « modèle Chinois » ou des formes de nationalisme ou de fondamentalisme.

Mais c’est là où ils font erreur. La démocratie ne signifie pas la liberté. Elle est tout autant une forme de dictature — la dictature de la majorité et de l’État. La démocratie n’est pas davantage synonyme de justice, d’égalité, de solidarité, ou de paix.

La démocratie est un système qui est apparu il y a environ 150 ans dans la plupart des pays occidentaux, et ce pour diverses raisons. L’une d’elles était de réussir à appliquer des idées socialistes dans des sociétés libérales. Quelles qu’aient été les raisons à l’époque, il n’en existe plus aucune de nos jours pour conserver la démocratie parlementaire. Elle ne fonctionne plus. Il est temps de faire éclore une nouvelle liberté, dans lequel la production et la solidarité ne sont pas organisées sur la base d’une dictature démocratique, mais sont les résultats des relations volontaires entre les gens. Nous espérons convaincre nos lecteurs que la possibilité de réaliser un tel idéal est plus grande que beaucoup l’imaginent, et que c’est là un objectif qui mérite nos efforts.

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19 Comments

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  • 0 / 10
  • ranguin , 9 avril 2013 @ 6 h 51 min

    Pour la gauche la démocratie c’est ça :

    Histoires sans fin! Il y en a toujours de nouvelles! C’est vrai, c’est le changement!

    INCROYABLE RETRAITE PREFECTORALE DE BARTELONE transmis par un journaliste du parisien

    – Par la grâce du Président , Monsieur Claude Bartolone est un homme heureux.
    > ( Né le 29 juillet 1951 à Tunis sous le Protectorat français de Tunisie.)
    > sources vérifiées ! : http://www.monsieur-biographie.com/celebrite/biographie/claude_bartolone-14522.php )
    > – Par décret, le président de la République, son ami François Hollande, l’a réintégré dans le corps préfectoral –où il ne figurait plus depuis 25 ans.
    > Un mois plus tard, il pouvait en conséquence prendre sa retraite de préfet honoraire hors cadre et hors classe !
    > Ces infos sont exactes et vérifiées!
    > cliquez, ci-joint, sur le site officiel gouvernemental:
    > http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006061224&dateTexte=20091002
    > Résumons la situation financière du camarade :
    > – Depuis août 2012 : retraité du corps préfectoral.
    > – Depuis le 10 mars 2008 : conseiller général du canton de Pantin (source vérifiée ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Canton_de_Pantin-Est )
    > – Depuis le 20 mars 2008 : président du conseil général de la Seine-Saint-Denis. (source vérifiée ! :http://www.seine-saint-denis.fr/Claude-BARTOLONE.html )
    > – Depuis le 17 juin 2012 : député de la neuvième circonscription de la Seine-Saint-Denis (source vérifiée ! :http://petitsmatinsetgrandsoir.wordpress.com/2012/06/26/bartolone-haut-perche-un-jour-rentier-de-la-politique-toujours/ )
    > (à savoir, il est député depuis 1981)
    > – Depuis le 26 juin 2012 : président de l’Assemblée nationale (source vérifiée ! :http://www.assemblee-nationale.fr/14/cri/2011-2012/20120148.asp )
    > Même en appliquant les plafonds de cumul,
    > on arrive à + de 30.000 euros par mois ,C’EST ECOEURANT!!.
    > + l’incroyable logement de fonction en qualité de Président de l’Assemblée Nationale
    > + le « petit » logement de fonction en qualité de Président du

    Conseil Général du 93 + véhicule de fonction + Cantine gratuite + ++ tous les avantages occultes…

    elle est pas belle la vie ?
    > Avec la gauche, la magouille institutionnelle d’Etat est possible !
    > Ces élus qui montrent l’exemple à suivre en temps de crise aux français : Yes they can … et sans état d’âme.
    > Chacun pour soi et Dieu pour tous !
    > Sarko et sa clique, c’était des amateurs, à côté de cette formidable démonstration de savoir-faire !
    > Pour votre parfaite information, dans le but “d’améliorer” l’homme et l’humanité et les pratiques institutionnelles de la République, ce mail doit être diffusé largement, seule la lumière dérange et peut faire reculer l’ombre.
    > Les journalistes stipendiés sont tous MUETS ! Trierweiller les a bien muselés !!

    >

  • Tintin , 10 avril 2013 @ 1 h 22 min

    Si vous pouvez m’aider à retrouver la vidéo… car là j’ai un doute…

    Il y avait assez peu de manifestants à la peau noire au front de Champs Elysées.

    L’agent de police “Barthélémy” qu’on voit sous ce dossier avait la peau noire :

    http://illwieckz.net/journal/Avis_de_recherche

    Cet agent pour mémoire, ressemble étrangement pour mémoire, à l’individu à la peau noire qui est monté sur le toit d’un fourgon CRS…

    Mais je ne retrouve pas cette vidéo où l’on voit deux individus, dont l’un à la peau noire, qui montent sur le capot, puis sur le toit d’un fourgon CRS.

    De plus cette vidéo est pour mémoire de très mauvaise résolution…

    Il faudrait donc tenter d’identifier si les deux individus portaient les mêmes habits…

    D’ici à ce que les policiers soient chargés de créer les troubles…

    Nous aurions là une preuve…

    Ce n’est pour le moment qu’une supputation, pouvez-vous m’aider à retrouver cette vidéo pour confirmer ou infirmer ?

  • Tintin , 10 avril 2013 @ 3 h 26 min

    Hors sujet :

    Le régulateur de l’énergie atomique aux USA, dit qu’il faut fermer toutes les centrales nucléaires du pays, cette technologie n’étant pas opérable et le risque induit n’étant pas supportable :

    http://gen4.fr/2013/04/jaczko-centrales-nucleaires-americaines.html

    Pour aller plus loin, les déchets nucléaires, il faudra les envoyer sur d’autres planètes, c’est implicitement ce qui est sous-entendu.

    Comme on ne peut pas le faire sans danger avec des canons, il faudra, sauf rupture technologique, bâtir un ascenseur spatial.

    Le cout sera équivalent à 10 fois le cout de développement de tout le parc atomique mondial.

    Il y a 2 kg de déchets nucléaires produits chaque année pour chaque français.

    Soit des centaines de milliers de tonnes à envoyer sur d’autres planètes, alors qu’on est déjà incapable d’envoyer dans l’espace des satellites de plus de quelques centaines de kilos…

    Les libéraux d’aujourd’hui passeront donc demain pour les collectivistes à l’origine de cette politique énergétique erronée et mortifère.

    Le nucléaire est une oeuvre collectiviste et du capitalisme de connivence.

    Il ne reste plus qu’à ouvrir les yeux de nos polytechniciens et énarques avec des écarteurs, car eux, qui font le programme surgénérateur Astrid ratifié par Hollande dès qu’il fut élu, qui font les autres projets qui ne marcheront jamais comme ITER et Megajoule, n’ont rien compris…

    D’autant plus que les USA comme la Russie vont certainement commencer à comprendre qu’il faut des travaux d’énergie civile sur les solutions de fusion aneurtronique impulsionnelle, qui seraient peut-être la vrai révolution technologique que l’Humanité attend depuis des millénaires…

    Enfin, nous ne parlons plus dans le désert.

    Un nouvel age d’or ou la fin du monde nous connaitrons de notre vivant.

    La prochaine manif, contre le nucléaire et après on prend le palais pour une Assemblée Constituante…

    Libre à vous de parler du sexe des anges, c’est important, mais il y a plus urgent : l’atome.

  • Tintin , 10 avril 2013 @ 3 h 30 min

    Peut-être qu’avec cet argument d’autorité, cette fois, chacun cessera de prétendre que la terre est plate…

  • Tintin , 10 avril 2013 @ 3 h 50 min

    Et accessoirement les japonais et Areva France (fournisseur de Fukushima), sont des macaques consommés sur Fukushima :

    http://gen4.fr/2013/03/tepco-nous-ny-arriverons-pas-sans-aide.html

    Lorsque les soviétiques réagissaient comme il le fallait sur Chernobyl, les japonais n’ont toujours rien entrepris de sérieux sur Fukushima !

    Le site est toujours en ruine, aucuns déblaiements sérieux, on a recouvert le tout d’un dôme cache misère qui ne sert à rien, les fondations ne sont toujours pas reprises et au lieu de faire intervenir des soldats, que de toutes façon le japon ne possède pas, ils font intervenir des milliers de travailleurs qualifiés sur Fukushima, qui sont tous en train de mourir, de tel sorte que Fukushima aura bientôt consommé toutes les ressources humaines de pointe du Japon et bientôt d’une bonne partie de l’humanité…

    Homme macaque, Homme orgueil, Homme qui se prend pour dieu, Homme qui baise avec le diable, Homme qui doit ouvrir les yeux et coeur avec des écarteurs et assumer maintenant ses responsabilités.

  • Tintin , 10 avril 2013 @ 4 h 28 min

    Nos républicains ne vont pas s’en tirer ainsi…

    Copé, Sarkozy, Marine, Bayrou, Hollande, Melanchon and co, nous les enverrons de force en première ligne aller décontaminer les sites nucléaires…

  • Thierry Zureck , 10 avril 2013 @ 11 h 58 min

    Bonjour,

    Pour faire suite à votre commentaire, je vous envoie ici deux liens qui, avec de courts extraits, ne pourront, je pense, qu’intéresser les lecteurs de “Nouvelles De France”. Bonne lecture.

    S’il vous est possible de les commenter, ne vous abstenez pas !

    Lire sur le site :
    LA GRANDE REVELATION.
    L’arrêt du moteur de souffrance planétaire
    • L’énergie libre de Nikola Tesla
    Par VESONE dans Bienvenue sur le blog de “La Grande Révélation” !

    L’ENERGIE LIBRE DE TESLA EXPROPRIEE PAR LES MILITAIRES
    Je resterai bref sur l’énorme scandale écœurant qu’a provoqué l’œuvre de Nikola Tesla parce qu’il suffit d’aller sur Internet pour connaître toute cette sombre histoire. Nikola Tesla fut un ingénieur de génie, né en 1856 en Croatie. Il a fait une formidable carrière. Ingénieur chef chez Edison, il a inventé ensuite la radio chez Marconi, puis la technique du radar et le rayon laser.

    Le problème est que ses brevets les plus secrets ont été mis au service du complexe militaro-politique américain.

    Ils ont servi en particulier à la réalisation actuelle d’un système ultrasecret et effrayant, le système HAARP, autrement appelé « bouclier anti-missiles ». (voir chapitre 11-4 Le très sombre complexe international politico-militaire). Ce système a été mis au point avec des budgets astronomiques secrets par la défense des USA contre un ennemi potentiel, lanceur de missiles provenant de la stratosphère. Donc on pourrait dire un bouclier pour se protéger d’un ennemi qui n’existe pas officiellement. Personne ne s’en inquiète !

    Le grand ingénieur qui s’est fait volé tous ses brevets

    A l’origine, avant HAARP, l’un des premiers brevets de Nikola Tesla s’appelait Energie gratuite ou libre. Sa découverte provenait de sa constatation basique que l’espace présent entre les atomes de matière n’est pas vide mais rempli d’énergie. Selon Tesla le vide absolu naturel n’existe jamais. La concentration d’énergie entre les atomes de la matière est extrêmement élevée, de l’ordre de 5000 kw /heure par cm3 ; elle est par contre difficilement perceptible et pour la mettre à jour, il faut la faire traverser par des champs électromagnétiques très élevés.

    (…) Il en avait fait la preuve expérimentale dans ses laboratoires. Il réussit même à faire des générateurs fonctionnant selon ce principe et il réussit à faire ainsi fonctionner des moteurs automobiles mais aussi à provoquer des vibrations terrestres comparables à des séismes et des vibrations pouvant provoquer des tempêtes modifiant le climat.
    Pour transmettre l’énergie, il inventa un système qui dispensait de l’utilisation de câbles et de lignes à haute tension.
    Il maîtrisait le transfert d’énergie à distance sans perte de puissance, contrairement à l’utilisation des réseaux filaires.

    En conséquence, d’après lui, il était impossible de manquer d’énergie. Il suffisait de savoir exploiter l’énergie cosmique universelle.

    Pour faire une comparaison, selon lui, c’est comme si quelqu’un se trouvant assis au fond d’une piscine une tasse à la main, se serait demandé comment la remplir d’eau.

    La physique officielle tourne l’œuvre de Tesla en ridicule.

    Plus grave encore, il n’est pas surprenant que les monopoles industriels de l’énergie aient acheté pour une misère de dollars tous ses brevets et les aient mis au secret le plus absolu.

    Secret très relatif puisque secrètement aussi des laboratoires militaires américains et russes ont étudié le travail de Tesla de manière intensive depuis les années 50 pour développer des armes sophistiquées dont le système HAARP (voir chapitre 11-4 Le très sombre complexe international politico-militaire). Vous découvrirez plus loin, la capacité militaire qu’ont acquise les grandes puissances avec une telle arme qui remise la bombe atomique au musée.

    (…) De leur côté ils trouvaient déplacé que quelqu’un qui n’était pas du tout du milieu puisse chercher des informations qui ne concernaient pas le grand public.

    L’histoire de l’énergie gratuite ou libre

    Avant la 2ème guerre mondiale, la compagnie viennoise Kertl construisait les turbines à vortex électromagnétique de l’ingénieur Victor SCHAUDERGER.
    Il fut, avec l’américain Nikola Tesla, le premier à construire une turbine produisant de l’énergie gratuite.

    En 1941 les ingénieurs : Von Neumann, Edward Cameron, Alhed Bielek, construisirent un complexe souterrain caché qui était situé prés de San Francisco.

    Il y avait là une machine à fabriquer de l’énergie gratuite et qui était opérationnelle. Elle produisait une puissance de 3,15 Mégawatts.

    En 1942 cette expérience fut interdite pour cause de non-conformité à la législation. La machine fut détruite. Les autorités américaines déclarèrent officiellement que la seule source d’énergie du futur serait nucléaire.

    (…) En 1950, l’ingénieur John R. Searl, employé par la compagnie Midland Electricity Board, a mis au point un générateur selon le principe du vortex électromagnétique. Une fois que la machine atteignait un seuil de potentiel, la quantité d’énergie produite dépassait considérablement l’énergie consommée.

    D’autres ingénieurs tels Michael Faraday, Bruce De Palma, Adam Trombly arrivèrent tous aux mêmes résultats très favorables avec d’autres systèmes du même type. En 1985 le docteur Hastings, physicien en chef de la compagnie Sperry Univac Corporation, fit une communication scientifique disant que le 19 Septembre 1985 il avait testé l’appareil mis au point par l’ingénieur Joseph Newman. Son rendement était phénoménal. Il a été mesuré jusqu’à 1400% de l’énergie consommée. Le 21 Mars 1986 cette information parut dans le journal : <>.

    En 1987 ce générateur fut installé à la place du moteur à essence d’un véhicule de course .Le pilote enregistra une surpuissance très avantageuse.

    Un peu auparavant en 1980, le docteur bien connu Wilhelm Reich, émigré aux USA, fut arrêté pour avoir développé sans licence sa machine dite <>. Il a pu cependant continuer ses essais en prison et sous la protection bienveillante de la CIA. En Juin 1992, l’ingénieur Jurgen Sievers député et directeur de la compagnie allemande Becocraft est arrêté aussi. Sa société est dissoute pour avoir commercialisé sans licence une autre machine dite <>.

    Tous les ingénieurs cités ici ont vu leur carrière brisée pour ne pas avoir respecté le dictat des autorités dirigeant la science internationale.

    Bien loin de servir l’humanité, ces autorités garantissent la suprématie des multinationales industrielles. Ces dernières font et défont les gouvernements, tout en polluant dangereusement la planète. Elles procèdent en interne à des recherches secrètes et privilégient les énergies dont le rendement financier est le plus élevé.

    Elles interdisent les recherches sur l’énergie gratuite.

    Elles tyrannisent les chercheurs qui se hasarderaient à le faire. Elles influencent les facultés à cacher la vérité sur ce type d’énergie naturelle et libre. Si celle-ci était mondialement reconnue ce serait la ruine des grandes familles des actionnaires de l’industrie du pétrole comme du nucléaire.

    Et pourtant le développement de cette énergie serait la solution parfaite à une grande partie des problèmes énergétiques dont souffre aujourd’hui notre monde !

    Autre site intéressant : frenzy.chez.com/Tesla.htm
    Nikola Tesla, les inventions

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