Idolâtres et mystiques, les fanatiques du Coran ne sont pas de simples déviants, mais de dangereux psychopathes, qui vivent dans une réalité qu’ils se fabriquent. Toutes les définitions d’usage en psychiatrie, pour désigner la psychopathie d’un sujet, peuvent s’appliquer à tous les islamistes radicaux, fous et folles d’Allah : asocialité, insensibilité et absence d’empathie envers les autres, susceptibilité exacerbée, agressivité et impulsivité, altération des émotions, culpabilité nulle, narcissisme, manipulation, délire paranoïaque et inclinaison à l’assuétude aux drogues. L’égocentrisme de ces individus est patent ; ils sont le centre du monde dont ils créent les règles. Ce sera la loi du plus fort et du plus rusé où toutes les normes démocratiques seront proscrites. D’autant qu’elles sont incompréhensibles et qu’il faudra les combattre, en toutes circonstances. À cela s’ajoute un désintérêt pour tout ce qui est intellectuel ou culturel, mais n’empêche pas certains de faire de hautes études…
Les fétichistes d’Allah ne sont pas à un paradoxe près : souvent ils ne sont même pas croyants et tous ne sont pas dévots ! Dieu n’est qu’un justificatif pratique ou un dérivatif. Comme pour les cadres de l’État islamique, Daech, qui sont d’anciens laïcs du parti Baas, réinsérés dans le terrorisme, le trafic de drogue, le profit et le crime de guerre. La plupart ne connaissent que partiellement le Coran et ceux qui savent le lire ignorent le moindre discernement sémantique. Mais ils y trouvent toutes les sourates qui attesteront leurs crimes. Arrogants, impudents, mégalomanes, les plus doués sont capables de se faire passer pour les dépositaires du savoir absolu ; ils sont très souvent charismatiques et ont une grande capacité d’adaptation. Communicants instinctifs, très habiles pour endoctriner, en restant toujours dans le vague, avec des propos ambigus ou contradictoires, ils sont redoutables auprès des plus fragiles et font des ravages. À ceux qui résistent, les fatwas tombent vite sur leur tête !
Ces psychopathes de l’islam sont dangereux pour la société. N’ayant aucune inhibition, ils ont, à tout moment, une fâcheuse tendance à passer à l’acte délictueux. Et savent créer, quand ils se sentent en situation de force, des réactions en chaîne pour gangrener tout l’environnement sociétal et politique. Néanmoins, incapables d’envisager toutes les conséquences de leurs gestes, ils minimisent toujours les crimes qu’ils commettent en culpabilisant les autres et en se faisant passer, eux, pour de pauvres victimes. Les tueurs du Bataclan, d’après les rescapés, justifiaient l’assassinat en pointant du doigt la responsabilité des Français “qui massacrent nos frères en Syrie”… La folle d’Allah, Russe d’origine d’Ouzbékistan, ex-république soviétique à majorité musulmane, qui a perpétré un meurtre odieux en décapitant une fillette dont elle avait la garde, criait “Allah Akbar” en brandissant son trophée, disant que Dieu avait commandité son geste… Folle ? Folle d’Allah, c’est sûr ! Irresponsable ? Une psychopathe n’est pas une aliénée ; elle sait très bien ce qu’elle fait.
De renoncement en renoncement, d’aménagement en aménagement, et alors que de plus en plus de jeunes musulmans, sans compter un nombre croissant de convertis, partent faire le djihad, nos dirigeants ne font que conforter un culte qui prône une idéologie totalitaire où le massacre des apostats, des athées, des homosexuels, des femmes adultères devient un devoir pour tout musulman. Combien faudra-t-il encore de sang coulé pour que l’on cesse de croire que cette religion est assimilable et qui continue à porter dans ses textes toute la déviance alimentant la folie meurtrière ? Quand nos gouvernants prendront-ils enfin la mesure de l’urgence à imposer aux musulmans de France, l’expurgation des versets sataniques du Coran ? Ils seraient bien inspirés d’écouter certains théologiens qui ont bien compris le problème, comme Yassin Elforkani, imam à Amsterdam, qui déclare : “Les musulmans doivent cesser de prétendre que la terreur n’a aucun lien avec l’islam. La réalité, dure comme le roc, est que les terroristes légitiment théologiquement leurs actes. Nous ne pouvons continuer à dire : ceci n’a rien à voir avec l’islam”.
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