Mis en cause mardi par le journaliste Gilles Verdez sur le plateau de “Touche pas à mon poste” sur D8, Lorànt Deutsch a redit son amour de la France : “Moi, j’ai envie de dire du bien de mon pays, c’est pas réac’ ». « Je trouve que votre livre est dangereux parce que c’est un livre de la France blanche, de la France nationaliste. Je trouve que vous nous ressortez une idée de l’histoire qui n’est plus enseignée depuis 1970 », a attaqué son contradicteur. “Est-ce qu’on a le droit d’aimer l’histoire de France ? Est-ce qu’on a le droit d’avoir envie de retranscrire et de raconter cette histoire de France sans être taxé de réac’ ou de facho ? » s’est interrogé Lorànt Deutsch avant de se plaindre que « (lui) qui (est) fils de juif hongrois, petit-fils de déporté, on (l’a) traité de nazillon » suite à la sortie d’Hexagone : Sur les routes de l’Histoire de France.
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