Lorànt Deutsch : «moi qui suis fils de juif hongrois, petit-fils de déporté, on me traite de nazillon !»

97 Comments

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  Bernard , 6 novembre 2013 @ 16 h 22 min

  à NATHALIE, ceux ci ne sont pas à accepter vos idées =
  http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-auditeur-desespere-par-la-politique-de-l-UMPS-21145.html

  avez vous compris, enfin, que nous n’avons pas à ACCEPTER ! C’est fini cela …
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  monhugo , 6 novembre 2013 @ 16 h 38 min

  Verdez ne s’aime donc pas. La détestation de soi est un exercice habituel chez le “bobo/coco” (voir notice Wikipédia)…… Car, a priori, l’individu me paraît Blanc….
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  monhugo , 6 novembre 2013 @ 16 h 42 min

  En tout cas, pour les “zélites” politico-médiatiques, la France n’existe que depuis la “gentille” Révolution de 1789, et ses flots de sang français versé par d’autres Français, qu’elles ne veulent pas voir – ce qui explique par exemple que le Génocide vendéen soit nié farouchement, contre l’évidence.
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  JSG , 6 novembre 2013 @ 16 h 54 min

  Oui, c’est quoi cet excité de la pensée unique de gôche, qui va bientôt se dire écrivain historien, censeur, juge d’un tribunal de l’inquisition. Il n’est même pas capable d’écrire un ouvrage tout seul !
  Voici un extrait de Wikipédia
  Les années Jacquet, avec Vanessa Caffin, éditions Solar, 1999
  Les années Lemerre, avec Vanessa Caffin, éditions Solar, 2001
  Le roman noir des bleus, avec Eugène Saccomano, éditions de La Martinière, 2010
  La face cachée de Franck Ribéry, avec Matthieu Suc, éditions Du Moment, 2011
  Manuel Valls, les secrets d’un Destin, avec Jacques Henne, éditions Du Moment, 2013

  Alors, il vient de “sortir” un “ouvrage avec…” sur notre bon ministre de l’Intérieur et se croit autorisé à critiquer Lorànt Deutsch, alors qu’il ne lui arriva pas à la cheville.
  Ce type est un rien du tout sévissant sur une chaîne qui ferait mieux de le virer.
  Enfin, certains autres sont aussi puants, arrogants, beurk.
  Ce n’est qu’un pauvre type qui ne s’est pas valorisé par son attitude.
  Re Pauvre type !
  Rien qu’à entendre des gens bourrés de certitudes imbéciles, comme cet individu, on catalogue la chaîne comme étant sans aucun intérêt.
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  Laotzeuladi , 6 novembre 2013 @ 16 h 55 min

  Gilles Verdez est un communiste journaliste de foot qui n’a jamais percé. Pas la crème de l’Ecole des cadres du Parti.
  Et s’il a honte d’être blanc qu’il achète du Kiwi !
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  de Kercohan , 6 novembre 2013 @ 17 h 28 min

  A la seule écoute de cette phrase « Je trouve que votre livre est dangereux parce que […] vous nous ressortez une idée de l’histoire qui n’est plus enseignée depuis 1970 », on comprend que le type qui l’a prononcée est un imbécile dogmatique et sectaire. Ainsi, on enseigne “une idée de l’Histoire”, et non l’Histoire elle-même, ce qui correspond parfaitement à la définition du mot idéologie et à l’exercice totalitaire qu’elle suppose. Quand, en plus,1970 est précisé, alors c’est la confirmation indiscutable de la date signifiant la fin de l’enseignement, au sens de l’instruction, et malheureusement pas seulement celui de l’Histoire.
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  Frédérique , 6 novembre 2013 @ 17 h 33 min

  “Je ne vous parle pas en tant que politique, je vous parle en tant qu’historien, parce que je suis historien” dit Gilles Verdez à Lorànt Deutsch.
  Après un bref aperçu des publications du clown Verdez, on a tout de suite une idée de ce que représente l’histoire de France chez les communistes:
  -Les années Jacquet, éditions Solar, 1999
  -Les années Lemerre, éditions Solar, 2001
  -Le roman noir des bleus, éditions de La Martinière, 2010
  -La face cachée de Franck Ribéry, éditions Du Moment, 2011
  -Manuel Valls, les secrets d’un Destin.

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